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CHAPITRE 1 Le traitement de texte Les programmes de traitement de texte sont utilisés pour créer, éditer, imprimer et sauvegarder des documents. Un document peut contenir tout type de texte : lettre, note de service, dissertation, contrat, rapport, etc. Jadis, on pensait que seuls les secrétaires pouvaient se servir des traitements de texte alors que, de nos jours, autant les cadres et les professionnels que les étudiants et les retraités les utilisent largement.

En effet, il a été démontré que les traitements de texte génèrent les plus grands gains de productivité. Effectuer toutes sortes de corrections et modifier le texte ? Swipe to nex: page loisir avant de l’impri traitements de texte. or 10 rédigé à simple interl e modifier la largeur d certains paragraphes autre document? Tout est possible. es avantages des terligne d’un rapport ouble interllgne, ile, supprimer ux provenant d’un On peut distinguer sept fonctions principales que supportent les systèmes les plus évoluésl l’édition du texte – entrée et correction ad hoc; la révision – disposition du texte, dictionnaire; la mise en forme du texte – choix des caractères; a mise en page – marges, en-têtes, interllgne, etc. ; l’insertion de tableaux – pour structurer du texte; la gestion d’encadrés et d d’objets graphiques (voir page 4); les références – notes de bas de page, index, tables des matières (voir page 5).

Voyons en quoi consistent ces tâches, et surtout quels avantages offrent les logiciels de traitement de texte pour leur réalisation2. L’édition du texte La création d’un texte passe naturellement par la phase d’entrée du texte, le premier jet. L’auteur peut alors développer ses idées sans se préoccuper de la forme du texte; il entre le texte en ontinu (on dit : saisie au kilomètre), et l’ordinateur le répartit automatiquement sur des lignes successives.

On peut bien sûr corriger des erreurs de frappe simplement en utilisant les touches ou ajouter ou retrancher des mots, etc. Mais le grand avantage de l’utilisation d’un programme de traitement de texte, à cette étape, est de pouvoir écrire le premier jet au gré de son inspiration, peu importe l’ordre des paragraphes ou des sections, sachant que plus tard on pourra toujours replacer les parties du texte dans un ordre plus logique sans jamais avoir à retranscrire «au propre». De plus, on est ssuré de pouvoir se relire aisément du premier brouillon à la version finale.

Il est important de bien comprendre dès le départ la différence entre le texte proprement dit et le document. Le document comprend le texte plus tous les codes (directives) indiquant de quelle façon le texte devra être imprimé. La révision du texte La correction ou révision du texte constitue une partie cruci 10 être imprimé. La correction ou révision du texte constitue une partie cruciale du travail dès que l’on accorde quelque importance à la qualité de l’écriture.

Il s’agit en effet de s’assurer de la suite logique du texte, e vérifier l’orthographe des mots, d’éviter la répétition abusive de mots, d’expressions ou de tournures de phrase. Cest une phase au cours de laquelle l’ordinateur peut se montrer très efficace. En effet, tous les programmes de traitement de texte fournissent des outils donnant la possibilité de déplacer ou de copier des blocs de texte soit à l’intérieur d’un même document, soit d’un document à l’autre. On peut aussi fusionner des paragraphes ou les scinder à volonté.

Certains logiciels offrent un dictionnaire (plus ou moins complet) qui permet de détecter certains types d’erreurs difficiles à relever ? l’œil nu, comme les accents absents (ex. necessaire) ou erronés (ex. problème), les consonnes redoublées (ex. millieu), les nasales fautives (ex. enclancher) et autres erreurs de semblable nature. Dautres pourront détecter les répétitions de mots, compteront les formes actives ou passives, etc. La mise en forme du texte Selon les caractéristlques de l’imprmante utilisée, on aura une variété plus ou moins grande de caractères à sa disposition.

De façon générale, le programme permettra d’insérer et de modifier facilement des codes à l’intérieur du texte qui indiqueront que elle portion du texte sera s modifier facilement des codes à l’intérieur du texte qui indiqueront que telle portion du texte sera soulignée, que telle autre sera en caractères gras, ou en petits ou gros caractères, On pourra ainsi mettre en valeur (en évidence) certaines parties du texte en leur ajoutant une mise en forme plus ou moins complexe, placer les citations en caractères italiques, utiliser de caractères de grande taille pour les titres, etc.

