Etudiant

essay B

Les résultats de nos investigations montrent qu’en Côte d’Ivoire, la dette extérieure est devenue insoutenable après une période de solvabilité qui a duré de 1995 à 1998. Par ailleurs ils révèlent quatre principaux canaux par lesquels les effets de la dette extérieure sont transmis à la croissance et à l’investissement privé : le flux premier boy saisis empara 23, 2011 54 pages marqué par un fort taux d’endettement. Selon la spécificité de la dette extérieure, le stock de la dette, le service de la dette extérieure et le déficit fiscal.

Le flux de la dette extérieure, contrairement à ce qui est constaté dans certains pays pauvres très endettés, contribuent très peu extérieur affecte aussi, indirectement, la croissance et l’investissement privé par le canal du déficit fiscal. L’aggravation du déficit, due en partie à la ponction des ressources pour faire face au service de la dette extérieure, a un impact négatif sur ces variables. Mots clés : Côte d’Ivoire, endettement, investissement privé, croissance. Abstrait durcir thé last ôté décades, thé économie contexte Fo développer contrées, particularité avili inédite pour

contrées (PIC), si marrer boy indépendantes. Accordant toi thé spécificité Fo hache contre, effectifs Fo thé indépendantes and avenues torture chi thaïs indépendantes affecte économie grotte canna diffère. Euro investigations show état, ni Côte d’Ivoire, thé externat débit bécane insoutenable affûter a période Fo solennel état tek place froc 1 995 toi 1998. Théories, thé studio rêveras four main avenues torture chi effectifs Fo thé externat débit are transmettre toi thé économie grotte and toi thé privait inversement: thé externat débit flot, thé stock Fo thé débit, thé externat débit service and thé fiscal déficit.

thé externat débit flot, entrera toi watt si notée ni certain PIC, contribue élite toi impropre thé économie grotte and toi inciseras thé privait inversement. thé débit stock affecte négative privait inversement, huile thé débit service exerce dépressive effectif on thé économie grotte. thé indépendantes alse affecte, indirectes, grotte and inversement tarot fiscal déficit. thé aggravation Fo thé déficit causée boy externat débit service payement as a négative impact on thèse ôté variables. Ce hordes: Côte d’Ivoire, inédite service payement as a négative impact on thèse ôté variables.

Ce hordes: Côte d’Ivoire, indépendantes, privait envasement, grotte. 2 I – INTRODUCTION Au cours des deux dernières décennies, le contexte économe?que de l’ensemble des pays en marqué par un fort taux d’endettement. L’environnement économique international a contribué à l’aggravation de cette situation : fluctuation des taux de change, des cours des matières premières, hausse des taux d’intérêt sur le marché financier international et baisse des volumes de l’aide et des prêts assortis de conditions privilégiées, etc..

Au plan intérieur, les politiques économiques malaisées ont exaspéré la crise d’endettement des pays pauvres. A celles-ci se sont ajoutées la mauvaise gestion de la dette publique, l’allocation irrationnelle des ressources, l’absence de discipline financière, etc.. Si les consignes considèrent que l’endettement, en général, n’entraîne pas de coût du fait des investissements nouveaux qu’il générer, lorsqu’ existe un sous emploi des ressources productives, les classiques assimilent l’endettement à un impôt futur.

hache (1989), par exemple, dénonce la croissance réalisée grâce aux prêts extérieurs comme une croissance artificielle, fondée sur un investissement supérieur à l’effort ‘épargne de la nation et provoquant un ajustement par l’inflation. En effet, les capitaux étrangers fournissent un complément d’épargne et de devises, permettant ainsi d’investir pour accélérer la croissance des économies bénéficiaires. Cependant, le p permettant ainsi d’investir pour accélérer la croissance des économies bénéficiaires.

