foot usa

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http://franceusamedia. com/2014/07’comment-le-soccer-gagne -son-match-aux-etats-unis/ Quelle est la situation du soccer au États Unis aujourd’hui, selon vous ? Le soccer aux Etats Unis est peut être parfois plus dirigé par des idées commerciales que par des idées éducatives. par exemple, les enfants jouent à 11 contre 11, dés l’âge de 10 ans, ce qui représente plus de cotisations pour les organisateurs, mais assurément moins de développement des qualités du joueur, qui est du coup moins souvent en possession du ballon, que si le match se déroulait sur un terrain réduit à 7 contre 7, 8 contre 8 ou g contre 9.

Les mentalités semblent cependant évoluer et les to page institutions américai la formation des jeun or 20 abrite les équipes pr New York Red Bulls e dAcadémie (équivale plus d’importance ? r League Soccer, qui . i;-ic es, dont LA Gala»’, s ses directeurs centre de formation) une formation « à la française » dirig e par la Fédération française de Football. Cela est révélateur, à la fois de leur volonté de hisser le football professionnel des Etats Unis parmi les meilleurs du monde, mais aussi de la réputation internationale de notre modèle de formation français.

Quels sont les effets de la Coupe du monde 2014 sur le soccer au ?tats-Unis? Tout le monde en parle, l’effervescence est palpable, avec les différentes nationalités et origines représentées en Californie du Sud, les pronostics vont bon bon train. D’ailleurs le parcours de l’équipe de France sur cette première phase de poule, en espérant que l’aventure se poursuive, redore considérablement l’image de notre équipe nationale. En général, pensez-vous que les enfants américains d’aujourd’hui s’intéressent plus au soccer? Pourquoi?

L’enfant américain s’intéresse à ce qu’il voit à la télé, et aujourd’hui le championnat le plus médiatisé avec la Major League Soccer (MLS), est la premier league anglaise. Le PSG et Ibrahimovic commencent a les intéresser un peu mais on n’est loin de l’engouement pour Chelsea, Manchester ou Arsenal. Donc je dirais que le fait, que de plus en plus de star internationales rejoignent la MI_S ou que ‘équipe nationale américaine se qualifie a nouveau pour les huitièmes de finale de la coupe du monde, sont des facteurs stimulants pour le soccer aux USA.

Avez-vous des anecdotes sur la culture du soccer ici au États- Unis ? La culture américaine est tournée vers l’excellence pour des raisons aussi bien culturelles, que financières. Lorsque ‘adolescent obtient une bourse universitaire de par ses qualités sportives, les parents peuvent économiser des dizaines de milliers de dollars. a culture du résultat immédiat est parfois compliquée à gérer, car les clubs, les écoles, les parents sont quelquefois plus intéressés par le résultat du match que par le développement du joueur.

Nous avons là un gros rôle d’éducation, de dédramatisation de l’enjeu, de justification de notre démarche pédagogique sur le mayen et long terme. Mais, et c’est très encourageant, en fin de programme, rares ne sont pas les par OF long terme. Mais, et c’est très encourageant, en fin de rogramme, rares ne sont pas les parents, qui nous remercient d’avoir, sans recours au cri ou à une pression démesurée, amené leurs enfants à se développer harmonieusement, à gagner en confiance et à se focaliser toujours plus sur le plaisir du jeu. http://fr. ikipedia. org/wiki/Soccer_aux_%C3%89tats-lJnis http://fr. wikipedia. orvwiki/%C3%89quipe_des_%C3%89tats-ur-lis de soccer http://fr. wikipedia. orVwiki/Major_League_Soccer http://www. footmercata. net/autre-championnat/le-soccer-connait -toujours-plus-de-succes-aux-etats-unis-grace-a-la-coupe-du -monde-2014 132644 Mals les mentalités sont en train d’évoluer. 96 838. Cest le nombre de tickets achetés, selon des chiffres annoncés par la FIFA et relayés par Forbes, par les Américains pour assister à des rencontres de la Coupe du monde 2014.

