D Ontologie
Les définitions ne sont pas à connaitre par cœur. l. Introduction Professions touchées par la déontologie AS Médecln psy Architecte » Qu’est•ce que je peu faire/ne peu pas faire ? » 1. Définition : Etymologie : Logos (logopédie) : di Deontos û le devoir, Définition classique : a or 18 Sni* to View ‘ Partie de renseignement médical qui traite du devoir du médecin vis-à-vis de ses confrères et de ses clients. » : quel devoir j’ai face à mes clients et face aux confrères ? Ensemble des règles et des devoirs qui régissent une profession, (soit) la conduite de ceux qui l’exercent (dans) les rapports entre eux-ci et leurs clients ou le public ‘ On est plus seulement sur la médecine, on a étendu : L’ensemble des règles et des devoirs : On a besoin d’un cadre de travail, les règles sont mises sous forme de codes. Chaque profession a son code de déontologie. Le secteur de Paide à la jeunesse et le C. P. A. S ont leur propre code à eux. lesquels la profession va baser ses pratiques. On doit offrir la dignité humaine à tous et nous devons respecter leur vie privée.
L’autodétermination = respecter les chois et désir de l’usager LI son autonomie. Il faut respecter les différences de l’autre et respecté les infos que e reçois. Un corpus Code qui doit être réactualisé ; évolution des valeurs, des problématiques, du SP. Une loi morale : On doit la prendre en compte. Ce sont des règles de nature éthique qui doivent gouverner notre profession. L’ensemble des engagements que les membres d’une profession prennent entre eux, implicitement ou explicitement, à l’égard des usagers ou clients mais aussi de leurs propres pairs et de leur propre service ainsi que les interdits qu’ils ce posent. (Verdier – le SP en travail social) : Il y en a qui sont reconnus par une loi. 2. La déontologie sous forme de code Charte étique ou encore dans le contrat de travail, les 1er qui ont fait ça sont les médecins (1938). Organisation d’une profession : Reconnaissance légale : Certains codes ont une reconnaissance légale. Pour qu’il y ait reconnaissance il faut . un ordre une condition supplémentaire à l’intérieur de cet ordre C] il faut un conseil de l’ordre avec un magistrat qui va veiller à l’application des lois. Celui qui ne respecte pas les lois sera jugé par le conseil. Possibilité de faire appel.
Au niveau des A. S . Nous n’avons pas d’ordre donc as de sanctions par le conseil mais nous avons des code 18 ais nous avons des codes IJFAS = texte de référence Code de certains secteurs C. P. A. S & Aide à la jeunesse 3. Un code particulier : Code de déontologie de l’aide à la jeunesse. Décret de la Communauté française du 1 5/05/1997. A qui s’adresse-t-il : A toute personne qui travaille dans le secteur de l’aide à la jeunesse (A. S / psy / Secrétaire / direction / éducateur / bénévole). Les services concernés par ce code : AMO SAIE COE Ceux-ci peuvent être sanctionnés s’ils bafouillent.
Il y a également d’autres services qui vont collaborer avec le secteur de l’aide à la jeunesse, ils sont subventionnés par la ommunauté française : PMS SAS Crèche Ceux-ci ne risquent rien en matière de sanctions sauf d’un point de vue juridique notamment lors du viol du SP. Déontologie autoritaire . Un pouvoir extérieur à la profession impose quelque chose ? celle-ci. 15 articles comme balise. Commission de déontologie . Elle donne son avis par rapport à certaines situations. 4. Et en dehors de la Belgique : ANAS . consultation vont rester entre lui et l’A.
S. Nous devons lui garantir des droits, reconnaitre sa dignité et le respecter. On a le pouvoir de faire ou de ne pas faire quelque chose (ex : ne pas donner toutes les infos). Relation d’infériorité, dépendance de l’usagé qui vient demander de l’aide. Nous devons faire attention de ne pas abusé de notre supériorité c’est un pouvoir discrétionnaire 0 à utiliser correctement. Pour transgresser le code de déontologie, il faut 3 conditions : Avoir une demande de l’usager. Avoir une compétence : nous devons continuer de nous former même après nos études d’A. S.
