econumerique

essay A

Quels sont les enjeux de l’économie numérique ? Hadopi, quelle efficacité pour quels enjeux ? Le E-commerce va t-il à terme supplanter le commerce traditionnel ? Internet est- il synonyme de gratuité (ex : requête Google), ou plutôt le signe d’un modèle économique établl sur de nouvelles bases ? Vers un prix unique pour le livre numérique ? Pourquoi la FNAC décide-t- elle de lancer son propre lecteur e-book ? Partie 1 : Mission impossible Les services secrets ont besoin de vous pour résoudre une enquête délicate. Plusieurs équipes d’agents spéciaux sont sur l’affaire. L’investigation semble difficile.

Relèverez-vous le défi ? or 12 Sni* to View Benjamin Bayart est né le 24 octobre 1973. Il est expert en télécommunications et président de French Data Network. Il est pour la liberté de l’infomation sur le net. 2. Résumez ses propos. Il parle de la question du droit d’auteur. Avant, les oeuvres de l’esprits étaient sur des supports comme les CD. C’est le fabriquant qui vend l’oeuvre, l’auteur est donc protégé par le droit d’auteur dans le commerce de son oeuvre. Avec l’évolution des moyens de communications etc, on est passé d’une économie de rareté à une économie d’abondance .

Sur nternet, la production d’un exemplaire supplémentaire, ne coûte donc foeuvre devrait être gratuite. Cela s’applique pour la presse, le cinéma… 3. En quoi Monsieur X a-t-il su saisir les opportunités que lui offrait Péconomie numérique ? Il a exploiter le développement de l’économie d’abondance. Il a duppliqué des fichiers qu’il ensuite mis en ligne. 4. Déterminer les principales sources de revenus de Monsieur X. Les sources de revenus de Monsieur X proviennt de son site internet Megaupload. Cela ce fait grâce aux publicités qui apparraissent quand l’utilisateur clique sur un lien.

De plus il existe un abonnement pour avoir accès à plus de fichiers, un téléchargement plus rapide etc… C’est cela qui a fait la fortune de Kim Dotcom. Vous vous êtes ensuite procuré l’interview d’artistes qul s’expriment sur les évolutions de leur métier induites par l’économie numérique : http://www. europeenimages. net/action -afficherAccueil-film-1154. PAGF 12 http://www. europeenimages. net/action-afficherAccueil-film-11 54 -html 5. Après avoir visionné la vidéo, résumez les propos des artistes interrogés Ily a deux auteurs qui prennet la parole dans cette vidéo : Benoit Peeters et Jonathan Worth.

Le premier s’est aperçu que certaines de ces productions étaient en ligne sur des sites de partage et que des jeunes les téléchargeaient. Il pense que cela n’est pas bon pour la création artistique et que le travail des artistes mérite d’être payé. Le second est photographe et utilise internet pour faire connaitre son travail. Il détruit ses photos originales afin de préserver une certaine économie de rareté. Et il oblige à ce que son nom soit mentionné sur les publications afin que son travail soit correctement reconnu. 6. Trouvez ce que reproche la justice américaine à Monsieur X.

Puisque le site fesait commerce des oeuvres dont il autorisait le partage, cela portait préjudice aux auteurs qui avaient les droits pour ces oeuvres. En effet, le préjudice de MegaUpload est évaluer à environ 500 milions de dollars. 7. Recherchez des définitions pour les termes suivants : Droit d’auteur, est l’ensemble des prérogatives exclusives dont dispose un auteur ou plus généralement ses ayants droit (société de production, héritiers) sur des œuvres de l’esprit originales. Economie de l’abondance, est un modéle économique dans equel les biens sont gratuits ou res ue grâce à leur nombre.