Les États-Unis arrivent ainsi à la première place des nations étrangères (Brésil exclu, avec 1,3 millions de billets) présentes au pays du foot pour ce Mondial. Certes, ce chiffre est à rapporter au nombre dhabitants, mais cela témoigne tout de même du fait qu’outre-Atlantique, le soccer prend de plus en plus de place, et tente de se frayer un chemin au milieu des sports incontournables tels que le basket, le foot us u le baseball. A l’occasion du match Ghana-USA, ESPN a rassemblé plus de 11 millions de personnes, selon la FIFA. n record pour la chaîne pour une rencontre de Coupe du monde masculine, explosé dans la foulée à Poccasion du match face au Portugal. Pour cette rencontre, 18,2 millions de téléspectateurs ont pu apprécier la performa face au Portugal. Pour cette rencontre, 18,2 millions de téléspectateurs ont pu apprécier la performance des Américains, avec un pic à près de 23 millions dans la dernière demi-heure. Des scores incroyables. Tout cela persuade les jeunes américains à prendre une licence t à s’essayer au soccer.

Si en octobre 2012, les États-Unis comptaient 4,1 millions de licenciés de soccer, ils sont aujourd’hui 4,3 millions (début 2014) à taper le cuir. Le succès n’est pas que sur le terrain. Ily a également de plus en plus de monde dans les tribunes. Selon les chiffres de MLS Soccer, en 2003, la ligue connaissait une affluence moyenne de 14 900 spectateurs. Dix ans après, en 2003, les joueurs ont évolué devant plus de 18 500 spectateurs en moyenne. une augmentation de près de 25%. Nul doute qu’au fil des années, le soccer devrait prendre encore plus de place aux États-Unis.

Et un joli parcours des hommes de Klinsmann en Coupe du Monde pourrait bien accélérer ce processus de développement.. http://www. courrierinternational. com/article/2014/07/02/le-foot -plus-fart-que-la-nba Le foot plus fort que la NBA Les Etats-lJnis se mettraient-ils à aimer le soccer ? Les matchs de l’équipe nationale ont attiré un nombre record de téléspectateurs américains, presque autant qu’une finale de la NBA. Au point que le numéro deux de la FIFA parlait après le match face au Portugal « d’engouement » des Américains.

D’après ce quotidien, l’audience américaine du match de foot a facilement éclipsé celle de la finale de la NBA de cette année, qui a attiré 15,5 millions de téléspectateurs, ou des World Series [base-bal de cette année, qui a attiré 1 millions de téléspectateurs, ou des World Series [base-ball] de l’année dernière – 14,9 millions ». Le journal note que « l’augmentation de l’audience reflète un certain élan d’intérêt pour les matchs de la Coupe du monde », constatant une hausse de 50 % en nombre de téléspectateurs par rapport au Mondial de 2010.

Peut-être parce que, dans cette Coupe du monde qui se déroule au Brésil, les matchs sont iffusés à des heures accessibles aux Américains. The Atlantic s’interroge aussi sur cette soudaine popularité : « Est- ce que PAmérique aime enfin le soccer ? ‘ Le mensuel américain rappelle qu’avant le nul contre le Portugal, le match contre le Ghana du 16 juin avait été le match de football le plus regardé sur ESPN. « La Coupe du monde, c’est comme nos Jeux olympiques d’été, mais avec une seule discipline, introduisant des millions de téléspectateurs à un sport excitant dont ils n’ont pas grand-chose à faire.

Malheureusement pour les fans de soccer américain, la grande majorité des téléspectateurs de ce dimanche ne egarderont pas d’autres matchs entre ce mois d’août et 2018″, conclut The Atlantic. http://vww. courrierinternational. com/article/2014/07/02/une -defaite-pour-l-equipe-une-victoire-pour-le-foot une défaite pour l’équipe, une victoire pour le foot Après la défaite contre la Belgique le 1er juillet, la presse américaine fait un bilan de la Coupe du monde, qui n’avait jamais été aussi populaire aux Etats-Unis.

