histoire des arts
Le sacre de Napoléon 1 : ANALYSE domaine artistique: Art Visuel BIOGRAPHIE DE L’AUTEUR : jacques LOI_liS David est né à paris en 1748 et mort à Bruxelles en 1825. Peintre français, il fut membre de la Convention et sous l’Empire, peintre de Napoléon. Prix de Rome, chef de l’école néoclassique, il domine la peinture française de 1785 à sa mort.
Parmi ses œuvres les plus illustres, on peut citer le Serment des Horaces (1784), Marat assassiné (1793), les sabines (1799), Léon Titre et date de créat Technique: peinture Dimensions: 6,2m su Lieux de regard: mus 814). n 1805-1807 or 10 Sni* to View : CONTEXTE (HISTORIQUE, SOCIAL, ARTISTIQUE… ) Tableau réalisé sous le Ier Empire à la demande de Napoléon Ier pour célébrer le sacre impérial qui s’est déroulé le 2 décembre 1804 à la cathédrale Notre-Dame de Paris. : DESCRIPTION ET EXPLICATION DE L’OEVRE La scène centrale de ce tableau présente Napoléon déjà auto- sacré empereur s’apprêtant à poser la couronne impériale sur la tête de son épouse Joséphine de Beauharnais agenouillée portant comme son époux un manteau de pourpre et d’hermine avec des abeilles, symboles impériaux napoléoniens (forme de désaccord ntre le titre du tableau et la scène).
Sur la gauche du tableau et derrière Joséphine, la famille impériale composée des frères, sœurs, beaux frères et belles sœurs de Napoléon vivent cette cérémonie un peu comme une humiliation puisqu’elles doivent porter la lourde traine du manteau de Joséphine. Derrière la famille impériale, les maréchaux d’Empire. Sur la droite du tableau, les dignitaires de l’Empire (consuls et ministres) portant les régalia ou emblèmes impériaux comme le globe, le sceptre, la main de justice.
Derrière Napoléon, le clergé (puisqu’il s’agit normalement d’une cérémonie religieuse) ui ne voit que le dos de Napoléon et en particulier le pape Pie VII que l’on a fait venir tout exprès de Rome, qui est tenu ? distance et qui n’a comme rôle que de bénir la scene alors que selon la tradition c’est à lui de poser la couronne sur la tête de « Empereur. c’est le signe que c’est plus une cérémonie politique que religieuse et que Napoléon tient son pouvoir de lui-même et non de Dieu.
Dans le fond du tableau, derrière le tableau, les ambassadeurs. En arrière plan, au centre du tableau deux tribunes qui traduisent qu’il s’agit d’une œuvre de composition, d’une ?uvre commandée et pratiquement d’une œuvre de propagande. Dans la tribune du bas, en plein centre a été représentée Letizia Bonaparte, la mère de Bonaparte qui avait refusé d’assister à la cérémonie. Dans celle du haut, David s’est représenté en train de réaliser un croquis. : CE QUE JE RESSENS FACE A CETTE ŒUVRE 10 Rouget dit de Lisle[l], souvent appelé Rouget de l’Isle, était un officier français du Génie, poète et auteur dramatique, né le 10 mai 1760 à Lons-le-Saunier, et mort le 26 juin 1836 à Choisy-le- Roi. Il est l’auteur de La Marseillaise et d’autres hymnes moins connus. itre et date de création: la marseillaise 1792 Technique: Chant à couplet avec refrain lieux de regard, d’ecoute: sur internet, dans des livres L’œuvre fait référence à une affiche apposé à l’époque sur le mur de Strasbourg par la Société des amis de la constitution ou la municipalité.
L’éxpression « enfant de la Patrie » fait référence aux engagé volontaire du Bas-Rhin, dont faisaient partie les 2 fils du maire. Le maire de Strasbourg, le baron de Dietrich, demande à Rouget de Lisle en garnison à Strasbourg d’écrire un chant de guerre. Retourné en soirée à son domicile, rue de la Mésange (entre la lace de l’Homme-de-Fer et la place Broglie), Rouget de Lisle compose un Hymne de guerre dédié au maréchal Bavarois de Luckner qui commande l’armée du Rhin. Cette scène est immortalisée, notamment dans le tableau d’Isidore Pils, présenté au musée des Beaux-Arts de Strasbourg.
Le chant retentit ensuite publiquement pour la première fois sur la place Broglie, devant l’hôtel de ville de Strasbourg. 3 : DESCRIPTION ET EXPLICATION DE L OEVRE En fait la version complète de la Marseillaise ne compte pas moins de 15 couplets. Mais le texte a subi plusieurs modifications. On compte aujourd’hui 6 couplets et un couplets. Mais le texte a subi plusieurs modifications. On compte aujourd’hui 6 couplets et un couplet dit « des enfants Seul le premier couplet est chanté lors des événements.