Economie de la rareté, rep iens produits en quantité PAGF 19 quantité limitée. Economie numérique, consiste en la conceptualisation d’activitées numériques basées sur le numérique, la technologie. Partie 3: ‘affaire se complique.. Notre homme envisage d’engager les meilleurs avocats de la planète… C’est-à-dire vous ! (vous savez décidément tout faire !!! ). Il vous demande de préparer sa défense en réunissant des éléments à décharge et en anticipant les éléments à charge qui risquent d’être développés par l’accusation. e première recherche rapide vous a conduit aux documents suivants : Document 1 : Radiohead : L’industrie du disque est responsable du piratage Publié le : dimanche 24 janvier 2010 Radiohead n’a pas de problème avec le piratage de musique, et prétend que l’industrie du disque est responsable. Le guitariste, Ed O’Brien, accuse l’industrie de ne pas s’être adaptée au digital plus rapidement, et enfonce le clou, en disant que l’industrie du disque est seule responsable de la situation actuelle de la musique. J’ai un problème quand j’entends le piratage tue l’industrie, ça nous écartèle’. Je ny crois pas du tout Les pirates n’achètent peut être pas les albums mais ils vont aux concerts, achètent des t-shirts etc… Le business a changé, il faut plus de sites vendeurs de musique, il faut baisser les prix pour être compétitifs avec le peer-to-peer. « C’est le problème des 10 dernières années, nous en sommes là car rien n’a été fait avant. » Source : http://muslque. skytopic. rg Document 2 : Evolution du marché de la musique enregistrée 2 Evolution du marché de la musique enregistrée Document 3 : Bono contre le téléchargement illégal (Publié le 3 anvier 2010). Le chanteur du groupe de rock irlandais 02 Bono a appelé dimanche à renforcer la lutte contre le téléchargement illégal sur internet de films et de musique, estimant que cette pratique nuit aux artistes. «La seule chose qui protège les industries du cinéma et de la télévision du destin qu’ont connu la musique et les journaux est la taille des fichiers», écrit le chanteur dans une tribune publiée dans le New York Times. Vivre de la vente des places de concert et des ventes de T- shirts» Or, souligne-t-il, le développement continu des bandes passantes aisse penser que dans «à peine quelques annees on pourra télécharger une entière saison de (la série télévisée) «24 heures chrono» en 24 secondes». «lJne décennie de partage et de vol de fichiers musicaux a montré à l’évidence que ceux qui en souffrent sont les artistes précisément les jeunes auteurs compositeurs de chansons qui ne peuvent pas vivre de la vente de places de concerts et des ventes de T-shirts», poursuit Bono. ?L’industrie la plus créative du monde» Selon lui, les efforts mis en aeuvre par les Etats-Unis pour lutter contre la pornographie infantile sur Internet et ceux déployés ar Pékin pour traquer les cyber-dissidents démontrent qu’il est «parfaitement possible de sulvre» le contenu circulant sur le web. Peut-être les magnats du cinéma réussiront-ils là où les musiciens ont échoué et «mobiliser les Etats-Unis pour la défense de l’industrie la plus créat PAGF s 9 où les musiciens ont échoué et «mobiliser les Etats-Unis pour la défense de l’industrie la plus créative du monde», ajoute le rockeur irlandais.

Source : http:/Aw,/w. france24. com Document 4 : Megaupload : Elie Semoun contre le téléchargement illégal (Publié le 30 janvier 2012) Elie Semoun n’est pas du genre à faire dans la langue de bois, alors quand on lui demande ce qu’il pense de la fermeture de Megaupload, sa réponse ne se fait pas attendre : « Je trouve ça très bien », lance-t-il. « Les gens ne se rendent pas compte que c’est une manière de voler les artistes explique-t-il avant de parler des dérives d’Internet.

Il revient alors sur un événement qui l’a particulièrement troublé la semaine dernière alors qu’il se produisait sur la scène du Trianon avec son nouveau spectacle Tranches de vie. « Une femme s’est mise à filmer mon spectacle. Je lui ai emandé d’arrêter. Le lendemain, elle a posté un commentaire désobligeant sur Twitter, ce qui a suscité une vive polémique. Les gens ne se rendent pas compte que c’est perturbant pour un artiste de voir quelqu’un vous filmer ou vous prendre en photo alors que vous êtes en train de jouer. ? « Ce n’est rien d’autre que du vol » Elie Semoun, qui a toujours milité contre le téléchargement illégal, précise que ce n’est pas la premiere fois que ça lui arrive. « Cautre soir, Muriel Robin (sa metteur en scène, ndlr) est venue assister à mon spectacle. Elle s’est assise en plein milieu de la alle pour vor la réaction des spectateurs. Elle a été scandalisée de voir que les flashs crépitaient dans tous réaction des spectateurs. Elle a été scandalisée de voir que les flashs crépitaient dans tous les sens.

Ce n’est rien d’autre que du vol Et lorsque l’on dit des vérités, on passe pour des enfoirés. C’est le monde à l’envers affirme-t-il scandalisé. « Cest comme si l’on venait manger dans leur frigo Y. Source : http://•muw. francesoir. fr Document 5 : Jacques Attali répond aux artistes (extraits) Publié le 16 mars 2009 (pendant le débat à l’AssembIée sur le rojet de loi Hadopi) La loi Hadopi ne protège pas la culture mais les revenus de quelques entreprises. La gratuité des échanges sur le Net ouvre de formidables opportunités.

Bien des artistes ne semblent pas admettre que l’Internet leur ouvre de formidables potentialités créatrices, que le projet de loi dite Hadopi, qui vise à interdire le téléchargement gratuit, ne vise pas à les protéger, mais à réserver l’essentiel de la valeur produite à quelques entreprises, et qu’un autre système de rémunération, fondé sur la nature profonde de l’Internet, leur assurerait un eilleur revenu et une bien meilleure reconnaissance sociale, s’ils s’en emparent avant que ne s’y rallient les entreprises qui la combattent aujourd’hui. . Le commerce de la musique et du cinéma sur l’Internet obéit au même modèle économique qu’à la radio ou à la télévision. Quand la radia est apparue, bien des artistes refusèrent d’y parler, ou de laisser leurs disques y passer, de peur de perdre des spectateurs pour leurs concerts. Puis ils comprirent que la gratuité de la radio créait de la demande pour leur musique. De même, la 7 2 Puis ils comprirent que la gratuité de la radio créait de la emande pour leur musique.