Les journaux américains font leur gros titres sur la défaite de l’équipe nationale de football, une premiere… – DR « La course folle des Et PAGF s OF titres sur la défaite de l’équipe nationale de football, une remière… – DR « La course folle des Etats-Unis prend fin, mais le football sort vainqueur », annonce le journal newyorkais, insistant sur le succès inédit de l’événement aux Etats-Unis. http://www. eurosport_fr/footbaIl/coupe-du-monde/2014/coupe -americaine_st04297Û40/story. shtml http://www. lematin. h/sports/depeches/mondia12014–etatsunis –bedoya-touj ours-confiants-e ntretiendoss ie r/story/31572395 Q: Y a-t-il au Etats-Unis un regain d’intérêt pour le soccer ces dernières années ? R: « Ou. Cette Coupe du monde sera la plus suivie par les Américains, et pas seulement parmi les fans de soccer. Elle va drainer un public qui d’habitude s’intéresse quasiment uniquement aux autres sports américains. Pas uniquement parce qu’elle se déroule au Brésil, et à des horaires favorables pour les Américains. La MLS (le championnat nord- américain) est plus compétitive et a accru l’intérêt pour le soccer.

Les grands championnats, surtout la Premier League, sont plus suivis. Et il y a davantage de programmes télé sur le soccer, de pubs avec des joueurs amérlcains. Et sur les réseaux sociaux, on parle beaucoup plus soccer, de la sélection.  » http://sport24. lefigarofr/football/coupe-du-monde/2014-bresil actu alites/etats-unis-la-soccer-fever-grimpe-701698 Bien sûr, l’immigration y est pour beaucoup. À New York, ville cosmopolite par excellence, Latinos, Africains, Asiatiques et Européens soutiennent avant tout leur équipe.

Les Français, d’habitude séparés par les affiliations de clubs soutiennent avant tout leur équipe. Les Français, d’habitude séparés par les affiliations de clubs (les Marseillais au Nevada Smith, les Parisiens au Legends et les Bretons… un peu partout depuis la fermeture du Café des sports, qui les unifiait), se regroupent tous désormais au Smithfield Hall, sur la 25ème rue. ?150 personnes contre la Suisse, avec en plus l’équipe de France féminine, de passage, parmi nous nous rappelle Pierre, fan du PSG, maillot des Bleus sur les épaules lors du match contre l’Equateur jeudi dernier.

Avec 200 000 billets vendus (pour environ 65 000 personnes), seuls les Brésiliens ont fait plus… Un nouveau record d’audience a aussi été battu lors du match contre le Portugal : 25 millions de spectateurs, mieux que les finales NBA, excusez du peu. ESPN rappelle aussi qu’en 2010, déjà, la finale de la Coupe du monde avait été plus suivie que celle de baseball ces dernières années… ttp://www. lemonde. fr/sport/article/2010/04/02/ aux-etats-unis -les-stades-de-socce r-sont-de-plus-e n-plus-remplis_1 327884 3242. tml Quelles sont les différences majeures entre le foot européen et le soccer ? Déjà il y a 3 heures de décalage horaire entre la côte Est et la côte Ouest, donc au niveau des déplacements c’est comme si on jouait la Ligue des champions. La saison est rythmée par les avions ? prendre, les matches à jouer et les entraînements. Quand on joue une fois par semaine, on s’entraîne une fois par jour. Quand on joue à Toronto (le 15 avril), on s’entraîne le lundi et le mardi, n prend l’avion le mercredi, on joue le jeudi et on revient le vendredi.

Donc on 7 OF vendredi. Donc on n’a pas vraiment de mise au vert comme en France. Le climat aussi varie beaucoup, entre Houston, où il fait très chaud, et Toronto, où l’hiver est froid. Autre différence, ce sont les terrains synthétiques dans certains stades, comme à New York ou Toronto (où se disputera la finale de la MLS Cup). On ne joue donc pas toujours dans les mêmes conditions. Et au niveau des infrastructures ? Ici, tout est grand, ils ne font pas dans la demi-mesure. Ils veulent que les gens viennent voir le spectacle, que ce soit au baseball ou u soccer.

