Diagnostic de l’étude des enfants et des ménages

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Diagnostic de l’étude L’étude a confirmé ce que la plupart des auteurs démontrent ? travers leurs publications d’articles scientifique et d’ouvrages, ? savoir que l’enfant est effectivement une cible à par et que son rôle de prescripteur en fait une cible extrêmement courtisée. Dans un premier temps, nous avons tenté de mesurer l’impact que pouvais avoir ce phénomène de prescription dans les ménages et d’analyser les outils et leurs performances utilisées par que les entreprises afin de solliciter les sens de [‘enfant dans une optique favorable de décision d’achat, au sein des grandes urfaces. r 14 Le but de notre étud mp lieux autour de la pre non l’influence des st ser un état des et constater ou ées pour cibler la population enfantine. Mais également, démontrer l’existence d’un profond malaise inhérente à cette cible, de par le développement cognitif de l’enfant qui se véhicule à l’ensemble du foyer. Les questions posées au travers de ce questionnaires ont été élaboré en ce sens, définir la relation entre la publicité et l’enfant et constater les conséquences qui en découlent.

De nos jours, la publicité est omniprésente dans notre société et beaucoup changé depuis ses premières utilisations, elle est une forme de communication, dont le but est de fixer l’attention de sa cible sur un objet consommable, et de l’inciter à adopter un comportement déterminé vis-à-vis de ce dernier. Néanmoins, depuis quelques années, tous ont pu constater les cons conséquences de ses dérivent. Depuis, quelques temps, la publicité ciblant les enfants s’apparente à de la propagande.

C’est pourquoi, la publicité est très contestée, notamment des associations de consommateur. En effet, à travers notre étude nous avons pu constater que es intewiewers estimé que la publicité avait un impact négatif sur le comportement d’achat de leur enfant. La publicité est une véritable source de conflit entre parents et enfants. Les jeune enfants, âgé entre 3 et 12 ans n’ont pas atteint leur néopsyché, c’est-à-dire l’âge où leur développement cognitif leur permet d’assimilé certaines variable intellectuelles lui permettant d’avoir son propre libre arbltre.

Nous avons pu constater, que les parents ont une réelle appréhension quant a la publicité. Selon notre synthèse de littérature et de notre enquête terrain, cette inquiétude est tout ? fait justifié, l’enfant et plus globalement l’ensemble du foyer (rapport) et son comportement d’achat sont impactés par les stratégies marketing ciblant les enfants. La performance des outils markéting et le matraquage des messages publicitaire et autres moyens de communication soulèvent de nombreux problème. onc , se fâchent pour un rien contre leur entourage si toutes fois leurs envies et désirs ne sont pas tirés au clair. Soulignons par là les inégalités de ressources, qui pour la plus part jouent un rôle prépondérant dans les rapports entre enfants, familles, etc. Un enfant issu d’une famille peu aisée, s’il est confronté ? des publicités qui de nature sont destinées à stimuler ses sens va vouloir imposer à ses parent de combler ses manq 12 nature sont destinées à stimuler ses sens va vouloir imposer à ses parent de combler ses manquent.

Dès ce moment, les parents contraints à ce fait sont dès fois obligés de satisfaire ce petit innocent sous peine d’avoir des ennuis inenvisageables. Cet exemple illustre parfaitement beaucoup de faits que nous vivons au quotidien dans les grands espaces de vente, dans les magasins vestimentaires. D’un autre côté, nous pouvons noter un probable refus des parents de satisfaire les désirs de l’enfant. Ce qui dès fois le conduit à des pratiques peu croyables telles : fuite de la maison, gèle des affinités et même jusqu’au suicide.

Cest une question qui n’est sans doute pas d’actualité mais dont les psychologues et sociologues n’évoquent pas clairement. Cependant, la publicité, surtout celle destinée aux enfants demeure une pratique plus dangereuse que nous même nous ne le croyons et peut au pire des cas multiplier les risques et dangers chez ces innocents. C’est la cause pour laquelle bon ombre d’Etats, conscients de ce danger extrême, interdisent par le biais d’une législation ces pratiques.

Les familles sont maintenant confrontées à ce mal de vivre qui leur cause du souci continuellement. D’autres même soutiennent que l’enfant est une charge ils envisagent toute cette problématique qui s’intensifie à son paroxysme au lendemain du moyen âge c’est à dire la modernité : genèse de toutes sortes de conflits. Cela n’est sans doute pas surprenant vu que la publicité menace soucieusement notre environnement social, culturel et éducatif. Si l’on se réfère à l’étude menée par le BEUC et le « Consumenten

Bond » en 2000, éducatif. Si l’on se réfère à l’étude menée par le BEUC et le « Consumenten Bond » en 2000, nous notons les demandes adressées à l’Union Européenne après avoir constaté les désagréables résultats que les pratlques marketings ont favorlsé chez les enfants. Ils recommandent à l’UE d’introduire une législation horizontale afin de protéger les enfants contre ces pratiques marketing, quel que soit le moyen mis en oeuvre et s’appliquant à tous produits et tous services.

Pour eux, ces pratiquent émanent d’autres horizons d’où la nécessité de les reiner et d’appliquer une stricte législation à l’endroit de toute publicité adressée aux enfants. Allant même jusqu’à proposer un observatoire européen indépendant qui contrôlerait les progrès qui s’opèrent sur le marché ayant pour cible les enfants. Ils proposent même l’indispensabilité d’apprendre aux enfants à reconnaître un message publicitaire afin qu’ils puissent se protéger et pouvoir prendre ainsi des décisions personnelles.

