Exercice de droit constitutionnel
Avant que joujou ne vienne voir sa mère, lui et sa scieur jouaient sur la p âge, mais sûrement chacun de leur côté. « Elle était là tout à l’heure, mais elle n’ est plus » (ligne 17), ce qui prouve qu’ils ne jouaient pas ensemble sinon joujou aurait vu sa s?Ur entrer dans la cuve de sable. 3) a) Que fait la mère dans le premier paragraphe ? Dans le premier paragraphe, la mère lit un roman tranquillement sous son parasol, oubliant ses enfants qui jouent sur la plage. 3) b) Par rapport à ses enfants, quelle est la conséquence de cette activité ?
premier boy session amputa 23, 2011 47 pages BREVET 2010 FRANCS (ligne 1), rôtissent (ligne 1), mijotent (ligne 2), et bain-marie Avant que joujou ne vienne voir sa mère, lui et sa s?Ur Concentrée dans sa lecture, la mère ne se soucie pas de ce que font ses enfants. Si bien que sa fille aurait pu réellement se noyer sans qu’elle s’en aperçoive. 4) a) Dans la dernière phrase du premier paragraphe, le transpose dans un état euphorisant, comme on pourrait l’être sous l’effet de l’alcool. Car à la base le verbe s’enivrer à pour sens premier de boire jusqu’ l’ivresse. ) b) Quelles sont la nature et la fonction du mot « hallucinés » (ligne 11) ? La nature du mot « hallucinés » est le participe passé du verbe « halluciner », équivalent à un adjectival qualificatif. Sa fonction dans cette phrase est d’être une épithète détachée du groupe nominal « les yeux ». 4) c) Comment expliquez-vous l’emploi de « hallucinés » par rapport à celui de « s’enivre » ? L’auteur emploi le mot « hallucinés » pour rester dans un champ lexical de l’euphorie, de l’exaltation.
Ils se complètent et donnent plus d’intensité encore à la lecture de la mère de joujou. Il. L’action I) Quels sont les procédés utilisés pour souligner que le alliage entre la mère et l’enfant piétine tout d’abord ? On s’aperçoit que le début du dialogue entre l’enfant et la mère piétine grâce aux points de suspension ainsi qu’aux répétitions de l’enfant. « Maman, dis donc, maman » (lignes 7 et 10) « Le livre vole, le pliant tombe… » (ligne 15) 2) a) Quelle réaction de la mère cette phrase traduit-elle ?
Cette réaction traduit l’état de panique de la mère suite l’annonce de la nouvelle (sa fille se serait noyée I) 2) b) Nommez deux procédés d’écriture pour souligner cette réaction. Il y a une métaphore : le livre vole et il est donc ici comparé un oiseau, et il y a également une antithèse entre les la ligne 17 par une conjonction de coordination de même sens. L’adverbe « alors » de la l’gène 17 peut très bien être remplacé par la conjonction de coordination « donc 3)b) Quel rapport gicle ces deux mots expriment-ils ici ?