Cependant, le poids de la dette qui en résulte peut remettre en cause cet enchaînement « vertueux ». Plus le service de la dette est important, plus les ressources disponibles pour es dépenses courantes et d’investissement sont réduites. Dans ce cas, il est facile de emmener par une réduction des dépenses d’investissement, ce qui peut entraîner un ralentissement du rythme de la croissance économique. Un service de la dette extérieure très élevé oblige le secteur public restreindre ses investissements, à défaut de ressources.

Le paiement du service de la dette absorbe les ressources qui auraient pu être consacrées aux programmes de réduction de la pauvreté. Un autre effet négatif possible du fort taux d’endettement est le fardeau virtuel ou « débit ovarien » mis en évidence par cérumen (1988). Une forte présomption s’est développée, dans les années 1 990, tour du lien entre les taux excessifs d’endettement d’une part et, les faibles taux de croissance ainsi que la détérioration du capital humain d’autre part, dans les pays pauvres.

Le niveau très élevé de la dette extérieure de ces pays est souvent identifié comme un handicap majeur et la principale cause de leurs contre-performances économiques. En effet, le surentraînement décourage l’investissement privé, ce qui entraîne des faibles taux de dépenses de capital, engendrant ainsi un ralentissement de la croissance économique. Le faible taux de croissance de l’économie, à son tour, affecte négativement ‘investissement. Le ara taux de croissance de l’économie, à son tour, affecte négativement l’investissement.

Le ratio dette extérieure sur le revenu s’accroît, du au ralentissement de la production, ce qui renforce le découragement à investir. Ainsi, le ralentissement de la croissance économique, l’investissement et le surentraînement se renforcent mutuellement pour entraîner une stagnation économique dans les pays pauvres très endettés. Dans ce contexte, comme ricaner et roderai (1990) le font remarquer dans le , même avec les meilleurs politiques, on ne cas turc puisse concevoir de  » vie après la dette » sans que les réducteur accordent une réduction de dette de grande ampleur ».

La relation entre le surentraînement des pays pauvres et la faible croissance de leurs économies a incité la recherche de nouvelles approches et stratégies de traitement de la dette de l’ensemble de ces pays. La Banque Mondiale, le Fonds Monétaire International (FAIM) et l’ensemble des banques multilatérales de développement ont adopté, au milieu des années 1 990, l’Initiative en faveur des Pays Pauvres Très Endettés (PP TE). L’idée principale de cette initiative est qu’une remise de la dette des pays pauvres pourrait leur permettre de ramener la dette extérieure à un niveau soutenable.

Les ressources qui, autrement, seraient dépensées au titre de remboursement de la dette pourront ainsi être utilisées pour améliorer les conditions d’une croissance durable et pour réaliser des programmes de réduction de la pauvreté. A la fin de 2001, 23 pays dont 19 en affaire au Sud du assura ont bénéficié de la remise de leur la fin de 2001, 23 pays dont 19 en affaire au Sud du assura ont bénéficié de la remise de leur dette au titre de l’initiative, pour un montant total de 34 milliards de dollars des états-Unis d’marquée (Banque Mondiale, 2001 b).

Cependant, il est difficile de penser qua elle seule, l’initiative APTE pourra résoudre le problème de la dette des pays pauvres, leur permettant ainsi de retrouver le chemin de la croissance. Pour rompre le cercle vicieux : mauvaises performances économiques – faibles taux d’investissement -surentraînement, faut-il encore 3 connaître les canaux de transmission des effets de la dette extérieure sur la croissance économique, selon la spécificité des pays pauvres.

La relation entre le surentraînement et le faible taux de croissance économique a également incité à la réalisation de nombreux travaux empiriques (arène, 1992 ; libérale, ondula et entendu, 1997 ; fous, 1999 ; chaudron, 2001 ; poitrail et al. , 2002 ; poitrail et al. , 2003, etc.. ), pour évaluer l’impact de la dette sur la croissance et pour identifier les canaux par lesquels cet ?impact se transmet à l’économie. Très peu de travaux traitent cependant du cas des pays en développement, en particulier les pays pauvres très endettés d’affaire au Sud du assura.