Avoir un idéal professionnel : Quel sens je donne à mon travail ? On travail en tant qu’AS pour venir en aide à l’usager D respect de la personne ne pas aller trop loin notamment lors des visites ? omiciles. 3) Permettre à une profession d’affirmer une identité professionnelle L’usager : me permet de connaitre les règles. Autre professionnel : savoir à quoi ils doivent s’attendre avec moi. Employeur : Notre chef ne peut pas nous obliger à lui montrer nos dossiers mais le courrier sortant oui. politique : X judiciaire : on sait jusqu’où on peut aller, ce qu’on peut dire ou pas.
Opinion publique : X 8 est motivé. Devoirs et engagements à l’égard des usagers et des collègues : Collaboration interdisciplinaire, quels infos je peu partager ? Obligation envers les employeurs Il doit savoir ce qu’on a fait de la journée dans les limites du SP. 7. Limite : = La loi. Cl On ne peut rien y retrouver qui sera contraire à la loi. Primauté du droit. Complémentarité du droit. 8. Aider et/ou réprimer : Ligne de conduite : L’aide El si on commet des fautes déontologiques on ne sera pas sanctionner sauf les limites de la loi (ex : violation du SP).
Sanction de la loi Cl Sanction pénale — civil – professionnel. Force morale 9. Assurance tous risques . A chaque problème, une réponse ? Non il faut établir un cadre. Réflexion Prise de risque : Il faut parfois prendre des risques point de vue des décisions que ‘on va prendre nos décisions peuvent parfois nous amené a des problèmes (ex : donner des infos sur certaines choses que l’on ne peut pas donner). Se connaitre : Connaitre ses limites émotionnelles Prendre du recul Parler a un professionnel en cas d’un trop plein d’émotion Hiérarchie à respecter : PAGF s 8 de 1976.
Déontologie concernée : Eléments dont on doit tenir compte lors de notre réflexion. Règles de service. Principes moraux : Comment je me positionne face à tout ça. 10. Regain d’intérêt pour la réflexion déontologique Comment travailler avec des usagers pour lesquels il n’y a pas de réponse ? Quel sens donner à mon travail ? » Contrôle sociale : On est dans un climat de méfiance par rapport aux personnes qui profiteraient du système n on va donc contrôler. Rendre des comptes à la justice : » Doit-on tout dénoncer ? » (Ex : travail au noir).
Utilisation de l’informatique : Danger D rapidité des transferts qui peuvent nous faire faire des erreurs. Droit à l’oubli C] avant on faisait des dossiers puis quand l’armoire était pleine on les descendait au sous-sol pour ensuite les jeter dans un conteneur, grâce à ce tri il n’y avait plus de trace des personnes, elles avaient le droit à l’oubli. Aujourd’hui on arde toujours une trace informatique (où est passé ce droit de l’oubli Il. Chapitre 1 : principe et base légale du SP . Quelques citations » L’importance pour chacun d’entre nous comme être humain d’avoir ses jardins secrets n’est pas à démontrer.
Chacun de nous à le droit d’avoir des secrets, peu importe leur nature. La plupart du temps, ils touchent à notre vie privée, à notre intimité, à notre histoire ; parfois, ils peuvent cacher des comportements délictueux… Ces jardins secrets sont respectables et à respecter. Ils sont même coextensifs à notre humanité et au bon développement de notre 6 8 respecter. Ils sont même coextensifs à notre humanité et au bon développement de notre personnalité. » Il est important d’avoir et de conserver un jardin secret.
Le bénéficiaire à le droit de ne pas nous dévoiler son jardin secret. » La violation du SP est extrêmement grave du point de vue du fondement des droits de l’homme. Il faut le répéter incessamment, dans un monde qui, au nom du droit ? l’information et dans une période d’informations accélérées des données personnelles, rend la retraite du secret de plus en plus précaire & aléatoire. » L’usager à des droits que ron droit respecter (droit des hommes). Il est de plus en plus difficile de garder le SP 0 on le bafoue souvent. Un excès de transparence ne risque-t-il pas, d’annihiler la possibilité pour l’homme de préserver l’espace nécessaire à la constitution de son identité, espace garant de sa vie privée ?… A quelle identité personnelle, à quelle qualité de sujet le citoyen pourrait-il prétendre si la collectivité pouvait à tout moment et inconditionnellement s’approprier les pensées dont il fait la confidence, par l’entremise du professionnel, et ce au nom des meilleurs intentions ? » Les AS veulent bien faire et veulent aider mais parfois parle de rop û ce n’est pas nécessairement dans le but de nuire a l’usager. Ill.
