Emile zola
Le spec final, par ce dernier r couteau et du verre Le narrateur ne satta plus puissante que r lembrassement • é par la présence du p g uer la chute de Thérèse sur Laurent. Evldemment, on retrouve ici lultime occurrence du leitmotiv du cou de Laurent et de la cicatrice de la morsur Suipe to View next page morsure de Camille, traduction et vecteur physique des remords e Laurent, et vengeance posthume du noyé, signe du destin encore.
Mais cest surtout la vengeance de Mme Raquin quon voit sexercer ici. Elle éprouve enfin la « joie cuisante » de la vengeance quelle se promettait alors. On relève dans ces deux paragraphes un champ lexical du regard : « yeux dans la première et la dernière phrase, « contemplant « regards qui trouve son écho dans le regard de pardon échangé entre Thérèse et Laurent.
Mais les yeux de Mme Raquin sont, dans le premier paragraphe, fixes et aigus », comme pour mieux voir et précipiter une mort imminente, et ils traduisent à la fin un triomphe : « ne pouvant se rassasier les yeux, les écrasant de regards lourds. On peut dire que les yeux de Mde Raquin sont comme ceux du lecteur, attentifs. On constate enfin que la dernière scène du roman, comme la description du passage du Pont-Neuf au début, nest éclairée que dune lumière « jaunâtre dont le suffixe péjoratif confirme le caractère étri e ma apelle maxkdkpspsmsdkjdsshh serf.