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mobilisés ; ces chiffres sont prendre avec prudence, puisque l’an pouvait par exemple compter plusieurs fois un soldat s’il se blessait à plusieurs reprises). Bien que personne ne revienne de la guerre inchangée, les invalides ne pouvaient plus jamais retrouver leur rythme de vie d’avant-guerre. Prenons simplement l’exemple d’un agriculteur qui est mobilisé pour se rendre sur le champ de bataille et qui revient avec un handicap tel qu’une jambe en moins.
Il ne peut alors plus exercer son métier et ainsi gagner sa vie c’est pourquoi il est considéré comme un invalide. Alors est-ce que les invalides de guerre tels que ce celui-ci sont aidés, et également les mutilés qui se sont fait ces handicaps « int Des H Ros Oubli S Text2 Premium gy gogossE7 MapTa 28, 2015 | IS pages Des héros oubliés : Invalides et Mutilés de guerre Ce travail est focalisé sur la situation en France ! Problématique : 1. Est-ce que l’Etat ou le gouvernement s’occupe de ces blessés ?
Leur fournissent-ils une pension, des prothèses etc… ? Quelles mesures ont été prises suite à la Première Guerre pour ces personnes-là ? 2. Comment ces blessés arrivent-ils à se faire entendre ? Par l’intermédiaire de quelles associations ? 3. Comment ces gens sont-ils traités et accueillis par la société ? Swpe to page Développement : Comme vous le save la mort d’énorméme d’innombrables bless morts et 21 millions p or 15 Sni* to View nextÇEge ndiale causa ut également ns (9 millions de ns d’hommes « intentionnels » ?
L’Etat français a effectivement pris des mesures pour aider les blessés de la Première Guerre mondiale bien qu’il était dans une sltuation très défavorable car la France était le pays qui avait eu le plus de pertes proportionnellement au nombre de mobilisés. C’était alors une France en reconstruction qui avait besoin de main d’œuvre mais qui devait faire face au retour de plus de 3 millions d’invalides de toutes sortes : gueules cassées, amputés, aveugles, gazés, mutilés, etc. , dont ils devaient s’occuper.
Il y eut également une centaine de milliers de soldats français qui s’étaient automutilés, de peur de retourner au front. Ils se blessaient (exemple qu’on a vu en cours) et ne pouvaient par conséquent plus combattre, ils pouvaient alors quitter le champ de bataille, du moins s’ils n’étaient pas fusillés pour trahison. Ils étaient aussi appelés : « les soldats de la honte » et étaient considérés comme des lâches, c’est pourquoi l’Etat n’estimait pas leur devoir quelque réparation. L’Etat mit en place des centres de soins et de rééducation pour les soldats gravement blessés.
Les civils y ont aussi eu accès par la suite. Ces instituts ont été mis en place dès le début de la guerre, par exemple le Grand Palais à Paris qui a été converti en hôpital militaire dès 1914. L’on y soignait justement les grands blessés telles que les « gueules cassées ces soldats qui ont été éfigurés à cause de l’explosion d’un obus par exemple. Il y en a eu énormément durant la Première Guerre mondiale car c’était une guer 15 exemple. Il y en a eu énormément durant la Première Guerre mondiale car c’était une guerre de tranchées et la seule partie qui demeurait en dehors de celles-ci était le visage.
Puis les médecins rééduquaient professionnellement les soldats invalides afin qu’ils puissent réintégrer une vie professionnelle et vivre indépendants à leur retour à la vie civile. Ensuite, après deux ans de guerre, le parlement français instaure une première loi pour régler les ituations souvent inconfortables qui confrontaient invalides et personnes opérationnelles, par exemple pour une postulation entre un invalide de guerre et un homme en bonne santé, ? qui doit être attribué la place ?