Deux couplets (les « couplets des enfants ») ont été ajoutés ultérieurement ; l’un d’eux a depuis été supprimé de la version « officielle ». Enfin, eu égard à son caractère religieux, le Be couplet a été supprimé par Joseph ministre de la Guerre, en 1792. Un autre couplet a été supprimé car il a été jugé trop violent. Sur un manuscrit autographe de Rouget de Lisle, on voit lairement le refrain noté comme deux alexandrins: « Aux armes, citoyens, formez vos bataillons, / Marchez, qu’un sang impur abreuve vos sillons. ?, les verbes « marchez » et « formez » étant tous deux à la 2e personne du pluriel. La transcription « officielle » est pourtant sur cinq vers avec une 1re personne du pluriel Marchons, marchons qui tenterait d’établir une rime avec « bataillons » et « sillons ». En réalité, Rouget de Lisle était capitaine. En qualité d’officier, il commandait ses hommes, d’où la formule impérative. Néanmoins la Marseillaise est une marche et on peut maginer que les soldats en manœuvre en reprenaient le refrain, en chantant « marchons » et non « marchez Cette version se serait imposée par transmission orale. biographie de l’auteur: Francisco José de Goya y Lucientes, dit Francisco de Goya, né le 30 mars 1746 à Fuendetodos, près de Saragosse, et mort le 16 avril 1828 à Bordeaux, en France, est un peintre et graveur espagnol. Titre et date de création: tres de mayo 1814 Technique: Huile sur Toile Dimensions: 2,68m sur 3,47m Lieux de regard: Musée du Prado, Madrid (Espagne) Style: Romantisme Napoléon fait de son frère Joseph le roi d’Espagne en 1808 : les abitants de Madrid refusent et se révoltent le 2 mai 1808 (tableau de Goya : Dos de Mayo); le clergé joue un rôle essentiel dans cette révolte.
Les révoltés sont fusillés en plusieurs points de la ville durant la nuit du 2 au 3 mai sur l’ordre du maréchal Murat. Ces massacres sont peints par Goya en 1814, alors que le peintre est accusé, à juste titre, par la monarchie espagnole restaurée d’avoir eu des sympathies pour les mouvements libéraux (z idées révolutionnaires) : en 1824 Goya quitte l’Espagne pour la France, où il décède en 1828. Tres de Mayo (nom complet : El tres de mayo de 1808 en Madrid, oit « Le trois mai 1808 à Madrid ») est un tableau renommé. einte en 1814 et conservée au musée du Prado à Madrid, cette toile est également connue sous le nom Les Fusillades du 3 mai ou en espagnol sous les noms de El tres de mayo de 1808 en Madrid, ou Los fusilamientos de la montana del Principe pro. La scène décrite dans Tres de Ma o se tient dans les pre PAGF s 0 montafia del Principe Pio. La scène décrite dans Tres de Mayo se tient dans les premières heures du matin qui suit le soulèvement et est centrée sur deux masses d’hommes : un groupe désorganisé de captifs enus pratiquement à bout portant par les fusils d’un peloton d’exécution posant de façon rigide.
Bourreaux et victimes se font face et, selon Kenneth Clark, « dans un éclair de génie Goya a fait se contraster l’attitude féroce des soldats et les lignes d’acier de leurs fusils avec la masse s’écroulant de leurs cibles Une lanterne carrée située entre les deux groupes projette une lumière dramatique sur la scène. La zone la mieux éclairée est celle des victimes sur la gauche, où l’on peut voir un moine en train de prier, ce qui est consistant avec le désir de Joachim Murat de choisir les victimes parmi les membres des couches ociales les moins élevées et du clergé qui les a organisées.
Immédiatement à la droite de ce groupe et au centre de la toile se trouve les figures d’autres condamnes se tenant en ligne dans l’attente d’une exécution future. La figure centrale de la toile est l’homme à genoux entre les corps de ceux déjà executés, les bras ouverts et brillamment éclairé. Goya a voulu montrer l’innocence des condamnés en comparant l’espagnol portant une tunique blanche à Jésus: stigmates,bras levés… ll porte aussi une tunique blanche rappelant la pureté. Ses habits jaunes et blancs répètent les couleurs de la lanterne.
Sur la droite se tient le peloton d’exécution, pris dans les ombres et dépeint comme une un 6 0 et dépeint comme une unique unité monolithique. Pratiquement vus de dos leurs visages ne peuvent être vus, leurs baïonnettes et leurs shakos (les couvre-chefs militalres qu’ils portent) forment une colonne implacable et immuable. Sans que cela ne distraie de l’intensité de la scène au premier plan, l’on peut apercevoir dans l’obscurité, à l’arrière plan, un village et un clocher qui se découpent au loin.