Introduction : Notion personnelle du secret • On a chacun ses limites concernant la garde des secrets, nous n’avons pas la même sensibilité, la même notion du secret. SP : 458 codes pénaux : On n’a pas tous la même notion, la même manière d’app 7 8 du secret. On n’a pas tous la même notion, la même manière d’appliqué le Le SP est reconnu. SP bien établi sauf AS : Le métier d’AS est trop jeune (50ans). Le médecin qui viole le SP peut ce retrouver face aux tribunaux car ses clients peuvent facilement ce retourné contre lui, tant dis ue les usagers de l’AS n’ont pas assez de force pour poursuive l’As.
Application plus floue : Les médecins ce couvrent en nous faisant signer des décharges. Si un jeune dis quelque chose à 2 AS du même PMS 0 ses 2 AS vont réagir différemment l’une de l’autre ; elles ont chacune leurs propre manière de voir, d’appliquer le SP Complexité du terrain : Densité émotionnelle : Les éléments extérieurs peuvent nous faire réagir avec beaucoup d’émotions (ex : l’affaire Dutroux)û Ses émotions peuvent nous faire réagir différemment. Evolution du travail social : L’interdisciplinarité (Psy, éducateur,…
Dès lors comment appliqué le SP ? Logique sécuritaire : Logique de contrôle C » Jusqu’où puis-je allé lors des visites ? domicile ? » » Le SP est beaucoup trop peu gardé dans ce vaste champ du travail social avec les familles défavorisées, qui est parfois et avant tout un vaste champ de commérage. Quelques constatations : pas conscience de l’importance du secret • On parle beaucoup trop, pense-ton que le SP ne touche que les incestes (ex : viol) ? Le SP démarre là où l’usag rtager des informations.
PAGF 18 dramatique : Viole – Agression – femmes battues – avortements Secret partagé artage de secret avec les collègues C] où est la limite ? Pourquoi parle-t-on : On ne ce rends pas compte de l’endroit où l’on parle. Lors des pauses nous avons tendance à parler des différents cas que l’on a reçus. Lors des réunions on en dit parfois trop. On va parfois parler de nos entretiens à d’autres personnes pour nous décharger de nos émotions. Les stagiaires qui rentrent chez eux et racontes tout à leurs parents. Il arrive qu’on parle des situations de certains usagers de façon ironique le rire est un bon exutoire. Pour moi, être un cas social, c’est précisément être celui dont n parle en réunion de synthèse ; cas social, bien nommé, puisqu’en effet sa vie privée est devenue publique, est tombée dans le domaine du social, avec le risque du fantasme sous- jacent que ceux qui parlent ainsi des autres seraient au-dessus de tout soupçon, gens bien sous tous rapports, habilités à dire pou autrui, à tout dire d’autrui. » (B. roy-jacquey) , » Est-ce que c’est parce qu’on est AS qu’on sait tout sur tout ? » » Et si les rôles étaient inversé ? IV. Les fondements du SP . A. Juridiques : Triples intérêts : On recherche la vérité, on ir.
Le SP est une ‘insécurité (ex : on prend un avocat et on a peur de tout lui dire, peur que tout ce qu’on va lui dire ne reviennent aux oreilles de la police ou d’autres personnes mais l’avocat est tenu au SP). Délation Bon fonctionnement de la société . Ordre public : Sécurité de la société. Ordre social : Droit aux soins, au pardon. Les deux servent à développer un climat de confiance. Intérêt de certaines professions . Protection de divulguer : On va leur garantir la sécurité. On ce doit de ce taire face à certaines informations û on peut garder ses infos pour nous D on est protégés face à celles ci.
Profession libérale . L’AS n’en fait pas partie. Intérêt de la personne : Protection de la vie privée : Respect de l’intimité de la vie privée. Droits de l’homme Respect de la personne Sources juridiques de la protection de la vie privée • Art 12 déclaration universelle des droits de l’homme Art 8 de la CEDH Art 22 de la constitution Le SP est un outil que l’an doit utiliser à bon escient. Déontologiques Examen : 3 valeurs principales : Respect Reconnaître la personne comme un sujet et pas un objet. On doit reconnaître leur liberté (ex : religion). Pouvoir : On doit poser un cadre pour éviter d’abuser de notre pouvoir. Sens