Cette loi datant du 17 avril 1916 servait justement à favoriser le reclassement social des invalides, sous certaines condltions bien entendu. La loi du 17 avril 1916 • Cette loi s’adresse aux militaires seuls. Voici deux, trois points de la loi La qualité de la prise en main n’est pas en fonction du grade, ni de la durée de service du soldat. La qualité de la prise en main est en fonction de la composition e famille, donc le nombre d’enfants, et non de la gravité de la ou des blessures. La gravité des blessures permet seulement d’entrer dans la catégorie, car il y a une échelle d’invalidité. ) Ce sont des commissions militaires qui décident si quelqu’un est apte ou non à exercer une profession par des tests physiques par exemple. Sil y a des ex aquo pour un poste, c’est la priorité au père de la famille la plus nombreuse, ensuite à celui avec la plus gra poste, c’est la priorité au père de la famille la plus nombreuse, ensuite à celui avec la plus grande infirmité, puis à celui qui a fait e meilleur examen. ne société n’est plus libre pour ses choix sur le marché, si elle n’accepte pas de prendre en son sein des invalides. Les militaires qui exerçaient un métier avant la guerre ont la priorité sur ceux qui n’avaient pas de métier dans la même entreprise. La loi du 30 Janvier 1923 : Environ une victime sur dix a pu bénéficier d’un emploi réservé. La très grande majorité des victimes de guerre ont plus de trente ans et seulement quelques-uns sont célibataires. Cette loi s’adresse non seulement à 1 million d’invalides, mais aussi 600 veuves et — 550 ‘ 000 orphelins de guerres.
Ces mutilés ont pu faire valoir leurs droits sur les territoires français, donc aussi les colonies. Mais la plupart ont déposé une candidature dans des grandes villes telle que Paris. Cette loi leurs réservent 600 types de d’emplois ce qui représente -240’000 postes de travail. Ily a 4 catégories, la catégorie 1 qui sollicite un haut niveau de qualification jusqu’à la catégorie 4 qui en nécessite peu ou pas du tout. Cependant, la majorité était résignée à la catégorie 4, la plus accessible.
Montant des pensions de guerre : Ils recevaient une petite pension, car ils sont invalides, et cette ension leur suffisait pour vivre, contrairement à la pension de guerre qui, elle, ne suffisait pas. Il y avait les grands invalides, ceux qui étaient invalides à plus de 85%, qui gagnaient suffisamment pour être ? 5 grands invalides, ceux qui étaient invalides à plus de 85%, qui gagnaient suffisamment pour être à rabri du besoin. En 1 928 une veuve de simple soldat non remariée touche une pension annuelle de 4,64. par jour (pour info : 1 kg de pain = 2,11. -, IL de lait = 1,45. – et sans compter le loyer encore. ) Il leur fallait donc avoir un travail. par exemple, une veuve qui travaille dans un agasin de tabac gagne environ 20 à 25. – par jour. Les formes de réparation : La réparation due par l’Etat à l’invalide œuvre deux formes : La somme représentée par la pension La faculté donnée à l’invalide de surmonter le handicap ? l’embauche pour malgré tout avor une carrière compatible avec ses aptitudes physiques et professionnelles.
Ces deux formes se complètent : l’Etat doit à Pindividu la pension ET le reclassement social. La sélection : La sélection pour les emplois des soldats se fait en deux parties : Prouver qu’ils remplissent les conditions pour l’emploi en nvoyant des documents administratifs. passer des tests physiques Difficulté des épreuves • La difficulté des épreuves est énorme, elle est d’un niveau comparable aux examens des candidats ordinaires. A la fin des épreuves, on leur donne ou non un certificat, qui est délivré par la commission.
Une fois en poste, ils doivent faire un stage, à Fissu duquel is peuvent être remercié ou titularisé. Dans ce cas ils obéissent aux mêmes règles que leurs collègues. Classement des demandes : La grosse différence entre la loi de 1916 et celle de 1923, c’est que dans la première les sal PAGF s 5 demandes que dans la première les soldats qui demandaient du travail étaient classés selon leur sltuation de famille alors que dans la deuxième loi, ils étaient classés selon la gravité de leurs blessures.
Et les veuves ainsi que les compagnes étaient classées selon leur nombre d’enfant. Des résultats jugés décevant : De nombreuses dispositions pour favoriser le reclassement ont été mises en œuvre mais se sont avérées inefficaces vu que le nombre de reclassés furent bien inférieur à la prévision des parlementaires. La proportlon des candidats classés ne eprésente moins que la moitié des postulants. Les ‘ « victimes de guerre » font cependant « tout’ pour se recaser : Effectivement, les soldats déposent en moyenne deux demandes chacun.
