hgftfj

essay A+

-Prologue- [ FLASH-BACK 1 – Pourquoi ils sont comme ça tes parents ? – La bonne question est pourquoi ils sont pas comme les parents normaux ? – Oui, c’est vrai ça. Dis-moi Hayat, ils ont quoi tes parents ? – Pourquoi vous parlez de ces parents, ils ont quoi ? – Son père il a les yeu Joue. – Hâyat tu veux te ma 56 p g a une tâche sur la – Pourquoi tu lui poses la question, qui oserai aller voir des parents comme les siens ? [ FIN DU FLASH-BACK] On est souvent blessant dans nos paroles, lorsqu’on est enfant, et souvent on ne s’en rends pas compte..

Je n’est jamais était omme toutes les petite filles de mon âge, m’amuser n’était pas mon objectif. Mon seul but était de me cacher des autres, pour ne pas entendre leur mauvaises paroles. Mes camarades de classe de primaire ne faisaient que de me poser milles et une questions sur mes parents. Je ressentais une certaine animosité envers eux, leurs vociférations me venaient comme un poignard droit au cœur. Par leur faute, j’ai ressentie une fois, une certaine rancœur proximité de leur lieu de résidence : une cité aux alentours de Paris.

Il a passé sa jeunesse à travailler , à se forger un avenir table pour subvenir aux besoin de ces parents. Étant fils unique, il était l’homme de la situation. Cislam a bercé son enfance. Mes grands-parents, je ne les ai pas connu. Ils ont quittés le monde Occidental, pour retourner au source, et sont tout les deux morts dans leur pays d’origine. Ma mère, est originaire d’une ile dans l’Océan Indien. Elle a fait des études mais n’est pas arrivée très loin. Ses parents l’ont envoyés en France pour la voir réussir, mais le destin en a décidé autrement, à cause de cette marque qu’elle porte à vie.

Elle a donc rencontrée mon père. Ils se sont unis devant Dieu avec l’accord de ses parents mais après le mariage, un incident est venu bouleversé leur vie, depuis mon père est « hait » par la famille de ma mère car « Il a détruit la vie de Nadjima ». Mes grands- parents maternel, mes tantes maternel souhaitent tous que ces deux cœurs uni pour toujours, se séparent à jamais. Hâyat Ben Hassine. Servante d’Allah. Dévouée à mon Créateur, et à ma famille. Je suis obligée de travailler pour ne pas qu’on se retrouve à la rue.

On vit dans un quartier comme les autres dans la France dites par tous d’en bas, là où il n’y a pas de futur emble-t-il. Après les médias, ce sont eux-même habitant de cet endroit qui le répète maintes et maintes fois pour se l’encré dans leur poitrine et dans ceux qui veulent s’en sortir. Ces blocs en ciment, 2 OF pour se l’encré dans leur poitrine et dans ceux qui veulent s’en sortir. Ces blocs en ciment, les éduquent, les font grandir, et ils en oublient la recherche de la réussite qui est fondamental dans notre religion. Ils en oublient parfois la raison même de leur venu sur cette Terre..

Dans ce quartier, ils en perdent leur repères et se fondent dans les vices de notre plus grand ennemi : Satan. J’ai déclarée une guerre il y a de ça des années, et elle perdure. Le combat que je mène est contre ce quartier, je suis le seul soldat dans les tranchés mais je trouverai le moyen de gagner. Je ne veux pas le quitter loin de là puisque c’est celui qui m’a construit, qui m’a vu sourire et pleurer… je veux tout simplement lui apprendre en quelques sorte une leçon, apprendre à leurs habitants qu’on peut tous réussir, qu’on soit riche ou pauvre, blanc ou noir.

