Doctisimo
Parallèlement, la san (82 ans en moyenne) certain nombre de te fonction pulmonaire un réel impact sur la Doctisimo Premium gy Etudiantee132 MapTù 14, 2015 2 pages La qualité de l’air des maisons de retraite passée au crible Dans le cadre d’un projet européen baptisé GERIE, la qualité de l’air des maisons de retraites a été évaluée dans plusieurs pays. Au total, les niveaux de concentration des polluants dans 50 maisons de retraite de sept pays (Belgique, Danemark, France, Grèce, Italie, Pologne et Suède).
Cinq polluants de l’air intérieur ont été analysés : les particules de diamètre de IO microns PMI O), les particules ultra-fines (PMO. I), le formaldéhyde, le dioxyde d’azote (N02) et l’ozone (03). Ces polluants viennent de plusieurs sources, dont le chauffage, les matériaux de construction, le mobilier, les produits nettoyants et de ménage, les désinfectants et les systèmes de refroidissement.
Swipe to page ors Sni* to View nextÇEge de plus de 65 ans articipant a subi un uels des tests de la aire de santé. Les résultats montrent que l’exposition des niveaux élevés de PMIO et de N02 est associée de manière significative à l’ess l’essoufflement et la toux. De hauts niveaux de PMO. I étaient ssociés à des sifflements dans la poitrine l’année précédant la mesure de la qualité de l’air, et de hautes concentrations de formaldéhyde sont liées à la bronchopneumopathie obstructive chronique (BPCO).
On retrouve ces associations avec des concentrations modérées de polluants de l’air intérieur inférieures à celles des directives internationales existantes. Les résultats sont renforcés dans les foyers mal ventilés et chez les résidents de plus de 80 ans. Des conséquences plus graves avec l’âge Avec l’augmentation de l’espérance de vie, de plus en plus d’individus vivent dans des maisons de retralte. Avec le vieillissement, l’organisme devient plus vulnérable aux risques liés à la pollution de l’air.
L’activité physique réduite entraîne aussi une exposition accrue à la pollution de l’air intérieur. La Dr Isabella Annesi-Maesano, directrice de recherche Inserm et auteure principale de l’étude, indique : « Nos résultats montrent l’effet indépendant de plusieurs polluants de l’air intérieur sur la santé pulmonaire des personnes âgées vivant en maison de retraite. Le problème est préoccupant puisque la capacité de l’organlsme à traiter les polluants nulslbles de l’air diminue av