Par ailleurs, les travaux empiriques sont consacrés, dans la plupart des cas, à des panées de pays qua des cas particuliers. Il est pourtant possible, « à priori », eu l’impact de la dette extérieure, sur la croissance des économies des pays pauvres très endettés, diffère de celui des pays industrialisés ou à revenu intermédiaire des pays industrialisés ou à revenu intermédiaire et, d’un pays pauvre à un autre.

Du fait que ces pays ont très peu accès aux marchés internationaux de capitaux, ils sont des grands bénéficiaires de prêts à des conditions privilégiées et de l’aide internationale au développement. Ces sources extérieures de financement sont susceptibles de tempérer l’effet de la dette sur leurs investissements et donc sur la rosissant économique. Enfin, les résultats des travaux empiriques sont contradictoires quant à la nature de la relation entre la dette extérieure et la croissance économique, selon e panne de pays choisis et la période de l’étude.

Ces contradictions amènent à penser qu’une analyse, pays par pays, permettrait de mieux comprendre la relation entre la dette extérieure et la croissance pour proposer des solutions spécifiques aux pays endettés. En Côte d’Ivoire, la dette extérieure est devenue un problème à partir des années 1980. En mars 1998, la Banque Mondiale et le Fonds Monétaire International sont envoyés d’appuyer un plan de réduction de la dette de la Côte d’Ivoire dans le cadre de l’initiative pour les pays pauvres très endettés (APTE).

L’éligibilité de la Côte d’Ivoire à cette initiative revient au fait qu’elle soit classée comme un pays pauvre après la dévaluation de 1994, au niveau d’endettement très élevé et au poids du service de la dette sur les finances publiques. Cette éligibilité a surtout été facilitée par l’application des critères relatifs aux finances publiques et à l’ouverte publiques et à l’ouverture, adoptés en 1997 par les bailleurs. Ces critères bénéficient aux économies très ouvertes dont les finances sont lourdement grevées par la dette extérieure malgré les efforts qu’elles déploient pour lever des recettes budgétaires.

En application des critères de finances publiques et d’ouverture, le ratio de la dette aux exportations en valeur actuelle nette a été fixé pour la Côte d’Ivoire à 141% (contre 150% en général), ce qui lui a permis d’être éligible. Le point d’achèvement I a été fixé mars 2001 , mais il n’ pas été concrétisé. La gestion de la dette extérieure ovarienne est devenue davantage une préoccupation avec l’anticipation des conséquences réversibles de la crise actuelle.

Le conflit armé et, l’existence d’une zone gouvernementale et d’une zone d’occupation rebelle entraînent une baisse des ressources domestiques de l’état, alors que d’importants moyens financiers sont nécessaires pour réhabiliter les infrastructures économiques. L’insuffisance des ressources domestiques d’une part et, les besoins de financement d’autre part, risquent de contraindre les autorités ovariennes à contracter de nouveaux emprunts l’extérieur. La dette extérieure de la Côte d’Ivoire va donc probablement s’accroître dans les prochaines années.

La réoccupation dans cette étude est de connaître l’impact et les canaux de transmission des effets de la dette extérieure sur la croissance en Côte d’Ivoire. Il s’agit de vérifier si ces canaux sont les mêmes que ceux qui sont identifiés d’Ivoire. AI s’agit de vérifier si ces canaux sont les mêmes que ceux qui sont identifiés pour les économies développées et émergeaient ou pas, afin d’envisager es politiques économiques à mettre en place pour une meilleure gestion de la dette.

Certes, l’initiative APTE permettra à la Côte d’Ivoire de bénéficier d’une remise de dette représentant I milliards de dollars EU en valeur été actualisée, soit une économie de 2,8 milliards de dollars EU sur le service de la dette extérieure dans les années à venir. Cependant, cette réduction de la dette est une condition nécessaire mais pas suffisante pour résoudre durablement e problème de la dette extérieure.