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La poésie est un moyen de faire passé un message, de s’évader, de rêver. Elle est présente partout autour de nous, mais il faut lui accorder une grande attention pour d’instiguer le sens dune poésie et comprendre les sentiments du poète. Elle est le fruit d’un long travail basé sur l’expérience personnel et les rêves du poète, qui nécessite également beaucoup d’inspiration, et une maîtrise parfaite de la langue.
Si j’aime tout particulièrement cet art, c’est sans doute pour sa beauté et les sentiments que l’on peut ressentir quand on lis une poesle. J’ai choisi le thème « Tempus fugit » car j’aime le fait que ce soit n sujet qui nous concerne tous mais que personne ne peut next page éviter. N’importe qu’ compte à quel point I poètes du XIXe siècle nst,:. qui on développés pr Alphonse de Lamarti e sa vie c’est rendue le. Ce sont les vement romantique notamment tiques.
L’expression « Tempus fugit » est une expression latine qui signifie mot à mot « le temps fuit Cependant elle plutôt traduite comme « le temps passe vite Elle exprime la préoccupation du peu de temps que l’on dispose. Les poètes ne réagissent pas tous de la même manière à cet obstacle : Nous verrons donc à travers cette anthologi Sv. ipe to anthologie comment les poètes abordent ce thème de diverses manières, car la fuite du temps dans sa complexité, provoque chez les poètes différentes réactions, certains par exemple en ont peur et sont donc plus retissant a développé cette idée.
Ceux qui osent utilisent des lieux ou des personnes qui changent, ou encore la vieillesse, l’amour, l’eau ou les fleurs, pour tenter de la définir. e premier poème de ce thème est intitulé « Soir Il a été écrit par Charles Cros, qui est né en 1842 à Fabrezan dans l’Aude et qui est mort enl 888 à Paris. Charles Cros est un savant, un poète t un conteur français, il appartient à la littérature classique. Ce poème est tiré du recueil Le coffret de santal datant de 1873 et augmenté en 1 879.
CharIes Cros fait partie du mouvement symboliste. soir Je viens de voir ma bien-aimée Et vais au hasard, sans desseins, La bouche encor tout embaumée Du tiède contact de ses seins. Mes yeuxvoient à travers le voile Qu’y laisse le plaisir récent, Dans chaque lanterne une étoile, Un ami dans chaque passant. Chauves-souris disséminées, Mes tristesses s’en vont en l’air Se cacherpar les cheminées. Noires, sur le couchant vert-clair. Le gaz s’allume aux étalag 2