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Ceci marquera ses œuvres, puisqu’elles concern autre. Dans Stupeur en dérision non seul toute la culture nipp travail pour les japon S p next page façon ou d’une Nothomb tourne Il Japonals, mals fascine tant. Le uement pour l’entreprise, qui représente l’empereur pour les samouraiS et la culture représente les diverses règles et contraintes de la vie des samoura. s. Développement : Effectivement, au cours de la lecture du roman on découvre la ision du travail japonais par le vécu de l’auteur Swige to next page l’auteur.

Cette VISIOn devient rapidement parodique pour le lecteur malgré la véracité des faits de base. par exemple, lorsqu’Amélie, le personnage principale du roman, se dit d’ (page 27, ligne 419), qui consiste à tourné les pages de calendrier, on sent bien l’ironisme dans ces propos. Cette hyperbole traduit le sentiment d’inutilité du personnage par son contraire, labeur étant un dur travail. On se doute bien que la tâche accomplir n’est pas un labeur, mais loin de l’être. La dérision se fait également sentir lorsqu’AméIie se dit être (page 49 lignes, 922 923).

Cette antithèse prouve, que pour le personnage, son travail est si facile qu’elle n’aurait pas dû faire d’étude supérieur, car elle ne se sert pas des ses connaissances apprises au cours de ses études ni des qualités pour lesquelles elle a été engagée. pour accentué le côté parodique du roman, alors qu’Amélie fait un travail pouvant être considéré comme dégradant, préposée aux cabinets, elle se fait dire par l’un de ses supérieurs : (page 107, ligne 2296). Cette litote dépeint la vision des cadres des entreprises quant au travail des employés.

On suppose donc, que pour monsieur Saito, même le plus dégradant des travails est honorable puisqu’il est un travail. En bref, la relation des japonais envers le travail est représentée dan 2 un travail. En bref, la relation des japonais envers le travail est représentée dans le roman de Nothomb de façon quasi parodique tellement cela est dérisoire. Ensuite, c’est au tour de la culture nippone d’être critiqué de manière subjective et ironique. Effectivement, Nothomb dénonce nsuite la culture traditionnelle des japonais pour diverse raison.

Tout d’abord, l’auteure nous donne un aperçu de l’extravagance des formules de politesse avec la redondance (page 18, lignes 21 1-212). Cette figure de style exprime l’exaspération d’Amélie face à autant de contrainte simplement pour les formules d’usage. Dans le même sens, l’auteure nous fait comprendre son point de vue face à l’éducation des jeunes nipponnes de façon plutôt caricaturé de par la métaphore qui dit que les jeunes filles doivent (page 73 lignes 1488-1489). Elle veut ainsi refléter e fait que les jeunes filles du Japon on beaucoup de contrainte physique et mental pour espérer avoir du succès dans le monde nippon.

Effectivement, elles doivent être mince, belle, distingué, doivent être marié avant l’âge de vingt-cinq ans et bien plus encore. La culture nipponne est aussi pointée du doigt alors qu’Amélie ridiculise une fête traditionnelle : le nouvel an. Pour ce faire, elle change totalement de registre de langue, passant de courant à rech 3 nouvel an. Pour ce faire, elle change totalement de registre de langue, passant de courant à rechercher grâce au mot : . Celui- ci signifie le fait de ne rien faire et dans ce contexte précis rien faire pendant trois jours.

Amélie exprime de par ce mot et ce changement de registre que pour les nippons il est très difficile de ne rien faire pendant trois jours dû à leur rapport avec le travail entre autre. En bref, Nothomb relate sa nouvelle vision de la culture nipponne avec dérision. Conclusion : pour conclure, dans le roman Stupeur et Tremblements, Amélie Nothomb tourne en dérision non seulement le monde du travail japonais, mais toute la culture nippone postmoderne ui la fascinait tant depuis sa tendre enfance.

Dans ce roman autobiographique nous retrouvons la vision de l’auteur face à une nouvelle culture qui est radicalement différente de son origine belge. Dans la nouvelle littéraire de Guy de Maupassant La parure, les thèmes abordés sont le changement de statut social au sein de la hiérarchie en place ainsi que le bien paraitre. On peut retrouver ces deux thèmes roman d’Amélie Nothomb de par les différents statuts dans rentreprise Yumimoto ainsi que dans la pression culturel nipponne.