Hegel

essay B

Cela ne ignifuge pas pour autant qu’il suit aveuglement cette idée, mais il va exposer son point du vue à ce sujet. AI ajoute qu’il convient donc que le but essentiel à l’art est d’imiter la nature, et de la meilleure façon possible. Pour nous satisfaire, l’art doit donc réaliser une imitation de la nature réussie. Néanmoins, gel énonce clairement le fait que reproduire parfaitement et sans modifications la nature n’est pas une chose possible. Les moyens de l’art à son époque sont bien inférieurs à ceux de la nature, qui sont sans limites.

Ces besoins sont d’ailleurs naturels, dans le as d’un artiste peintre, les pigments de couleurs spire toi vie nées page gel frère boy matérielle 1 homophone 03, 2009 5 pages couleurs proviennent de la nature, et de même pour le fusain, le bois de son chevalet, ainsi que sa toile. gel continue sur la conception importante de sa critique, l’art en tant que seule imitation de la nature est superficiel. gel nous fait comprendre qu’il est inutile de reproduire ce que l’on trouve déjà si facilement dans la nature.

Il amplifie sa pensée en annonçant qu’il est orgueilleux, suffisant, ou encore présomptueux, de reproduire la nature. Le résultat final est toujours en deçà, puisque « L’art est limité dans ses moyens d’expressions ». Malgré les meilleurs outils du monde, l’art ne peut reproduire parfaitement la nature. Cette dernière est d’une complexité colossale face aux faibles moyens de l’art. gel enchérit au sujet du fait qu’il n’est possible de reproduire les cinq sens présents dans la nature.

De ce fait, l’art ne peut offrir que des illusions à l’homme, en trompant certains de ses sens. Dans sa conclusion, gel explique que finalement, si on ne prend que le but de la stricte imitation de la nature Ar l’art, on ne retient que a caricature de la vie. Une caricature de la vie énonce le fait que c’est l’homme qui a réalisé cette ?ouvre, et donc qu’il compose aussi la caricature, en lui amenant la vie. On lit ici une opinion très négative sur cette forme d’art de la part amenant la vie.

On lit ici une opinion très négative sur cette forme d’art de la part d’gel. C’est en se basant sur une idée commune que gel commence sa démonstration. Si l’art est à son époque encore couramment une représentation de la nature, il n’est plus de même à la notre, après l’arrivée de l’art déroder, suivit de l’art contemporain. Mais c’est surtout en expliquant que l’art en tant que représentation de la nature vise à imiter de la meilleure façon possible cette nature que gel est le plus en décalage avec ce que l’art est devenu.

L’imitation de la nature ne se veut pas forcément parfaite. Avec ‘impressionnisme, ça représentation qui peut être une image de la nature, ne se veux plus du tout parfaite. gel explique ensuite que toute reproduction stricte de la nature est superficielle, qu’elle est inutile. On peut se poser la question sur le fait qu’il n’ait pas expliqué, ou cherché méprendre pourquoi tant de peintres depuis si longtemps ont pour désir d’imiter la nature, de la façon dont-ils ont envie.

Si ces derniers ne veulent pas forcément faire quelque chose d’utile, ils ont malgré tout un but derrière leur processus de création, ou de reproduction. Nous savons qu’un artiste peintre est conscient des limites de son moyen d’expression, et que si son but était de reproduire la an conscient des limites de son moyen d’expression, et que si son but était de reproduire la nature à la perfection, il choisirait d’autres moyens d’expressions, ou abuserait de uses. gel l’explique clairement, les moyens de l’art ne sont qu’une goûte d’eau face aux moyens à disposition de la nature, à savoir, l’infini.

Si certains artistes de son époque font un travail qu’il qualifie de présomptueux, d’autres n’ont pas ce but en tête. La nature est quelque chose que l’homme admire depuis toujours, il s’en inspire, certains la reproduisent, d’autres la contemplent. gel s’attarde ici que sur une petite proportion des humains, bien qu’en grande portion dans le milieu artistique de son époque. Il conclut son texte par une idée encore acquise aujourd’hui, bien que légèrement provocatrice, l’art en tant que stricte représentation de la nature est une caricature de la vie.