Cet exemple si illustratif contribue à appuyer une probable problématique que doit engendrer la publicité dans les rapports familiaux de tous les jours. Si le BEUC et le « Consumenten Blond » recommandent à l’UE d’inhiber ces pratiques marketings réservées aux enfants, c’est qu’ils ont d’après des résultats très opérationnels de leur étude constaté qu’il se passait d’extraordinaires choses qui pouvaient même dépasser la conscience humaine.

Dans un second temps, il nous a paru essentiel de soulever un problème d’éthique inhérente à la prescription, notamment ? cause du matraquage de communication ciblant les enfants de façon quasi permanente, 2 prescription, notamment à cause du matraquage de communication ciblant les enfants de façon quasi permanente, ous avons mis en exergue, la manipulation, exercée par les spécialistes du marketing pour cibler cette population. Nous mettons en lumière, le fait que renfant est un être peu, voir pas du tout armé, pour faire face à la publicité et les autres moyens de communication le convoitant.

Les outils sont particulièrement bien élaborés pour crée une relation d’affectivité chez l’enfant. Notre étude empirique à pour objectif de soulever le point suivant : n’existe pas L’omniprésence de la publicité a comme nous l’avons dit précédemment des effets sur les enfants. Aussi, dans la même lignée, TF3, qui est limitée dans les émissions de publicités augmente considérablement les taux de publicités enfantines pour les vacances scolalres, passant de 19% à 50%, en raison d’un nombre important de programmes consacrés aux enfants sur cette chaîne.

En effet, depuis de nombreuses années jusqu’à nos jours, les publicitaires considèrent les enfants comme des prescripteurs et des décideurs dans le choix des achats de leurs parents. Ainsi, depuis les années 90, ils s’attaquent à ce marché qualifié de prospère et augmentent l’apparition des enfants dans les ublicités de tout genre. Le bureau de vérification de la publicité considère que les enfants apparaissent dans 17% des publicités en 2001, qui se répartissent de la façon suivante : dans les publicités pour des produits généraux et 59% pour des produits concernant les enfants.

PAGF s OF enfants. Ils sont obligés d’assister à des séances de dix minutes de télévision quotidienne pendant lesquelles ils sont confrontés à des publicités. Ils sont ainsi confrontés au quotidien à des publicités qui leur intoxiquent. Ainsi, la « junk food » et bien d’autre produit de consommation. Aujourd’hui, ce sont même les marques qui dictent aux écoles la manière d’enseigner. Les jeunes enfants et les adolescents sont donc en permanence sollicités par la publicité et subissent des pressions autant de la part de celle-ci que de son entourage.

L’influence que la publicité exerce sur les enfants et les adolescents se fait à plusieurs niveaux. Enfants et nouveauté La flambée de la mode et des marques dans notre société contemporaine est d’une importance à prendre en considération pour le rôle qu’elles jouent dans le bouleversement des modes de vie sociales et culturelles. Cette adhésion aux marques vestimentaires de luxe concerne plus particulièrement les garçons que les filles.

Les conséquences économiques qui en découlent sont spécifiquement déplorables d’autant plus que ce sont très souvent les jeunes des milieux défavorisés qui ressentent le plus ce besoin de se procurer des habits nouveaux de marques distinguées. De cette façon, une frustration s’opère dès lors qu’ils ne peuvent parvenir à se les procurer. Cet état des faits met aussi en évidence le fait que les enfants et les adolescents soient infidèles aux marques qu’ils affectionnent. En très peu de temps ou même pour un tout petit détail, ils passent d’une marque à l’autre.

Leur désir à s’appartenir et à s’identifier à un groupe bien déterminé impose sa 6 2 marque à l’autre. déterminé impose sa suprématie d’où l’adoption infidèle aux marques. Enfants et enjeux sanitaires Le domaine de la santé est un phénomène d’autant plus flagrant aux Etats-Unis. En effet, les « coachs potatoes » comme on les appelle aujourd’hui sont continuellement confrontés à la publicité. Cela a contribué à provoquer une augmentation de l’obésité chez cette catégorie d’indlvidus aux USA. En 1 994, le National Center for Health Statistics (N.

C. H. S. ) a révélé qu’un enfant sur cinq souffre de problème d’obésité et qu’en dix ans, la super obésité des enfants américains a doublé. L’accroissement de l’obésité, le fort taux de cholestérol et le nombre d’heure passées devant la télévision par les enfants sont liés (« he Commercialization of Children’s Television American Academy of Pediatrics, 23 juillet 1991). D’ailleurs, les résultats des recherches menées par les center for Science in the public Interest (C. S. P. I. ) illustrent très nettement le phénomène.

Une étude sur les tranches horaires télévisuelles destinées aux enfants révèle que sur les 433 publicités qui s’y passent 263 concernaient la nourriture. Sur ces 263 publicités alimentaires, seulement étaient consacrees à l’alimentation décemment saine : (produit à faible taux de sucre, graisses et sel ajoutés). Ce qui dit que les 91 % qui restent s’agissaient de « junk food c’est-à-dire des produits alimentaires élevés en graisses, sucre et en sel comme les sodas et autres hamburgers. En effet, les enfants sont considérés par les publicitaires comme une cible prospère. Dès 7 2