Ici encore, c’est la facilité avec laquelle on peut faire de multiples essais qui rend intéressante l’utilisation d’un ordinateur. La mise en page du texte Quand il s’agit de choisir les paramètres qui régiront l’impression du texte, l’ordinateur a l’avantage d’offrlr un banc d’essai où l’utilisateur pourra, sans effort, combiner toutes les options de son choix. Il pourra ainsi choisir et modifier au besoin : les marges, les tabulateurs, les en-têtes et les pieds de page, la pagination automatique, l’interlignage, le centrage du texte, l’impression en colonnes de type journal, la justification, etc.

Il faudra, pour ce faire, ajouter ou retrancher des codes de fonction qui sont insérés au fil du texte et qui en dirigent le mode ‘impression. On peut alors falre des essais et ajuster son tir jusqu’à ce que l’on obtienne un résultat satisfaisant. Quoiqu’il ne faille pas sous-estimer les coûts du papier, de l’encre et de l’usure de l’équipement, il reste que le travail sera fait par l’ordinateur et son imprimante, et 0 imprimante, et en très peu de temps.

Les encadrés Depuis quelque temps, les prlncpaux logiciels de traitement de texte offrent la possibilité d’ajouter au texte proprement dit des tableaux, des images graphiques ou des textes encadrés. Cette technique (Desktop Publishing ou éditique) permet donc de faire e la mise en page de niveau équivalent à celle des publications, ce qui, auparavant, était un travail de typographe. Les notes et index automatiques Lors de la création d’un document selon les moyens traditionnels, on doit garder pour la toute fin la confection des index, des notes de bas de page (ou renvois), des tables des matières ou des illustrations.

Et si par la suite on doit apporter des modifications au document, toutes ces listes devront bien souvent être rebâties du début à la fin. Avec un logiciel de traitement de texte, il suffira au passage de définir les mots ou expressions qui feront partie d’une liste, ‘un index ou d’une table des matières pour qu’au moment de l’impression (ou de la réimpression) ces listes soient régénérées et imprimées, peu importe le nombre et l’importance des révisions. Notez cependant que ces fonctions ne sont pas disponibles sur tous les logiciels.

CHAPITRE 2 Composantes du système Comme tout système informatique, le traitement de texte constitue un processus complexe dont chaque composante joue un rôle bien défini. L’utilis PAGF s 0 texte constitue un processus complexe dont chaque composante joue un rôle bien défini. L’utilisateur doit donc bien comprendre es fonctions de chacune s’il veut tirer le meilleur parti des équipements dont il dispose. Nous allons donc passer en revue les éléments concrets (le matériel : clavier, écran… ) aussi bien qu’abstrait (le logiciel : programme, texte, codes… . Le texte L’ensemble des caractères qui forment les mots, les phrases, les paragraphes, les chapitres constituent le texte proprement dit. Cest évidemment le centre du système, sa finalité. Tout est mis en œuvre pour le créer et l’organiser. Nous distinguerons parfois entre le texte primaire (par exemple, ce paragraphe-ci y compris e contenu de cette parenthèse) et le paratexte qui englobe entre autres les en-têtes et les pieds de page, les tables des matières, les index. les graphiques, etc.

Les codes Si ce n’était des codes qui dirigent l’affichage et l’impression, le texte ne serait qu’une suite interminable de mots homogènes alignés «à la queue leu leu». Les cades sont des directives qu indiquent au programme quand doit se faire un changement de ligne ou de page, quelle portion de texte doit être imprimée en italiques ou soulignée, etc. Tout le traitement de texte se résume à deux phases : A) éditer le texte en y ajoutant ou en y upprimant des caractères, B) contrôler l’impression du texte en ajoutant ou en supprimant les codes qui la dirigent.

On appelle document 6 0 l’impression du texte en ajoutant ou en supprimant les codes qui la dirigent. On appelle document l’ensemble du texte et des codes de contrôle. La mémoire Lorsqu’un typographe d’avant la révolution informatique avait terminé la composition d’une page, il fallait avoir de sérieux motifs pour y apporter des changements même mineurs. En effet, toute modification pouvait nécessiter le déplacement de centaines de caractères sur sa planche de travail, activité écanique qui prenait beaucoup de temps.

La puissance de l’ordinateur est d’offrir comme planche de travail une mémoire électronique où on peut placer et déplacer les caractères du texte à une vitesse inouie. Ainsi, la correction du texte et l’ajustement qui s’ensuit s’effectue en quelques dixièmes ou centièmes de secondes. De fait, Word offre à l’utilisateur des planches de travail nommées «Document 1», «Document 2» et ainsi de suite. Par ailleurs, ces planches de travail sont éphémères car dès que l’on éteint l’ordinateur ou dès que l’on veut s’en sen’ir pour une utre fonction, le contenu de cette mémoire est entièrement et définitivement effacé.

