DISSERTATION Cauchemar

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Lucile Villepreux 30/10/2014 Culture générale Sujet n02 : Selon vou Les rêves ainsi que le au.. tout les hommes ou qui intrigue depuis la ave ? : d phénomènes que en commun, et ité entière. Plus particulièrement, le cauchemar toujours suscité de nombreuses questions de par Pétrangeté de son contenu mais aussi et sur tout de part l’impact émotionnel et quelque fois physique qui y est associé. Résultant généralement d’un grand stresse ou d’un conflit qui serait survenu au cours de la journée, les cauchemars ont une lecture de se que nous vivons au quotidien.

Cela peut aussi relater des souvenirs plus lointains, vieux de plusieurs mois ou années. Les événements reviennent sous forme d’images de sensations et sont accompagnés de sentiments, d’impressions. Le cauchemar lorsqu’il réveille le dormeur reste clair dans son esprit il est souvent perturbant mais difficilement exprimable car comme le dit Shakespeare « L’œil de l’homme n’a jamais vu, l’oreille de l’homme n’a jamais oui, la main de l’homme ne peut jamais tâter, ni ses sens concevoir, ni sa langue exprimer en aroles ce qu’était mon rêve ».

Malgré sa présence indéniable, soit un phénomène répandu il n’est, contrairement au rêve, l’objet que de très rares études scientifiques. C’est pourquoi je tenterais de répondre à la question suivante Faut-il selon vous en finir avec le rêve ? Premièrement nous évoquerons les aspects négatifs du rêve/cauchemar puis nous nous intéresserons aux effets positifs de ceux-ci. Le coté obscur du rêve a longtemps échappé à la compréhension des chercheurs.

Pourtant, il suffit de s’interroger sur le sens remier que l’on attribuerait au cauchemar pour se rendre conte que ce phénomène n’est pas un événement plaisant, qui souvent mobilise beaucoup de notre énergie et nous laisse dans un état de choc, de perturbation certaine. En effet le cauchemar place l’individu dans une situation désagréable voire même pénible entrainant communément un réveil brutal faisant suite à des émotions trop fortes. Le rêveur s’éveille donc épouvanté suite aux événements vécus. Bien que les cauchemars ne soient pas « réels D, le sentiment d’être mis en danger lui l’est bel et bien.

Et le cauchemar en devient d’autant plus pénible lorsqu’il est l’auteur de lourdes conséquences à long terme sur certains patients, certains allant même jusqu’à refuser de s’endormir les nuits de crainte de ne revivre une aussi traumatisante expérience. Le rêveur s’épuise et passe de nombreuses nuits blanches hantés par ces cauchemars incessants et permanant pouvant entrainer, si le traumat nuits blanches hantés par ces cauchemars incessants et permanant pouvant entrainer, si le traumatisme est récurrent, une forme de psychose pouvant être maladive.

Scientifiquement il n’y a aucune différence entre le rêve et le cauchemar. Ils correspondent tous deux à des moments de semi-éveil pendant lesquels le cerveau crée ces illusions. La seule différence est le type d’histoire rêvée. Comme un film qui peut être comédie romantique ou film d’horreur, le thème du rêve peut être plus ou moins angoissant. Et quand il est négatif ou stressant, le rêve devient cauchemar.

D’après sa définition première, le cauchemar est une activité onirique associée à des angoisses, à des sensations physiques ‘oppression, à des sentiments d’horreur, à des états de paniques et peut d’aspects positifs et constructifs semblent en émerger. Pourtant, après l’étude de plusieurs textes dont le sujet principal reste le cauchemar, il s’avère que ce dernier soit plutôt symptomatique d’un traumatisme, il signale un choc. II n’est nullement l’expression d’un désir mais bel et bien celle d’une lutte.

Ils nous perturbent, nous terrifient, mals peuvent aussi nous permettre de mieux nous connaître. Le professeur Michel Jouvet affirme que le rêve « permettrait la conservation d’un ensemble e traits de caractère qui constitue la personnalité d’un individu » ou comme dirait Shakespeare « le gardien de notre individualité En effet, pe personnalité d’un individu » ou comme dirait Shakespeare « le gardien de notre individualité En effet, pendant le sommeil paradoxal, les souvenirs sont mobillsés, reliés et intégrés.

Rêver est un moyen pour le cerveau de traiter des souvenirs douloureux et de prendre du recul. Bien que le rêve ne puisse pas effacer nos traumatismes, il semble qu’il soit bénéfique quant à la gestion de notre stress. Mais le cauchemar sert également à apprivoiser nos peurs, ? dompter nos terreurs diurnes. Il est en quelque sorte salvateur pour notre santé mentale.

Il nous aide à traiter nos souvenirs de peur, à les neutraliser, à réguler nos émotions, à les digérer pour mieux s’y adapter, ou pour citer Freud « Réguler nos états internes Et même si chacun fait des rêves et des cauchemars liés à sa propre expérience personnelle, à son quotidien, ? son passé, à sa vie actuelle, certains sujets restent cependant écurrents tel que les agressions physiques, la mort, ou par exemple les conflits personnelles tel que les divorces.

Comme si le cauchemar voulait préparer son auteur à mieux vivre ce genre d’épreuve dans la réalité, comme si le cauchemar s’apparentait ? un jeu de simulation pour que le rêveur finisse par être préparé ? l’épreuve en question. De plus le rêve et le cauchemar savent aussi se faire amis des artistes et savent convenablement être les auteurs de leur inspiration, Verlaine y a consacré un poèm PAGF