Ces deux mots expriment le rapport de conséquence, de cause à effet : comme il ne la voit plus, joujou en conclut que jaunie s’est noyée. 3) c) Quel aspect de la personnalité de joujou apparaît ici ? joujou apparaît très distant ici, comme si l’éventuelle mort de sa s?Ur ne le touchait pas. On pourrait le qualifier ‘égoïste ou de froid. 4) Précisez au moins deux reproches exprimés par la mère contre son fils des lignes 20 à 25. Dans ce passage, la mère reproche à son fils de mentir « tu n’as pas honte d’inventer des histoires pareilles … , mais également d’interrompre sa lecture « pour m’empêcher de lire ? » (ligne 20). « Seigneur ! AI le croyait !!! Et c’est tout ce que ça te faisait ? » (ligne 25) 5) a) Comment la ponctuation est-elle utilisée dans cette phrase ? Dans cette phrase la ponctuation est utilisée de manière excessive afin de traduire la colère de la mère. ) b) Quel est le sentiment de la mère ainsi souligné ? On ressent un sentiment d’indignation de la part de la mère dans cette phrase. Il. Une scène de comédie 1) Montrez que ce texte se rattache au genre théâtral. Remédier phrase est nominale) s’apparente à des dédicacées, qui donnent des indications sur les attitudes des acteurs et sur ce qui se trouve sur la scène : l’expression « on a mis » (I. I) renforce l’idée d’une mise en scène. Les réactions de la mère s’accompagnent de « jeux de scène » : le livre qui vole, la chaise qui tombe, elle rébellion, joint les mains Mais il s’agit d’un récit dans la mesure où le narrateur nous fait part des pensées de la mère : son plaisir de lire (« délicieusement » l. 3), sa déception devant son fils qui se comporte comme « un petit enfant sauvage » (l. 7). Ligne 18-19 2) a) A quoi la mère est-elle comparée ? A quoi la fille est- elle comparée ? Dans ce passage la mère est comparée à une mouette et la fille à un chien (avec le mot ratière). 2) b) Quel est le point commun entre ses deux comparaisons ? La mère et la fille sont toutes les deux comparées à des animaux. ) qu’ a-t-il de comique dans la façon dont joujou annonce sa mère la noyade de jaunie ? joujou annonce à sa mère la noyade de sa S?Ur de façon naturelle, comme si elle était simplement tombée par terre.
Il n’émet aucun sentiment, aucune panique dans son annonce, c’est ce qui rend la scène décalée et donc comique. AV.. Pour conclure En vous appuyant sur l’ensemble de vos réponses, indiquez si la mère vous paraît correspondre totalement premièrement elle a volontairement abandonné la surveillance de ses enfants afin de prendre du temps pour se plonger dans sa lecture. Deuxièmement, une fois la veuille apprise elle s’est empressée de gronder son fils, et de le priver de goûter pour se venger d’avoir été interrompu dans sa lecture.
joujou, lui au contraire, est calme et posé. Al est sincère, ne cherche pas à s’amuser. Ainsi, nous pouvons assister à un renversement : c’est la mère qui se comporte comme un enfant, et son fils qui paraît endosser le rôle de l’adulte. CORRECTION DEVOIR NO 2 Première partie (25 points) Corrigé des Questions (15 points) l. Une scène décisive I. Relevez précisément dans le début du texte les éléments qui indiquent où et quand se déroule la scène. 1 point) La scène se déroule « dans un coin de la cour », »une après- midi, à la récréation de quatre heures ». . « Je me souviens encore du singulier effet que me produisit cette menace. » a) Identifiez le temps de chacun des verbes (0,5 point) Le premier verbe, « souviens », est au présent (de l’indicatif). Le second, « produisit », est au passé simple. Bu) Donnez-en la valeur. (I point) Pour e premier verbe, « souviens », il s’agit d’un présent d’énonciation. Le passé simple du second, « produisit », exprime un fait unique du passé, envisagé dans sa globalité : l’instant où le l’âge adulte. Le second, « produisit », renvoie au passé du narrateur, son enfance. 3. Il m’initia d’un ton un peu rude, comme un conscrit dans l’énergie duquel on a une médiocre confiance. » a) Dans le contexte de la phrase, expliquez le sens du verbe « initier ». (0,5 point) « Initier » signifie ici « informer », « mettre dans la confidence ». Le grand miche révèle son projet secret au narrateur. Bu) Quelle figure de style est utilisée dans cette phrase ? (0,5 point) C’est une comparaison. Cc) Expliquez le rapport qu’elle établit entre les deux personnages. (0,5 point) Cette comparaison établit un rapport hiérarchique et altière entre les deux protagonistes : l’instructeur « au ton rude » et le « conscrit ».