Le clavier Le clavier de l’ordinateur est l’outil par lequel l’utilisateur communique au programme le texte et les directives pour créer, corriger et formater le document en mémoire. En utilisant les touches ou des combinaisons de touches, l’utilisateur a le contrôle (presque) complet des opérations effectuées par le programme. La familiar 7 0 programme. La familiarisation avec le fonctionnement du clavier et la signification de ses touches est une partie primordiale de l’apprentissage.

La souris La souris est en quelque sorte un prolongement du clavier en ce qu’elle assiste celui-ci dans la tâche de transmettre au programme certaines directives. De plus, elle facilite l’exécution de certaines tâches. Elle n’est cependant pas indispensable et on peut faire avec le clavier toutes ces tâches qui lui sont «naturelles». L’écran Le contrôle qu’exerce l’utilisateur sur son document serait illusoire s’il n’avait la possibilité de «voir» le résultat de ses commandes.

L’écran sert à donner à l’utilisateur un aperçu de son texte. Il reflète l’état du document. Si un document contient, ar exemple, des cades requérant l’impression d’un texte en caractères italiques, sur plusieurs colonnes ou même des images; ces éléments seront visibles autant à l’écran que sur une copie papier. Notons toutefois que seule une faible partie du document peut s’afficher dans l’écran et que l’utilisateur doit balayer son document quelques 20 lignes à la fos pour le parcourir en entier.

Word répartit l’espace disponible à l’écran en une ou plusieurs zones de travail selon les requêtes de l’utilisateur ou selon les besoins ponctuels. On appelle écran de saisie la partie de l’écran ù apparaît le texte du document. La zone des codes est une portion du b 0 partie de l’écran où apparaît le texte du document. La zone des codes est une portion du bas de l’écran utilisée pour afficher le texte et les codes du document. La barre d’état est une ligne au bas de l’écran de saisie que Word utilise pour transmettre des messages à l’utilisateur.

Le ruban est une zone au haut de l’écran où l’utilisateur voit les différentes commandes qu’il peut transmettre à Word. Enfin, Word utilisera une boîte de dialogue contenant les fonctions non disponibles sur le ruban et des ptions supplémentaires. Curseur et pointeur Le curseur est un petit caractère clignotant qui, à l’écran défini le point où s’applique l’effet de l’utilisation du clavier. Par exemple, dans l’écran de salsie, le curseur indique où s’ajoutera tout caractère tapé au clavier ou encore quel caractère sera effacé par la commande appropriée.

Dans la zone des commandes, le curseur (représenté par une surbrillance) permet de sélectionner une option et indique alors quelle commande sera exécutée à la requête de l’utilisateur. Le pointeur de la souris est un deuxième igne dont le déplacement est contrôlé par la souris et qui permet d’entrainer plus rapidement le curseur d’un endroit à l’autre de l’écran. L’imprimante L’imprimante sert, bien sûr, à imprimer le texte soit dans une version provisoire pour en faciliter la lecture et la correction, soit dans une version définitive pour l’usage pour lequel il a été créé.

Une fois le texte imprimé, il est sur u PAGF 10 version définitive pour l’usage pour lequel il a été créé. une fois le texte imprimé, il est sur un support «permanent» contrairement au document de travail en mémoire et sur l’écran. Par contre, s’il s’avérait nécessaire de modifier le texte on ne pourrait pas utiliser cet imprimé pour le replacer dans la mémoire de l’ordinateur : il faudrait alors recommencer la saisie du document.

Le disque dur Dans ce contexte, le disque dur a la possibilité de recevoir une copie du document (texte et codes) de façon permanente et accessible à l’ordinateur. Aussi, à chaque étape de la création du texte, la «sauvegarde» du document permet de stocker sur le disque, dans un fichier, le document dans son état actuel, permettant alors de fermer l’ordlnateur ou de passer à une autre âche. Ensuite, il suffit de «récupérer» le fichier en mémoire pour pouvoir modifier ou compléter le document et l’amener à sa forme définitive.

Notons que tout travail sur le document ne peut s’effectuer que dans la planche de travail en mémoire et que ce n’est qu’au moment de l’opération de sauvegarde suivante que ces modifications se répercuteront sur le fichier stocké sur le disque. Il va sans dire que toute modification à un document si élaborée soit-elle disparaitra définitivement si celui-ci n’a pas été sauvegardé avant la fin (prévue ou inattendue) de la session de travail.