J’ai un destin semble-t-il enflammés puisque ces flammes ne s’éteigne jamais. Un destin enflammés avec un cœur carbonisés, seul l’extincteur u Divin peut éteindre le mal enfoui dans les profondeurs de mon âme. Histoire fictive ! Partie 1 : « Histoire de famille. » – Yemma, laisse Je vais le faire. Je me met à genoux et ramasse les bouts de verre au sol. Je la vois partir dans sa chambre, la pensée lointaine. Tout le poids du monde sont sur les épaules de cette reine sans couronne, j’essaye de la soula er en l’aidant dans les tâches ménagère : entre mon pe t le travail.

J’ai beau 3 OF ménagère : entre mon petit frère, la fac et le travail. J’ai beau essayée, rien y fait. J’alterne entre beaucoup de chose, mais Dieu st témoin à quel point toute ces choses que je fais sont rien comparé à ceux qu’elle a subit durant toute sa vie. Yemma, tu es la femme aux milles talents. Tes cernes reflètent ton passé douloureux, ton attitude reflète la foi que tu as envers Dieu. Le temps de l’insouciance et l’innocence me manque pas plus que ça, car petite je ne pouvais pas t’aider et j’assimilais des choses que je n’arrivais pas à gérer..

Aujourd’hui du haut de mes dix-huit printemps, je prends un minimum de ta souffrance, pour alléger ton âme, et ton corps. – Hafid nodi ! (*Réveille toil) – Hafid : Tête en l’air cette fille, je suis réveillé. Il se réveille avant moi, et je l’oublie à force de faire beaucoup de chose. Il passe la plus part de son temps à la mosquée ou ? apprendre le Coran. Il est certes jeune, mais un grand modèle pour la jeunesse de mon quartier. Il a quatorze ans, et est investi dans le dine (*religion) .

Son exemple n’est personne d’ autre que mon père, il veut le rendre fière par n’importe qu’elle moyen. Son rêve est de devenir un footballeur, malgré nos problèmes financiers, mes parents font de leur mieux pour réaliser ce rêve. Je suis fière de lui, malgré son jeune âge il est très mature. Notre enfance n’a jamais vraiment était rose ; mais toujours dire AIHamdûIliIlah. Il est 7 heure, je sors de chez moi le cœur attristé, car derrière moi c’est mes parents que je lai 4 OF est 7 heure, je sors de chez moi le cœur attristé, car derrière moi c’est mes parents que je laisse.

J’accompagne mon frère au collège. C’est bizarre paraît-il mais c’est notre façon de passer du temps ensemble. Depuis mes douze ans, on fait la route ensemble ; les moqueries ont marqués notre jeunesse. En grandissant, on a entendu plusieurs enfant porter des paroles méchante voir violente envers mon géniteur et celle qui nous s porté neuf mois dans ses entrailles. Une enfance semé d’embûche dirait-on, mais c’est ce qui nous as donné la maturité necessalre pour avancer. Toujours les mêmes têtes dehors.

II salut Hafid en lui serrant la main, et me lance un léger « Salam » : ils ont des voix détruite par la cigarette et le cannabis. Aucun d’entre eux, ne me me serre la main, comme certaine jeune femmes du quartier font avec eux. Pour la simple et bonne raison, que je n’ai jamais acceptée et eux ne pousse pas non plus car je suis voilée et très discrète. un vent dise-t-il car je ne prête aucune attention aux personnes autour de oi, et que je suis très mystérieuse avec les membres de la cité. Les hommes et les femmes ne doivent pas être ensemble, c’est écrit dans le Saint-Coran et ce n’est pas pour rien.

Dans un hadith authentique rapporté par Ahmad, le Prophète paix et bénédictions sur lui dit : « Les yeux se rendent coupables de fornication, les mains se rendent coupables de fornication, les pieds se rendent coupables de fornication et les parties intimes se rendent coupables de fornication. » S OF rendent coupables de fornication et les parties Intimes se rendent coupables de fornication. » Ses hommes je les vois toujours de la même manière, ce sont des damnés, des âmes tiraillés par la défaite car ils empruntent le chemin le plus dangereux ; celui de l’illicite.