Ily a beaucoup d’emplois, mais la plupart ne sont pas apte car ce n’est pas pour leur catégorie, c’est-pourquoi ils doivent attendre. Il y a donc plein d’insatisfactions, car ils sont affectés à un travail qu’ils ne voulaient pas tellement, ou encore dans un lieu qul ne les satisfait pas. Ceci s’applique plutôt aux provinciaux qui auraient souhaités rester dans leur région, mais ils sont contraints ‘aller en ville. On ne leur donne pas beaucoup de précisions sur les boulots, donc ils choisissent sans savoir s’ils vont aimer ou si ça leur convient.
Les commissaires mettent la barre assez haute pour les tests physiques et donc ils ont demandé à la baisser suite à de nombreux échecs. Les administrations respectent malheu 6 5 demandé à la baisser suite à de nombreux échecs. Les administrations respectent malheureusement pas la loi de 1923 ou très peu en utilisant des techniques de fraudes assez intelligentes : Le plus facile, est de ne pas déclarer le nombre réel d’emplois aux candidats. Créer des nouveaux postes non répertorié dans la liste des emplois réservés, et qui assurent les mêmes fonctions mais sous un autre nom.
Les parlementaires font en sorte que tout aille bien avec deux choses : Un invalide de guerre doit siéger dans les commissions médicale et professlonnelle. Tous les nouveaux postent ne pourront être créé que si l’Etat est averti. Centres de réparations et prothèses : Effectivement l’Etat a pris des mesures pour aider ces réformés, et ce déjà dès les débuts de la guerre, surtout pour que les soldats puissent retourner sur le champ de bataille et éviter insi de leur devoir une pension pour invalidlté.
Il a ainsi créé des centres pour proposer des méthodes de camouflage ou de réparation de visages abîmés. Prenons l’exemple le plus courant des gueules cassées, les médecins avaient mis au point toutes sortes d’appareils dans le courant de la Première Guerre, la mécanothérapie, qui avait pour objectif de redonner au visage de la victime une forme plus proche de son visage précédent et de faire retrouver à la victime certaines capacités, telles que : L’ouvre-bouche, qui redonnait au blessé Pélasticité de sa bouche.
Le procédé des sacs, assez douloureux, on plaçalt deux plaquettes dans la bouche de l’invalide et l’on y suspendait de 7 5 assez douloureux, on plaçait deux plaquettes dans la bouche de l’invalide et l’on y suspendait des poids pouvant aller jusqu’à trois kilos, afin de replacer la bouche dans sa position originelle ! Et bien d’autres.. Cependant, les médecins et l’Etat devaient faire face à un nombre de refus grandissant.
De plus en plus de blessés refusaient de se faire soigner de peur de redevenir opérationnels à cause de rumeurs, qui étaient justifiées, comme quoi les raitements étaient assez douloureux et que l’on renvoyait les rééduqués sur le champ de bataille une fois à peu près opérationnels. C’est là que commence un conflit entre blessés et médecins, et une enquête débute en 1917, à l’initiative du Journal des mutilés et réformés.
Mais les médecins contestent les nombreux témoignages et vu que le gouvernement est du côté des médecins car ils y sont gagnants, les blessés se voient alors obligés par l’Académie de Médecine d’accepter de recevoir des traitements physiques comme la mécanothérapie, ‘électrothérapie ou encore l’anesthésie. Les seuls traitements refusables étaient ceux qui impliquaient des troubles mentaux tels que le « Shell shock », le choc commotionnel.
Cest à ces moments que l’on voit que le gouvernement n’a pas toujours fait juste, car ces refus pouvaient même être sanctionnes par des privations de sortie d’hôpital ou des privations de prothèses. Un soldat aurait même été puni de deux ans de prison car il a refusé de se soumettre à un traitement d’électrothérapie. Pensions et analyse d’image : Ainsi on remarque que I 5