Epicerie sucrée
ANALYSE GLOBALE « QUALI ET QUANTI » DEFINITION DU MARCHE DE L’EPICERIE SUCREE : Faire l’amour en cachette, c’est comme voler des bonbons ? l’épicerie. C’est délicieux » Christian Bobin Le terme épicerie sucrée est une des activités de l’industrie agroalimentaire. Il désigne un ensemble de produits sucrés que l’on peut consommer à tout moment de la journée (Gouter, petit déjeuner, en cas, dessert… ) Ce marché représent en 2013 avec une év Actualité et tendance Malgré la crise, la con OF p g de chiffre d’affaires % vs 2012. reste forte.
Plus de es dépenses des ménages sont attribuées à l’alimentaire. De plus, les français sont très attachés aux marques et privilégient donc ces dernières au dépit de celles de GMS pour constituer les quatre repas de la journée : petit-déjeuner, déjeuner, gouter et diner. Le moteur d’achat majeur en matière d’alimentation pour les français est la recherche du plaisir. Les français sont alors très réceptifs à la nouveauté et aux produits innovants. LES SEGMENTS DE L’OFFRE DU MARCHÉ : Le marché de l’épicerie sucrée comporte 9 neuf catégories de produits :
I regroupe plus de 2 000 marques présentes dans plus de 130 pays. Nestlé investit beaucoup dans le marketing : plus de 354 millions d’euros. Nestlé est présent sur l’ensemble des catégories alimentaire : La nutrition infantile La nutrition clinique Les boissons instantanées Les chocolats et confiseries Les produits culinaires Les produits surgelés es glaces Les activités de restauration professionnelle et par foyer Les céréales Les produits laitiers frais Les eaux Les produits charcuterie et traiteur Les produits pour animaux.
MONDELEZ INTERNATIONAL est le numéro 2 de l’industrie agroalimentaire en France. Cela grâce a ses marques emblématiques telles que Milka, Lu, Carte Noire etc. Mondelez France enregistre de très bons résultats sur quatre catép 2 4 comme par exemple pour le « snacking » va décliner une gamme de magnum (Cornetto) et également lancer des cafés glacés granités en pots individuels dans les bars, restaurants afin d’élargir sa cible. pepsico est le 2ème groupe agroalimentaire mondial.
Ses 4 secteurs d’activités principaux sont : es Soft Drinks Les Jus de Fruits Les Chips et Biscuits Apéritifs Les Céréales Pepsico est présent sur le marché de l’épicerie sucrée avec ses eux gammes de Céréales : Quaker. Cette catégorie de produit a enregistré une croissance de 1 en 2010. Afin d’encourager cette croissance, le budget marketing a été augmenté de 10% et plusieurs nouveautés sont en cours de lancement. CIRCUITS DE DISTRIBUTION REVOIR 30F 14 aussi des marques concurrentes.
A replacer dans la partie des segments Ainsi que le circuit long moins utilisé mais qui signifie que les grossistes spécialisés distribuent le produit aux commerces de proximité (boulangerie, tabac, presse, stations-services, etc. ) Cette distribution permet d’assurer une très bonne qualité e service client ainsi que des expositions très favorables ; en revanche la rentabilité n’est pas toujours bonne et les petits commerces sont de plus en plus en déclin. Le plaisir Le consommateur cherche de nos jours le plaisir et le gout : il devient exigeant et sélectif, il en a pour son argent.
Les marques ont alors augmenté la qualité de leur produits et proposent de nouvelles recettes avec des produits à la fois bons, sains et responsables. Cattractivité Le consommateur est à la recherche de différence : il est attiré par les couleurs vives, l’alimentation ludique, les visuels attractifs, squ’à changer leur c’est pourquoi certaines m 4 ligne. Les marques se doivent alors d’être transparente en donnant leur fabrication et les composants de leur produit. L’industrie alimentaire propose alors des produits allégés, sains, frais, privilégiant le bien être.