J’ai toujours la sensation dans mon cœur, qu’ils n’ont jamais essayé de se remettre en question, de s’insérer dans la société, de changer leur mode de vie, de retracé la route de leur père en cherchant à travailler dur pour réussir. Leurs pères et leurs mères ont toujours cherchés le meilleur pour eux : surtout en quittant leur pays natal pour que leur fils connaissent enfin la définition du mot « réussite Cest un triste destin qu’il se dessine. On connaît l’image que donne les médias, et eux s’appuie sur ça pour ne pas faire leur vie dans la droiture.

La facilité est une voie que plusieurs d’entre eux ont empruntés. Jien ai vu des frères regrettaient, des mères Inconsolable, des familles entièrement détruite à cause de leurs bêtises. Ces frères sont soit en prison, soit mort. – Hafid : Je connais ton discours du matin, « Tu ne dois pas devenir comme eux, ce n’est pas un chemin à prendre, je prie Allah pour les guider, mais Allah guide qui Il veut. » Hayati (*ma vie) je sais tout ça. M’appelle pas Hayati, c’est Maman et Papa qui en a le droit.

Toi, tu m’appelle comme c’est indiqué dans ma carte d’identité c’est- à-dire… – Hafid : … Hayat. Je connais par cœur tes speechs du matins. Martin Luther King au féminin, Martin Luther King au féminin, continue avec tes « have a dream.. » J’arbore un sourire puis passe mes mains sur ces cheveux. Mon petit-frère c’est mon soutien, celui qui en sait des tonnes sur moi, et vice-versa. On se dit pas explicitement qu’on s’aime mais juste avec quelques paroles on se comprends. Le silence, c’est mon meilleur ami je dirais.

Je ne parle pas beaucoup ; quand je parle c’est pour de bonne raison. Je suis solitaire paraît-il mais ils ont oublié que j’ai Le Miséricordieux auprès de moi et surtout mes deux parents. On choisit les amies comme ont choisirai son mari ; il ne faut pas se tromper. Je connais des sœurs de la Mosquée, une amie en dehors de l’université que j’ai d’ailleurs rencontré à la Mosquée mais pas plus. Les amis c’est pas ce qu’il me manque le plus dans ma vie ; ce que je voudrais c’est l’éternel bonheur de ma famille. Nous avons tous vécu une mésaventure dans notre vie.

Certaines équelles ont cicatrisé mais dautre sont toujours entrouvert ; surtout quand on vis dans un endroit isolé, dîtes la France d’en bas, l’endroit où se réunissent des origines différent, où les forces de l’ordre ne cesse de faire leur ronde, où l’on voit des mère pleuraient car leurs fils ont étaient incarcérés ou tués. Ces blocs de ciment, nous voit grandir et nous voit nous détruire. Ma famille et moi, n’avons jamais eu une vie paisible. Je suis le membre entier de mes deux parents ; Nadjima et Souleymane. Mon père un ho OF paisible. Je suis le membre entier de mes deux parents ; Nadjima t Souleymane.

Mon père un homme très bon. Honnête dans ces démarches, et courageux dans ces actes. Un pieux, un modèle. Le Très-Haut ? décider de l’éprouver, en lui ôtant la vue. Mon père est aveugle, il a perdu la vue peu après son union avec ma mère. Mon père n’a jamais vu le visage de sa fille, ni de son fils. Quand je repense à ça, j’en frissonne tellement ça me fait mal. II passe souvent ses mains sur nos visages en disant toujours « MachalAllah. Ma mère, elle c’est sa béquille, une femme forte, qui l’a toujours aidé dans ses moindre fait et geste depuis l’incident.