Il. Le grand miche et le narrateur I. Dans l’ensemble du texte, relevez quatre mots ou expressions qui permettent de dresser un portrait physique de miche. (1 point) miche est un « grand gaillard aux poings énormes » et aux « yeux gris » qui parle d’une « voix grasse de paysan peine dégrossi’ 2. « Il avait un air grave qui me frappa d’une certaine crainte; car le grand miche était un gaillard, aux poings énormes, que, pour rien au monde, je n’aurais voulu avoir pour ennemi. » narrateur. (0,5 point) miche inspire de la crainte au narrateur. . Quel autre effet miche produit-il sur le narrateur ? Relevez, dans la suite du texte, deux mots ou expressions qui justifient votre réponse. (1,5 point) Le narrateur éprouve également de l’admiration pour ce personnage (il est « en admiration », « flatté d’être de quelque chose avec lui »). 5. « Je me souviens encore du singulier effet que me produisit cette menace. Elle me donna un courage énorme. Ai) Donnez le sens de « singulier » dans le contexte de la phrase. (0,5 point) « Singulier » signifie ici « unique », « particulier », « paradoxal ». En quoi cet adjectival est-il approprié pour évoquer la réaction du narrateur ? (0,5 point) La menace proférée par miche devrait intimider le narrateur, lui faire peur, or c’est tout le contraire, elle lui donne « un courage énorme ». C’est paradoxal, « singulier ». AI. Un sujet bien mystérieux 1. « Écoute, me dit-il de sa voix grasse de paysan à peine dégrossi, écoute, veux-tu en être ? » a) Quelle est la classe grammaticale de « en » ? (0,5 point) « En » est un pronom. Bu) Que représente ce mot ? 0,5 point) Ce pronom représente le « complot » et les élèves qui le préparent. La question peut-être refoulée ainsi : « Veux- tu participer à ce complot ? » 2. Dans l’ensemble du texte, citez quatre indices qui par le narrateur (« secret », « confidence ») et enfin par l’attitude de miche qui s’exprime « à voix basse » d’un « air grave ». 3. « basta ! Me disais-je, ils peuvent bien me donner deux mille vers ; du diable si je trahis miche ! » a) Comment les paroles sont-elles rapportées ? (0,5 point) Les paroles sont rapportées au discours direct. ) Que révèlent-elles sur l’état d’esprit du narrateur ? (0,5 L’interjection (« basta ! « ), les exclamations et le dénigrement u risque (« ils peuvent bien me donner deux mille vers ») montrent la détermination du narrateur. 4. D’après l’ensemble des questions et votre lecture du texte, dites en quoi cet épisode a été déterminant dans la vie du narrateur. (1,5 point) Pour prouver son courage, sa valeur et sa fidélité en amitié, le narrateur s’apprête à transgresser les règles, peut-être pour la première fois.
Cet épisode semble avoir forgé son caractère en éveillant en lui le sens de l’honneur et de la camaraderie. [pic] Corrigé de la réécriture (4 points) « Aussi, pendant que le grand miche parlait, étais-je en admiration devant lui. AI m’initia d’un ton un peu rude, comme un conscrit dans l’énergie duquel on a une médiocre confiance. Cependant, le frémissement d’aise, l’air d’extase enthousiaste que je devais avoir en l’écoutant, finirent par lui donner une meilleure opinion de moi. Réécrivez ce paragraphe en mettant les verbes au présent de l’indicatif, et en remplaçant « le Grand miche » par « Les m’initient d’un ton un peu rude, comme un conscrit dans l’énergie duquel on a une médiocre confiance. Cependant, le frémissement d’aise, l’air d’extase enthousiaste que je soi avoir en les écoutant, finissent par leur donner une meilleure opinion de moi. » Corrigé de la dictée (6 points) Ce jour là, ils traînaient le long des chemins et leurs pas semblaient alourdis de toute la mélancolie du temps, de la saison et du paysage.