Les gens savent que s’ils veulent venir voir le match ils peuvent acheter des tickets à des prix très bas (20 euros). http://www. lemonde. fr/sport/article/2011 / 1 1 / 1 1 /football-les-etats -unis-etoile-montante-du-soccer 1600691 3242. html Football : les Etats-Unis, étoile montante du « soccer » UNE NATION EN PROGRES CONSTANT Depuis 1994 et la première Coupe du monde de football organisée aux Etats-Unis (rappelez vous, la coupe de cheveux de Roberto Baggio, la chaîne en or de Stoichkov, le maillot flashy de Campos, l’Arabie saoudite, Romario, Striker le chien mascotte… le soccer n’a cessé de se développer chez l’oncle Sam. Cette année-là, l’équipe américaine coachée par le serbe Bora Milutinovic (l’homme qui a emmené cinq pays différents en phase finale de Coupe du monde) retrouve le gratin mondial après quarante ans de disette et parvient à se hisser en huitièmes de finale, éliminée de justesse par le Brésil, futur vainqueur de l’épreuve (1 Quatre ans plus tard en Fra 8 OF éliminée de justesse par le Brésil, futur vainqueur de l’épreuve (1-0).

Quatre ans plus tard en France, les Etats-Unis sont encore là et, même si leur participation fut anecdotique (quatrièmes t derniers de leur groupe derrière l’Allemagne, la Yougoslavie et l’Iran), les Américains commencent à s’habituer aux grands rendez-vous internationaux. Ils jouent même les trouble-fête lors du Mondial 2002 en s’offrant le Portugal (3-2) , un des favoris du tournoi, durant les matches de poule, puis le Mexique en huitièmes (2-0) pour finalement céder en quarts contre l’Allemagne, future finaliste (1 Dès lors, le football des Américains ne fait plus rire.

De nouveau qualifiés pour la Coupe du monde en 2006, ils ne rééditent pas l’explolt de passer le premier tour mais se permettent d’accrocher l’Italie, uture championne du monde (1-1). En 2010, l’équipe emmenée par le sélectionneur Bob Bradley tient en échec l’Angleterre et termine même en tête de son groupe devant les Britanniques pour finalement échouer dans les arrêts de jeu face au Ghana en huitièmes de finale. Un parcours plus qu’honorable.

Un an plus tôt lors de la Coupe des confédérations, les Etats-Unis s’étaient même offert le luxe d’éliminer l’Espagne, championne d’Europe en titre (2-0) et qui restait sur une solide série de 35 matches sans défaite, au stade des demi-finales. Pour s’incliner, non sans panache, face au Brésil (3-2) en finale. ? L’ASSAUT DE L’EUROPE Au-delà des résultats de l’équipe nationale, l’évolution croissante du statut du football aux Etats-Unis se traduit par l’export toujours plus important de joueurs PAGF OF statut du football aux Etats-Unis se traduit par l’export toujours plus important de joueurs américains en Europe.

En 1998, ils n’étaient que cinq footballeurs de l’équipe américaine à jouer sur le Vieux Continent, pour la plupart dans des championnats mineurs, à l’exception du gardien de but Brad Friedel alors joueur de Liverpool, ou encore Claudio Reyna au Bayer Leverkusen. En 2006, on comptait 13 hommes sur les 23 appelés au Mondial ? ?valuer dans un club européen, avec une forte tendance pour le championnat anglais.

Parmi les joueurs convoqués en sélection pour affronter la France vendredi, seuls cinq sur 22 jouent dans leur championnat national. Même la vedette locale Landon — qui a préferé décliner la convocation face aux Bleus Donovan pour ne pas compromettre sa préparation pour la finale de la Major League Soccer (championnat nord-américain de football) — a tenté plusieurs fois sa chance en Allemagne ou en Angleterre avant de revenir au Los Angeles Galaxy.

La tendance des joueurs américains à rester aux pays s’est donc nversée en une petite dizaine d’années et les joueurs expatriés sont en grande majorité titulaires dans leurs clubs respectifs, ? l’image du milieu de terrain Clint Dempsey à Fulham, Michael Bradley au Chievo Verone, Jermaine Jones à Schalke 04, l’ancien Rennais Bocanegra chez les Glasgow Rangers ou Tim Howard le gardien de but d’Everton.

Au XXIe siècle, la Major League Soccer et ses catégories inférieures ne représentent plus seulement un eldorado prospère pour anciennes gloires à la retraite approchante, elle devient aussi un vivier de talents de plus en plus four