Mais elle aussi st torturée par les aléas de la vie ; une cicatrice à vie longe sa joue gauche. Quand deux jeunes enfants partent à l’école et qu’a chaque recoin on nous rappelle le physique et la différence de nos parents, ça fait horriblement mal. Le plus important est qu’ils ont tous les deux la foi.. Le plus dur c’est de les voir perdre le moral et de se rassurer en lisant des versets Divin. – Hafid : T’est toujours dans tes pensés Hayat. 3egouna (*imbécile Après les cours je bouge à la mosquée donc à ce solr- – Traîne pas, Yemma et Baba ont besoin de toi ! – Hafid : T’inquiète, je sais.

Tu travaille ce soir ? – Oui.. Je vais être en retard à cause de toi à la fac ! – Hafid : Comme d’hab ! – il me sourit- On se tchèque, et je presse le pas pour ne pas rater mon bus. Ouf ! Comme d’habitude, j’arrive pile poil au moment où le bus est là. Je monte, 8 OF pas rater mon bus. Ouf ! Comme d’habitude, j’arrive pile poil au moment où le bus est là. Je monte, et reprends mon souffle. Tout les matins j’ai ce sourire aux lèvres que seul mon frère peut me donner. J’ai tendance à sourire pour un rien, à travers ce large sourire je cache tout simplement ma fatigue.

Il a raison, je suis oujours dans les vapes, je suis le genre de femme rêveuse, qui rêve du bonheur absolu. Je suis ce genre qui n’oublie pas que le sourire est une aumône. J’imagine beaucoup le futur que je n’aurais sûrement pas, mais rien est impossible dans cette noble religion qu’est l’Islam. Des hommes se trouvent dans le bus, avec une odeur nauséabonde certainement des drogués, ou des alcoolique, des mères allant sûrement au marché, des étudiants, des personnes âgées lisant le journal dans le bus, des jeunes filles parlant entre- elles très fort pour se faire remarquer ; la parfaite ambiance des ransports.

Au fond du bus, se trouve Sakeena, la sœur que j’ai rencontrée à la Mosquée qui est devenu une amie à part entière. Elle est Pakistanaise, voilée. Elle fait des études de Droit, contrairement ? moi en psycho. – Sakeena : As Salam Aleikoum, Ghizlane (*gazelle) . – Waleykoum Salam -sourire- j’ai un prénom et c’est pas Ghizlane. – Sakeena : Hâyat, Ghizlane, c’est pareille ! – Vas-y raconte. – Sakeena : Raconter quoi ? – Quand tu m’appelle Ghizlane, c’est que tu as un service ou une chose importante à m’annoncer! 9 OF – Sakeena : On se connaît depuis seulement un an, et tu me onnaît comme ta poche..

En faîte, c’est un problème, mais c’est plus que ça, c’est pire qu’un problème, en gros.. Il n’y a pas de problème je parie ? – Sakeena : Ouais t’a tout compris cousine ! Comment tu sais ? – Arrêtes de faire l’enfant, et explique sans tourner autour du pot. – Sakeena : Je vals me marier. – Macha’Allah, félicitations ! – Sakeena : Baraka Allahu Fik (*Qu’AlIah te récompense), mais le problème c’est… II n’y a aucun problème, arrêtes de te prendre la tête. Vaut mieux se marier dans le hlel (*le licite ) que le haram (*l’illicite) Un ariage ça évites beaucoup de problème.

AIHamdûllillah pour toi un homme censé est venue demandé ta main, imagine c’était un drogué ou un alcoolique ? Et il s’appelle comment ? – Sakeena : Djibril. Ce qui me contrarie c’est de laisser mon père. Le mariage religieux est pour dans quatre mois. – Insha’Allah -sourire-Ton père c’est un grand homme avec le cerveau d’un enfant il va réussir à ce débrouiller sans toi t’inquiète même pas… et j’espère qu’il va réussir à te supporter ton prince charmant ! – Sakeena : Si mon père et toi pouvais pourquoi pas lui ? – On est des cas à part.