commentaire d’annalyse
Chaque relevé de procédé doit aboutir à une analyse de l’effet produit la construction : du texte (progression ? opposition ? des phrases : longueur / rythme des phrases constructions originales (inversion, incises les champs lexicaux : connotation ? oppositions ? associations intéressantes ? Les verbes : leur type (verbes d’état, de mouvement… )/ leurs temps/ leur mode (actif, passif) l’énonciation : les pronoms, leur rôle/ implication de l’énonciateur ? termes évaluatifs, affectifs, modalisateurs ) / Sni* to nextÇEge interpellation du des ypes de phrases les figures de style • comparaisons énumérations, répéti antithèses, ironie.. ors Ion, apostrophes) / s, métaphores, lismes, hyperboles, le ou les registres : pathétique, tragique, lyrique, polémique, satirique, comique, épique, fantastique, réaliste les effets sonores : allitérations, assonances les références culturelles dans les textes narratifs le statut du narrateur la focalisation employée la description (éléments, ordre, utilité … es mouvements, ordre/ désordre, les 5 éléments, les 5 sens, verticalité/horizontalité. ) le traitement du temps : ordre rythme… les personnages (rapports entre eux, qui agit, qui subit Sachez que tout ce que vous avez appris au collège sert à étudier les textes au lycée ! -Les temps du récit • -Passé simple, la plupart du temps crée du suspense, donne du rythme au texte, accelère l’action, crée une tension Présent de narration : est interchangeable avec le passé simple, il donne l’impression d’assister en « direct » à l’action.
Imparfait : temps de la description, ralentit le rythme du texte. Les temps de l’énonciation ou du discours : Présent : actualise le discours, dans un texte au passé, il crée une émotlon car le narrateur intervient dans son récit. Futur : témoigne l’assurance du locuteur, la certitude, appelé aussi futur prophétique, il peut dramatiser un discours. Passé composé : évoque un passé très proche, qui perdure dans le présent du locuteur, vive émotion souvent. Valeurs de modes utilisés: indicatif, subjonctif, impératif, conditionnel -Les adjectlfs et pronoms personnels, possessifs, démonstratifs • ls montreNT l’appartenance à un groupe, ou l’exclusion (« nous » et « eux la forte affectivité (« Ma bohème Rimbaud), la dépréciation ce Goriot h), etc. -Les marques du jugement : les modalisateurs (« peut-être « assez joli »), qui marque l’adhésion ou la distance prise par rapport à un discours -Le vocabulaire : péjoratif, mélioratif, les champs lexicaux. es connotations, les dénotations, -Le vocabulaire : péjoratif, mélioratif, les champs lexicaux, les connotations, les dénotations, l’étymologie, la polysémie (poly : plusieurs, sèmes : sens) Les niveaux de langue : familier, soutenu, courant. -Les figures de style : il y a en une vingtaine à connaitre, les métaphores, comparaisons, personnifications, hyperboles, euphémismes, litotes, anaphores, métonymies, synecdoques, périphrases, antithèses, oxymores, les chiasmes, l’ironie, l’antiphrase, la gradation (ou crescendo), l’accumulation, le polyptote. La syntaxe : la place des mots, les mises en reliefs, les parallélismes de construction, le rythme de la phrase binaire, ternaire ; les phrases simples ou complexes, les phrases nominales La ponctuation : souvent expressive, questions rhétoriques, exclamatives, les interjections lyriques, les points de suspension, qui créent une attente, du suspense, ou montrent une interruption, etc. Selon les types de textes : vous adoptez les outils d’analyse d’un texte romanesque (le récit, le dialogue), d’un texte théâtral, d’un texte poétique Bien sûr, tous les textes se permettent de jouer avec les règles de leur voisin : un récit en vers au théâtre, un poème en prose, une fable qui conjugue poésie, argumentation, dialogue et récit !