Historique de la presse people
Les articles sont agrémentés de autographier mais s’immiscent encore rarement dans la vie privée. La presse peuple est, comme nous le savons tous bien, une presse dont la cible est essentiellement féminine. Pour comprendre l’histoire de la presse peuple, il faut comprendre la presse Féminine. Voilà un petit historique de cette Presse : suivie siècle ou les prémices de la presse féminine On peut ici évoquer les premières tentatives d’éditer des journaux pour un électorat féminin.
Cela commence, à partir de la deuxième moitié du suivie siècle avec des journaux comme: La Muse Historique de Lorent (1650-1665), Mercure galant e donnera de vise (1672-1710). Suivie siècle Les origines de la presse féminine remontent au mouvement d’émancipation d Historique de la presse peuple boy surchaufferai harpe 22, 2009 | 6 pages mondain nés apparues dans les quotidiens généralistes, swaps toi vie nixe page des femmes.
En France, dès le Suivie siècle apparaissent des publications alors que es femmes commencent à jouer un rôle social plus visible : Le Journal des dames (1759-1788), Les Annales de l’Éducation et du sexe (1790). La Révolution française sera particulièrement propice l’éclosion de nouveaux titres comme Les Étrennes tonales des dames, Les événements du jour et La Feuille du soir. Sexe siècle Au fur et à mesure que le mouvement féministe se développe, la presse féminine se divise en deux catégories, avec d’un côté des titres militants et de l’autre des parutions renvoyant à ‘image traditionnelle de la femme.
Tandis quelles femmes se voient cantonnées dans le rôle de ménagères par Le Petit Courrier des Dames, tondeuses sélectionné parisien Costumes et Le Journal des Dames et Des Modes, la presse féministe explose aussi bien en France que dans les pays angle-saxos : thé Lille, thé génies Fo liberté, thé pionnier and moments dévasté, thé un, thé man’s dévasté and thé subis, La Gazette des femmes, La Voix des femmes, La Politique des femmes et L’Opinion des femmes.
En France, toute la presse féminine sera censurée durant le Second Empire, mais réapparaîtra dans les années 1880- 1900 avec comme figures de proue La Citoyenne (1881) et La Fronde (1 905), publication qui atteindra les 200 000 exemplaires. Axe Siècle Le premier magazine de la presse féminine française atteindra les 200 000 exemplaires. Axe siècle Le premier magazine de la presse féminine rancies est Midinette, publié par les éditions urf. L’entrée des femmes dans la vie active et la reconnaissance de leurs droits civiques permettent l’émergence de nouveaux titres au caractère résolument politique.
En France, ce sera L’Écho des Françaises, Les Heures Claires de l’Union des femmes françaises (rebaptiser clora) ou encore annotaient, journal de la CG créé en 1955. Après Mai 68, le Mouvement de libération des femmes publie de nombreux titres, avec en France Questions féministes (renommé Nouvelles questions féministes) et en belliqueux Les Cahiers du griffe. La fin du Axe celle est marquée par une dépolitisation de la presse féminine, le féminisme étant jugé trop « poussiéreux ».
Le premier exemplaire du Mercure galant, paru en 1672, promettait déjà que « les curieux des nouvelles et les provinciaux et les étrangers qui n’ont aucune connaissance de plusieurs personnes d’une grande naissance ou d’un grand mérite dont ils entendent souvent parler apprendront dans ce volume, et dans les suivants, par où ils sont recommandables et ce qui fait estimer. » Pour comprendre l’histoire de la Presse peuple, nous pouvons prendre un cas significatif : Le magasins Voici.
A l’image de Voici, qui a fêté en 2007 son eue anniversaire, la presse peuple s’est solidement implantée dans le pays a fêté en 2007 son eue anniversaire, la presse peuple s’est solidement implantée dans le paysage français en deux décennies, au point de devenir une des plus puissantes familles de la presse magazine et d’imprégner l’ensemble des autres médias. Novembre 1987: salle gang, alors patron de prima Presse, décide de lancer un nouveau magazine familial, qui viendra s’ajouter à un catalogue comprenant déjà Femme Actuelle, Prima ou Ca m’intéresse. Le nouveau-né est baptisé Voici.
Mais les ventes s’avèrent décevantes et l’éditeur allemand décide de prendre un virage radical : il réoriente le titre vers le peuple. Le concept est encore largement inexploité en France, hormis les historiques Ici Paris, France Dimanche et Point de Vue. Décrié comme le symbole d’une « presse de caniveau », le magazine devient vite un succès à coup de « scoops » et de photos volées, dévoilant la vie privée des personnalités du goûta et du show-business. Son ton décalé et sa réputation de « poil à gratter » font culminer les ventes à un million d’exemplaires, attisant la inventions de concurrents.
En 1 993, prima Presse lance Gala, une version haut-de-gamme de Voici. Dix ans plus tard, algarades arrive sur le créneau avec Public, suivi en 2005 par closes (mondains). Ce dernier connaît un succès foudroyant, frôlant la barre des 400. 000 exemplaires dès sa première année de diffusion. Aujourd’hui, avec seulement cinq barre des 400. 000 exemplaires dès sa première année de diffusion. Aujourd’hui, avec seulement cinq titres, les magazines peuple sont la eue famille de magazines la plus vendue, avec 131 millions d’exemplaires diffusés en 2006.