GUERRE

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Au final, pas moins de 100 000 pigeons oyageurs furent utilisés par les Anglais durant la guerre. Bien des soldats doivent doivent leurs vies grâce aux pigeons voyageurs et les pigeons héros de la guerre sont nombreux on peut citer des noms comme « Spike » un de ces pigeons ordinaire sans pédigrée qui transporta plus de 52 mes messages sans jamais être pris, ou encore « Kaiser » qui effectua des missions périlleuses et qui mourut à l’âge de 22 ans, « Le Mercury » un pigeon Britannique seul rescapé d’un lâcher important il parcouru les 900 km en reliant le Danemark IAngleterre en délivrant un message important pour la résistance

Danoise. Ces pigeons devaient échapper à la mitraille, aux obus et aux tirs nombreux de tireurs d’élite spécialement entrainés pour abattre les messagers ailés et aux rapaces dressés pour les chasser. http://cousin. pascall . free . fr/pigeons- 14-18. html Mais il n’y avait pas que des pigeons, il y avait aussi des animaux dont l’utilisation dans la guerre est surprenante comme un éléphant ou un lionceau. Côté Allemand, l’Elephant sert à toute sorte de tâches lourdes et difficile pour un homme : ET le lionceau était la mascotte de l’armée de l’air au sein de ‘escadrille franco-US Lafayette.

Voici Whisky, le lionceau : ly a aussi eu les chiens, qui eux ont beaucoup servis, et a différents poste. Chiens sentinelle Chiens d’estafette Chiens de R&D (recherche et destruction) Chiens sanitaires Et les chiens de mascottes. Notons d’ailleurs que suivant les directives de l’armée Française, les chiens de guerre et ceux de trait devaient obligatoirement être accompagnés d’hommes les ayants en garde spécialement. Ces hommes devaient avoir en outre réalisé un stage dans un des chenils de l’armée.

D’ailleurs il v a eu une capi rie Moufflet, qui fut le • I 2 DES Moufflet, qui fut le premier à suggérer l’idée d’employer les traîneaux à chiens pour le ravitaillement des troupes en lignes dans les montagnes des Vosges et de l’Alsace. Il fut alors envoyé avec le lieutenant Mallet aux USA et au Canada, afin d’y acheter les chiens et le matériel nécessaire. pas moins de 436 chiens sont arrivés au Havre, sur les 440 partis depuis le Canada.

Une unité constituées de gradés et d’hommes de troupes prirent possessions des animaux afin de constituer des équipages à moitié familiarisés à ses animaux à moitié auvages et prêt à devoir monter au front. Près de la moitiée, sur un total de 436 chiens de traîneaux rapatriés d’Alaska et du Canada moururent durant la guerre. Pour exemple d’un chien qui a beaucoup sen,’i il ya Stubby, un soldat qui fut promu, durant la Première Guerre Mondiale, sergent et décoré de la médaille de la bataille de Verdun.

C’est un parcours exceptionnel pour un chien, puisque en outre il sen,’it dans les tranchée au chemin des dames, où il arrivait prévenir d’attaques d’obus et ou de gaz. Il fit même capturer un espion Allemand qui se cachait au sein de son armée. Un autre animal, qui fut le plus utilisé, le cheval. Des millions de chevaux furent réquisitionnés, pendant la bataille de Verdun il y en a eu environ 7000 qui perdirent la vie. Et pas moins de 9 à 10 millions au total. Ils servirent en autre a la cavalerie, au ravitaillement au quel il devait porter une charge d’environ 150 kg, ce qui n’est pas rien. aussi pour l’estafette.

Mais son utilisation sur les champs de bat 3 OF s ce qui n’est pas rien. Et aussi pour l’estafette. Mais son utilisation sur les champs de batailles, devenait de plus en plus ponctuelle puisqu’ils étaient remplacé par les premiers har d’assaut, les voitures etc… D’ailleurs l’empire Allemand et Austro-Hongr01e arrêtèrent rapidement l’utilisation sur le front de l’Ouest tout en utilisant sur celui de l’Est à nombre limité. Parmi les pays alliés, le Royaume- Uni utilise l’infanterie montée et la charge militaire tout au long de la guerre, alors que les États-Unis ne s’en servent que sur une période très courte.

Elle ne se révèle que peu efficace l’ouest, mais la cavalerie alliée obtient quelques succès sur les opérations moyen-oriental, en partie dus au fait qu’elle fait face l’Emplre ottoman, un ennemi plus faible et techniquement moins avancé, qui utilise massivement la cavalerie. L ‘Empire russe emploie également des chevaux sur le front de l’Est, avec peu de résultats. Dans son rôle offensif sur le champ de bataille, le cheval disparaît presque complètement, mais sa présence reste significative tout au long de la guerre, et environ huit millions participent au conflit.

Son emploi se spécialise à la logistique, car il présente l’avantage d’être utilisable sur les terrains accidentés ou boueux, inaccessibles aux chars, voitures, motos etc.. t ne consomme pas de carburant alors que les besoins en charbon, essence et gaz dépassent largement la production. Les montures servent également dans la reconnaissance, tractent les ambulances et transportent du matériel et des messagers. Leur présence a 4 OF S reconnaissance, tractent les ambulances et transportent du matériel et des messagers.

Leur présence a un effet positif sur le moral des troupes, mais elle favorise aussi la transmission de maladies et la dégradation des conditions sanitaires sur le front, causées notamment par le fumer et les carcasses. Leur conditions était vraiment très difficile, et il avait très peu de fourrage, pour se nourrir, c’étais pour eux comme les hommes, une vraie boucherie. Si bien que la plupart des chevaux chez les Allemands moururentde faim. Quand les hostilités prennent fin, de nombreux chevaux sont abattus du fait de leur grand âge ou de leur maladie.

Les plus jeunes sont vendus aux boucheries françaises ou aux particuliers ; ce qui ne manque pas d’attrister les soldats, obligés d’abandonner les bêtes qu’ils ont soignées pendant les années du conflit. En France, 35 % du million de chevaux morts, seront abattus ar les militaires pour des raisons sanitaires, afin d’éviter la propagation de maladies ; utilitaires, pour la consommation de leur viande (en cas de pénurie), ou encore, morales et sentimentales, afin d’abréger les souffrances d’un animal condamné… n million d’entre eux trouvent la mort durant le conflit, côté français, bien plus encore sont traités dans des hôpitaux vétérinaires avant d’être renvoyés au front. Plusieurs mémoriaux ont été érigés à la mémoire des animaux tombés pendant le conflit ; ainsi, à Bruxelles, Charleroi, Lille, Berlin, Londres…