Praticité es français cherchent la rapidité et le gain de temps dans leur quotidien, cela devient une exigence supplémentaire. Ils veulent manier les produits facilement où ils veulent, sans se salir et pouvoir les conserver. Les marques vont alors déborder d’ingéniosité pour satisfaire les consommateurs et innove sans esse dans leurs emballages et leur faire découvrir de nouvelles manières de consommer. Conclusion De nos jours, nous remarquons que les consommateurs deviennent de plus en plus exigeants en terme de plaisir que procure le produit mais aussi par Fusage de ces produits.
Les marques sont sans cesse en quête de surprises et de satisfaction. Grâce à leur engagement envers les consommateurs, elles s’adaptent aux changements de consommation de ceux-ci pour subvenir à leurs nouveaux besoins. ANALYSE SEGMENTEE « QUALI ET QUANTI » LE PETIT-DÉJEUNER Le segment représentant la plus grande part de marché de ‘épicerie sucrée est la caté orie etit-déjeuner. Le petit déieuner représe ‘affaire de 4,1 milliards 4 qui se prend sur le chemin de récole ou du bureau.
Nous observons une réelle baisse de tout ce qui constituait le petit-déjeuner d’avant : es boissons chocolatés : baisse de 2,1% Les céréales : chute de 1,2% Le lait : perte de Le café : recul de 8,2% Distributon Deux de ces produits connaissent une réelle révolution : le café et les céréales. Effectivement, les ventes de café torréfié sont en chute libre de 8,2%. Au bénéfice des dosettes avec une progression de 5,6%. De nombreuses marques de café ce sont alors lancé dans cette nouvelle tendance : Nespresso, L’Or et Café Royal. Les céréales, elles, souffrent du manque de temps.
En revanche, les français restent à 77% attachés à ce repas. Les marques de céréales cherchent donc à reconquérir les français en travaillant le plaisir, la nutrition et la praticité. Kellogg’s en réponse à un souhait de petit déjeuner nomade et rapide lance les barres Nutri-Grain qui pourront être consommées à tout moment et en mouvement. LES PANIFICATIONS SÈCHES La catégorie, la panification sèche, ne connaît pas de chute de roissance. Effectivement après une croissance de en valeur en 2012, les ventes se sont stabilisées.
Quelques segments continuent de croitre tels que : les pains grillés et braisés, toasts, galettes et crackers. La panification sèche visait en premier lieu le petit déjeuner, ce segment cherche désormais également à viser une consommation au gouter. Par exemple, Krisprolls a lancé Les Briochés afin de toucher une plus grande cible. Ces produits sont principa ts dans les GMS 6 4 Surfaces). Ils utilisent donc un circuit de distribution court. LA BISCUITERIE Ce segment représente 1,97 milliards d’euros de chiffre daffaire en France. La biscuiterie affiche une forte progression en 2013 : + 3,5% vs 201 2. e la consommation s’effectue au goûter. Nous pouvons compter plusieurs entreprises leaders telles que : Kraft Foods France (désormais Mondelez France) et United Biscuits France (BN, Delacre, Verkade). Mais également des PME : Brossard, Saint Michel… Et d’autres marque sur d’autres gammes de produits telles que : Mars, Nutrition & Santé. Ces grandes marques occupent la plus grande part du marché de la biscuiterie au détriment des MDD. Effectivement, nous pouvons constater que les français privilégient les marques nationales qui incarnent des valeurs et une notion de plaisirs en temps de crise.
Concernant la distribution, plus de 90% des biscuits sont distribués en grandes surfaces : 47,5% en supermarché, 34,3% en hypermarchés et 182% en hard-discount. Les 10% restant sont vendus en boulangerie, stations-services Le marché de la biscuiterie comporte 4 grandes catégories : 2011. LES DESSERTS une grande nouvelle tendance concernant ce segment de marché sont les Aides à la pâtisserie. Cela regroupe les réparations pour dessert, sucres et levures, les fruits secs, les arômes et les nappages. Depuis 6 ans, cette catégorie ne cesse de croitre.
Les français sont en effet à la recherche d’authenticité et sont contents de pouvoir personnaliser leur dessert. Les desserts prêts à être consommés sont en baisse de alors que les desserts à préparer ne cessent de croitre en volume. e chiffre d’affaire en 2014, de cette catégorie est de 172,89 millions d’euros ; avec une évolution en volume de 13% Ces préparations peuvent être issues de marques nationales, marques distributeurs ou du hard discount. La marque représentant la plus grande part de marché sur cette catégorie est Alsa (30-40%) suivie de Vahiné et Ancel.
