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Thématique : Art, Etat , pouvoir Problématique : Comment des artistes denoncent la ségrégation a travers leur art Définition de la ségrégation:l_a ségrégation raciale est une séparation organisée, de droit ou de fait, entre des groupes différenciés par la couleur de la peau(notamment entre les Noirs et les Blancs), à l’intérieur d’un même pays. La séparation peut être physique avec des lieux interdits à certains groupes (restaurant, toilettes, écale, cinéma, logement) au prendre la forme de discriminati civiques).
Je vais donc analysé I parle du racisme : cation, aux droits rs Oah ( Angela ) car il to View Dans les paroles il dit une phrase qui marque : Les gants noirs se levent un soir a mexico Sur cette image on voit deux noirs et un blanc et sur cette photo les deux nolrs leve le poing et baissent la tête pendant l’hymne américain car a ce moment la il ne sont pas traité comme les blanc et en levant le poing il veulent lutter contre le racisme il veulent vraiment avoir les même régles que les blancs.
Dans cette musique Angela de Yannick Noah il fait beaucoup référence a Angéla Davis Angela Davis es est une grande figure du mouvement Noir américain. Elle dhère au Parti Communiste vers 18 ans et devient membre des Black Panthers en 1967. Militante révolutionnaire, se battant pour l’égalité des noirs et des blancs mais également pour l’émancipation des travailleurs, elle comprend très vite que seule l’unité des mouvement sociaux et politiques entre blanc et noir, homme et femme permettra de combattre la classe .
Angela Yvonne Davis est née le 26 janvier 1944 au «Deep South», dans les bas-fonds de Birmingham, quartier surnommé «Dynamite Hill», état de l’Alabama, aux USA. C’est l’époque des grands troubles et du racisme exacerbé dans une société égrégationniste. Quand il dit En novembre 2008 un soir a chicago Les etats qui s’unissent et changent de peau Si le monde s’incline et nous parle de chance Ce soir angela c’est a toi que je pense Il veut dire que l’égalité blancs et noirs et presque devenue un point aboutie.
Et dans le dernière phrase il dit : «Ce soir angela c’est a toi que je pense» II dit sa car Angela Davis est morte est c’est la fille qui c’est le plus battue pour l’égalité noir et blanc. Ensuite je vais vous parler du tableau: The problem we all live With de Ruby bridges: Description du tableau: Au centre du ableau: The problem we all live With de Ruby bridges: Au centre du tableau on voit une petite fille noire marcher, des affaires d’école ? la main. Autour d’elle quatre hommes l’escortent. On ne voit que le bas de leurs corps.
Ils portent des brassards et des plaques : ce sont des agents du FBI. En arrière-plan il y a un mur, sur lequel on distingue l’inscription « nigger » ( nègre et « KKK » ( Ku Klux Klan ). Des tomates ont été lancées et se sont écrasées contre le mur. La petite fille est soigneusement habillée et coiffée ; elle porte une robe blanche, qui fait ressortir la couleur de sa peau. Ily a un fort ontraste entre elle et les hommes dont on ne voit pas le visage, même si on voit à leurs mains qu’ils sont blancs. Leur taille contraste avec celle de la petite fille.
Notre regard est attiré par cette petite fille qul se trouve au centre du tableau. Les hommes sont anonymes mais elle ne l’est pas. On voit à sa posture et à sa démarche qu’elle est déterminée. Elle est l’héroine du tableau. Le titre du tableau, « notre problème à tous » peut alors surprendre : dans la mesure où notre regard est attiré par le petite fille, est-ce elle notre problème ? Le jeu des couleurs guide notre regard sur le ta etite fille, est-ce elle notre problème ? Le jeu des couleurs guide notre regard sur le tableau.
L’artiste utilise la saturation des couleurs, comme en photographie, qui consiste à donner beaucoup d’intensité à certaines couleurs. Dans ce tableau, le blanc, le jaune et le rouge sont saturés, tandis que les gris et bruns ne le sont pas, et paraissent ternes. Notre regard part de la petite fille vers les brassards, les chaussures des hommes et le sol, jusqu’aux traces de tomates sur le muri ‘accent est mis sur l’innocence de cette enfant ( robe blanche ) qui contraste avec la iolence qui l’entoure ( les quatre hommes, les inscriptions, les tomates ).
Dans le même temps, cette violence est suggérée et non montrée. Ceci renforce encore la position d’héroïne de la petite fille. La violence est présente mais son origine est plus ou moins cachée, tout comme la ségrégation à l’époque, en particulier dans les états du sud. Les brassards, les plaques d’officier et la règle d’école étant de la même couleur ( jaune ), le spectateur est amené à les associer. On peut dire que ces objets rappellent en quelque sorte la loi, qui doit être respectée par tous. Ruby Bridges est originaire du Mississipi.
Sa famille s’est installée à la Nouvelle Orléans PAGF à la Nouvelle Orléans en 1960. A l’appel de la NAACP, ses parents ont accepté qu’elle participe au programme d’intégration de la minorité noire ( « Affirmative Action » Ainsi, elle fut la première enfant afro-américaine ? fréquenter cette école blanche, William Frantz Elementary School, et la première enfant noire ? fréquenter une école blanche en Louisianne. Face à l’hostilité des parents d’élèves blancs, Ruby dut être protégée par le FBI pour entrer ? l’école.
Là, tous les professeurs, à l’exception de Barbara Henry, refuserent de falre cours s’il y avait une enfant noire dans l’école. Pendant un an, Mme Henry fit donc cours à Ruby Bridges seule. Ruby Bridges raconte plus tard qu’à l’époque elle n’était pas consciente de l’enjeu de ce qui se passait dans cette école. Lors de son premier jour d’école en novembre 1963, elle croyait que la foule qui protestait contre son arrivée fêtait Mardi Gras. Ruby Bridges est devenue une figure populaire de la lutte contre la ségrégation. Elle a créé une fondation en 1999. Elle fut invitée par Barack Obama à la Maison Blanche en 2011 pour