Charlotte

où chacune d’elles se vraiment que l’auteu se transforment en c Voir même adoré. All livre si beau. Charlotte Premium gy loloblondeau I MOPTa 15, 201 S S pages David Foenkinos Partie 1 : Charlotte de David Foenkinos porte sur la vie de Charlotte Salomon, une artiste dont Foenkinos est fasciné. Mais l’histoire démontre aussi la tragédie et l’incertitude des juifs pendant la Deuxième Guerre mondial. Cest un flux de deux thèmes qui convergent. Le tout dans une forme poétique originale et puissante. Le livre se laisse dévorer tandis que le lecteur se fait rongé par les sentiments.

Le roman est un courant de phrases Sni* to View nextggge mu or 5 choisie. On sent our que son œuvre ‘ai bien almé le livre. pects qui rendent ce C’est une histoire vraie et cela joue certainement un rôle dans la perception des personnages. Les personnages qui sont par ailleurs très bien modelés. Comme l’auteur l’atteste dans certains paragraphes, il a beaucoup travaillé avant de publier le livre. Et ça se sent. Il transmet bien son admiration envers Charlotte et ses œuvres. Foenkinos le dit lui-même : il pensait depuis longtemps à écrire un livre sur Charlotte Salomon.

Cela va donc de soi que chaque phrase, chaque mot est le fruit d’une longue réflexion. Mais il ny a pas que l’écriture même dans lequel il a mis son tem Swipe to vlew next page temps, il y a aussi la recherche autour de la vie de Charlotte. Foenkinos a donc voyager partout où Charlotte a mis pied. De l’Allemagne au nord de la France. Il a visité des maisons et a questionné des descendants de ceux qui ont connu, d’une manière ou d’une autre Charlotte. Ces deux aspects ensemble sont non-négligeables et forment un véritable atout. Les thématiques sont très intéressantes, du moins à mes yeux.

La première, sur une phase de Ihistoire qui m’a le plus fasciné : La Deuxieme Guerre mondiale. Cette guerre qui parait si loin, et qui est si horrible qu’elle ressemble plus à un film qu’à une réalité. Ce livre rend parfaitement bien l’ambiance qui régnait au sein de la communauté juive tout au long de l’ascendance de l’empire nazi. Avec l’antisémitisme qui ne cesse de croitre et le doute qui s’installe chez les juifs allemands. Ils ne savent pas s’ils doivent partir en exil et tout lâcher. Ensuite durant la guerre ou chaque moyen est bon tant qu’il nous laisse vivre encore un peu plus ongtemps.

Je pense notamment à Charlotte qui doit quitter sa famille et partir en France. Et Charlotte qui là-bas ne sait pas si ses parents sont encore en vie. La peur et la peur de l’inconnu autour du sort des juifs capturés par les nazis. L’aide apporté par des français généreux. Le livre donne une image très claire de cette face de la guerre. L’autre thématique porte sur la vie d’une artiste. Comment en est- elle arrivée ? de la guerre. L’autre thématique porte sur la vie d’une artiste. Comment en est-elle arrivée à peindre son chef-d’œuvre, et l’histoire de ses eintures.

Toute sa vie mène à un pont, comme si tout était écrit. Sa vie, Charlotte l’a vécue dansant dans un malheur mélancolieux. L’histoire des Salomon est effroyable, et la psychologie de chaque membre de la famille, comment ils acceptent ou pas les suicides qui trouent leur famille, est incroyablement bien décrite. C’est difficile de s’imaginer pourquoi quelqu’un se suicide, mais c’est encore plus difficile de dimaginé comment les proches le vivent. Ce qui se passe dans la tête de Charlotte lorsque sa mère meurt, lorsqu’elle quitte son père et sa belle-mère, tout ceci est nvraisemblable, et invraisemblablement bien décrit.

Aussi, la biographie d’un artiste ne peut qu’être intéressante. Cela aide à mieux comprendre ses œuvres. Car ce genre de peintures n’est qu’un reflet de sa vie et de ses sentiments. Le style diffère beaucoup des autres romans dans sa forme. Le livre est une suite de phrase libre, ce qui apporte à chaque phrase une certaine valeur. Ce style nous pousse à lire chaque phrase d’un œil attentif et de n’en négliger aucune. L’auteur s’autorise aussi quelques pauses dans l’histoire pour qu’il puisse montrer sa fascination envers Charlotte.

Il raconte par exemple sa première rencontre avec ses œuvres. Lors de ces intrusions, le style d’écriture reste le même ce qu première rencontre avec ses œuvres. Lors de ces intrusions, le style d’écriture reste le même ce qui fait que les paragraphes sont très immersifs et donc que ça ne casse pas toute Pambiance bâtie durant le livre. Ces trois points majeurs font, selon moi, la force du livre. Partie 2: Charlotte s’occupe de ses grands-parents, plus précisément de sa grand-mère. Ils sont tous les trois en France, à l’abri de la sjoa.

Pourtant la grand-mère de Charlotte, dont on ne connait pas le om, veut se suicider. Elle l’a déjà essayé une fois mais sa petite- fille est arrivée juste à temps pour la sauver. Charlotte est bien décidée à ne plus quitter sa grand-mère des yeux pour un long moment. Dans le premier paragraphe du chapitre 8, Charlotte console sa grand-mère. Elle lui parle, comme sa mère l’a fait avant de se suicider, de la beauté du ciel. Selon moi ici, c’est plus Charlotte qui se console elle-même qu’elle le fait pour sa grand-mère. Elle sait que l’inévitable arrivera mais essaie quand même de l’éviter.

Sa grand-mère est comme dans une hase terminale, ou on l’oblige à survivre dans la souffrance alors qu’elle veut s’anesthésier. pour son grand-père qui a déjà tout vécu dans sa vie, la tentative de suicide de sa femme est la goutte qui fait déborder le vase. Il se lance alors dans un monologue plein de désespoir. Et là, s’est une suite de mot puissante, où le grand-père se lamente sur son sort. Impossible de rester ind PAGF suite de mot puissante, où le grand-père se lamente sur son sort. Impossible de rester indifférent en lisant ses paroles.

Ce genre de monologue aide fortement à comprendre la psychologie du ersonnage et comment il réagit face à tous ces suicides. Cela crée aussi une ambiance plus complète qu’une simple description où on lit le texte dune voix monotone. Dans cette partie on retrouve quelques points typiques du livre. Je pense par exemple à la phrase : ‘Les couleurs qui ressemble à des promesses’, dans le premier paragraphe. C’est le genre de phrases qu’on retrouve un peu partout durant le livre. Il y a plusieurs interprétations possibles, et aucune ne semble mieux que fautre. une autre phrase du même style : ‘On ne peut pas crier tous les drames’.

J’affectionne beaucoup ce genre de phrase qui à la fois font réfléchir mais qui collent aussi bien à l’histoire. Mais contrairement à une grande partie du livre, c’est un personnage qui prend la parole et non l’auteur. Ici, il y a donc moins de poésie, mais plus de sentiments. Ce qui, comme je l’ai déjà dit, est très positif, mais seulement à petite dose. Foenkinos a trouvé le juste milieu entre ces deux styles. Ce monologue est le point culminant du livre d’un point de vue sentimentale. Il contraste et sort donc du lot. C’est donc pour cela que j’ai choisi cet extrait-là.