Alsa fait partie du groupe Unilever et est reconnue pour son innovation, sa présence et sa performance en terme de compétitivité. En 2012 ce marché représentait un chiffre d’affaire de 357 millions d’euros. Cependant, il compte de nombreux concurrents tels que : les pâtisseries industrielles et viennoiseries, les produits ultra- frais, les produits surgelés et les desserts tout prêts des rayons éplcerle. Même si nous avons constater que les français ont moins de emps à consacrer à la cuisine ils restent exigeants sur la qualité et sont donc contents de pouvoir faire leur desserts eux-mêmes.
Distribution B4 connait une évolution de en valeur. Cependant les ventes de tablettes de chocolat et de bonbons ne sont pas en recul. Les chewing-gums en revanche doivent faire face à un sévère recul, à – 6,7% ! Les marques essaient donc de relancer la consommation en rénovant les gammes box et sticks. Le marché des bonbons ne cesse de faire preuve d’innovation. Une des forces de ce marché est la nouvelle attraction pour l’acide, qui est devenu le pilier du marché. Ainsi que les bonbons colorant la langue et les bonbons en petit sachet que l’on peut trouver devant les caisses.
Haribo, leader de ce marché, explique que leur chiffre d’affaire ne cesse d’augmenter car ils sont sans cesse à la recherche de nouveautés afin de ne pas laisser leur client se lasser. Cette grande évolution est visible notamment par rapport aux rayons de supermarchés, effectivement celui des bonbons pour enfant est passé de 32 à 35 mètres de long ! Chaque année la confiserie enregistre 2% de produits en plus lorsque la catégorie des chewing-gums enregistre -4%… Afin de relancer les ventes, les grandes marques de la confiserie ont également investies dans de nouvelles façons de communiquer.
Par exemple Carambar, a lancé un canular racontant que les blagues seraient arrêtées. Cela a été relayé sur les réseaux sociaux et a donc beaucoup fait parler de la marque. LES CONSERVES DE FRUITS Ce segment qui contient les fruits au sirop, mélanges de fruits au sirop, fruits à l’eau, détient un chiffre d’affaire de 575,89 millions d’euros et affiche une progression : +5,4 vs 2012 en valeur et une diminution de 1,5 % en volume. Aujourd’hui le secteur connait une phase de stabilisation qui s’explique par la % en volume.
Aujourd’hui le secteur connaît une phase de stabilisation qui s’explique par la hausse des prix des fruits et de la baisse du pouvoir d’achat des consommateurs. Les produits sont distribués dans les grandes et moyennes surfaces. On observe ci dessous que le poids des produits à marque de distributeur est très important pour les produits transformés à base de fruits en effet la distribution a donc un rôle majeur ? jouer pour faire évoluer l’offre. Aujourd’hui les Français font plus attention aux composants et otamment au sucre ajouté dans les différents produits.
De ce fait, les entreprises recherchent à diminuer le taux de sucres ajoutés dans leurs produits, que ce soit pour les compotes et les confitures, afin de participer à l’effort général de réduction des sucres ajoutés dans l’alimentation des français répondre à la demande des consommateurs pour des produits moins sucrés. Le consommateur est toujours attiré par rinnovation et la praticité, les marques ont décidés alors de s’adapter en proposant des portions individuelles pour les compotes par exemple.
Ces ouveaux conditionnements, dont le contenu correspond à une portion de fruit, ont permis de redynamiser la consommation de ces produits. Aujourd’hui, coupelles et gourdes cumulées représentent 81 % des ventes en GMS. De plus, les transformateurs de fruits ont également cherché ? attirer de nouveaux consommateurs vers les fruits transformés en proposant de nouvelles variétés de fruits ainsi que des mélanges inédits (fruits exotiques, La diversité de l’offre s’est accrue de manière importante au cours des toutes dernières annees. Le secteur reste aujourd’hui d nami ue tiré par le segment c 0 4