Dos de Mayo et Tres de Mayo faisaient probablement partie ? l’origine d’une série plus longue. Des traces écrites et différentes preuves indirectes suggèrent que Goya a peint quatre grands tableaux commémorant la rébellion de mai 1808 dont deux seulement nous sont parvenus. En 1867, dans ses mémoires de l’Académie Royale, José Caveda parle de 4 toiles de Goya sur le thème ; Cristobal Ferriz un artiste et un collectionneur de toiles de Goya mentionne également deux toiles additionnelles et précise qu’il s’agirait d’une révolte au Palais Royal et de la défense de baraquements d’artillerie.
La disparition de ces deux toiles pourrait indiquer un mécontentement officiel concernant la anière dont avait été dépeinte l’insurrection populaire. Les Misérables domaines artistiques: biographie de l’auteur: Victor Hu o né le 26 février 1802 à Besançon et mort le 22 ris, est un poète, PAGF 10 dramaturge et prosateur romantique considéré comme l’un des plus importants écrivains de langue française. II est aussi une personnalité politique et un intellectuel engagé qui a joué un rôle majeur dans l’Histoire du XIXe siecle.
Titre et dates de création: les misérables 1862 lieux de regard et d’écoute: c’est un livre que lion peut retrouver dans une bibliothèque, sur internet… ‘œuvre fait référence au tableau d Eugène Delacroix (LA LIBERTE GUIDANT LE PEUPLE) 2 : CONTEXTE (H STORIQUE, SOCIAL, ARTISTIQUE… ) La fin du XVIIIe et au début du XIXe siècle, la France a témoigné des nombreux révolutions, bouleversements et exécutions. La vie quotidienne a été tourmentée par l’incertitude politique. Victor Hugo sympathise avec les républicains qui se battaient contre la monarchie.
La bataille de Waterloo et la chute de Napoléon sont des événements historiques qui ne cessent d’influencer les personnages et les événements dans le roman. La bataille de la arricade reflète la nature de la bataille de Waterloo: héroique mais vaine de changer l’ordre des rigides classes de la société et l’ordre politique de l’époque. Les Misérables est un roman de Victor Hugo qui fut publié en 1862. Les Misérables est un des romans les plus populaires de la langue française et a débouché sur plusieurs adaptations cinématographiques.
Dans « Les Misérables Victor Hugo retrace la vécu de misérables établis à paris dans le courant du 1 Be siècle. Le personnage central du livre Les Misérable 0 établis à Paris dans le courant du 18e siècle. Le personnage entral du livre Les Misérables est le bagnard Jean Valjean qui rappelle le personnage du condamné à mort du livre « Dernier Jour d’un condamné » ou encore « Claude Gueux ». Les Misérables est assurément un roman dans lequel on retrouve les idéaux du romantisme et les opinions de Victor Hugo sur la nature humaine.
Néanmoins, avant tout, Les Misérables est aussi un roman historique, social et philosophique. Eugène Delacroix I : ANALYSE barricade. Au premier plan, associés aux matériaux. pavés et poutres – que forment cette barricade, les corps de soldats morts apparaissent tordus et comme désarticulés. L’un gît nu. n ouvrier ou un paysan blessé, foulard noué sur la tête, émerge des décombres, le corps et le regard tendus vers une femme du peuple, coiffée d’un bonnet phrygien dont s’échappent des boucles. Celle-ci est représentée en pied et occupe de fait la place principale.
Elle brandit par la hampe un drapeau tricolore qui occupe l’axe médian de la toile. Sa poitrine est en partie découverte. On distingue quatre autres personnages aux abords de la barricade : deux enfants des rues – l’un coiffé d’un béret brandissant des pistolets de cavalerie, la bouche ouverte sur un cri, l’autre coiffé d’un bonnet de police s’agrippant au pavé un homme coiffé d’un haut-de-forme (qui laisse penser que c’est un bourgeois) mais portant le pantalon et la ceinture des ouvriers, les genoux sur la barricade, et un ouvrier portant un béret, un sabre briquet à la main et sa banderole sur l’épaule.
Les principaux protagonistes s’inscrivent dans un triangle dont le sommet est le drapeau. Les couleurs dominantes sont les bleu, blanc et rouge qui émergent des teintes grises et marron. La lumière semble provenir de l’arrière-plan et la femme s’avance vers nous en contre-jour. Les couleurs chaudes dominent les corps des émeutiers.