De même, la télévision, longtemps vue comme un ennemi du cinéma, en est aujourd’hui le premier agent de promotion. Et, comme la radio est une des premières sources de financement de la musique, la télévision est en France la première source de financement du cinéma. Radio et télévision ont même profondément influencé la nature du geste créateur. La gratuité des échanges est aussi dans la nature de l’Internet, comme elle est dans celle de la radio et de la télévision.

Plus rien n’empêchera les consommateurs d’échanger entre eux par mail les millions, les milliards même, de fichiers musicaux ou de films dont ils disposent déjà. Rien ne les poussera à acheter davantage de CD, ni à payer le téléchargement de fichiers qui ne leur apportent aucune valeur ajoutée, artistique ou économique, par rapport au téléchargement gratuit. Pourtant, cette gratuité, légale ou non, n’empêchera pas la croissance économique planétaire, de la musique, du cinéma, des jeux vidéo et de tous les autres secteurs associés.

Elle leur ouvrira même, au contraire, de formidables perspectives, artistiques et financières, comme a gratuité des livres, offerte par les bibliothèques, offre un formidable potentiel de développement à l’industrie du livre. Cela ne signifie pas qu’il faille laisser ce domaine sans contrôle, en particulier sur la nature de ce qui y est diffusé: la gratuité ne supprime pas la nécessité de la règle, comme on le voit pour les sewices publics. 2.

La gratuité d’un service pour I 9 de la règle, comme on le voit pour les services publics. 2. La gratuité d’un service pour le consommateur n’entraîne pas nécessairement celle du travail de celui qui le fournit. Le fait qu’un produit ou un sewice soit gratuit pour les onsommateurs ne signifie évidemment pas que celui qui le fabrique doive travailler gratuitement: par exemple, même si les soins des médecins à l’hôpital public sont gratuits, les médecins y sont payés.

Les cours des professeurs de l’Education nationale sont gratuits, et les professeurs sont payés. Cécoute de la radio est gratuite, et ceux qui y travaillent sont payés, par la publicité et la redevance, c’est-à-dire par des recettes collectives. Et comme les auteurs de livres (et les libraires) sont évidemment rémunérés, et doivent continuer de l’être, les auteurs et nterprètes de musiques ou de films doivent évidemment ‘être, même quand la technologie impose la gratuité.

En particulier, ils doivent être rémunérés pour l’usage de leur œuvre sur le Net, comme ils le sont à la radio, par des droits d’auteurs répartis ? partir d’une ressource globale, collectée auprès des principaux bénéficiaires du téléchargement, les fournisseurs d’accès ? Internet, et distribuée ensuite par des sociétés dont les artistes doivent être les maîtres. 3. Le projet de loi actuel ne vise qu’à freiner le développement d’Internet pour préserver le profit des majors.

Contrairement à ce que beaucoup soutiennent, les consommateurs n’ont rien à gagner à ce texte: les peines de prison pour contrefaçon numérique prévues par les textes antérieurement en v ce texte: les peines de prison pour contrefaçon numérique prévues par les textes antérieurement en vigueur continueront de s’appliquer au pénal, en plus des sanctions nouvelles prévues par la loi Hadopi; la Cnil précise même, dans son avis sur ce projet de loi, que «sur la base de procès-verbaux constatant un même fait, la mise à disposition sur internet d’œuvres protégées ar les droits d’auteur, les SPRD et les organismes de défense professionnelle pourront librement choisir de saisir l’Hadopi le juge civil le juge pénal ».

De même, les artistes, sans cesse mis en avant dans les débats, ne bénéficieront pas non plus de cette loi et les débats l’ont bien montré: tous les amendements proposés, même ceux venus de I’I_JMP, ont été refusés quand ils prévoyaient d’ameliorer la rémunération des auteurs et interprètes (1 Comme si les artistes étaient des mineurs; comme si seuls leurs producteurs savaient utiliser l’argent public, si généreusement laissé dans leurs caisses ar des crédits d’impôts ou par d’autres mécanismes. Jacques Attali, Source : www. slate. fr Jacques Attali est un des fondateurs de Slate. fr. Il en préside le conseil de surveillance. Economiste, écrivain, éditorialiste ? « Express, Président de PlaNet Finance. Il est l’auteur de nombreux essais, biographies, pièces de théâtre et romans. A partir des idées trouvées dans les documents précédents et de recherches complémentaires, il vous est demandé de préparer des arguments. Vous vous efforcerez de faire varier la nature de ces arguments pour donner davantage de force à votre