Book 2
Carte d’indentité: Type: c’est une chanson Durée de l’oeuvre: 6min20 Titre de l’oeuvre: La chanson de Craonne Nom de l’artiste: L’auteur est inconnu. On sait seulement que c’est un soldat engagé dans l’armée française (un poilu). Date de création de l’ u or 3 1917 Description: Sni* to View Elle est composée de trois couplets et de deux refrains; et le dernier refain est légerement différent des autres. Cette musique reperend une valse « Bonsoir m’amour » 1911 de Charle Adhémar. Le seul instrument utilisé est l’acordéon (cela renvoi aux bals populaires).
Elle a été transmise oralement et clandestinement. Au début elle est connue sous le nom de « chanson de Lorette » avant de devenir « chanson de Craonne ‘ Contexte de lioeuvre: Au moment où à été créée la chanson, cela fait trois ans que la guerre a commencé. Les soldats allemands et français combattent dans le nord de la France. Des tranchées ont été creusées, les soldats vivent dans des conditions précaires, difficiles, violentes et traumatisantes. Au cours des combats, les soldats français devaient monter sur un plateau où se trouvaient plateau surplombait le village de Craonne.
Ils se révoltent, c’est le général Pétain qui rétablit la discipline en ordonnant des condamnations à mort pour montrer l’exemple. Analyse premier couplet: Les soldats reviennent de permission (‘Quand au bout de huit jour, repos terminer. « ), mais ne veulent pas retourner au front (« on est fatigués, les hommes ne peuvent plus marchés »). Ils y retournent par devoir, obligation (« on s’en va là haut en baissant la tête »). Et ils y retournent au risque de se faire tuer (« on prend la pile ») Analyse du refrain: Le mot « Adieu » est répété trois fois ce qui montre que les soldats ont désepérés.
Ils disent au revoir à la vie (leur famille, leur femme). Ils sont convaincus qu’ils vont mourir. Le nom de Craonne (lourde défaite française est citée) pour la première fois dans la chanson. lls se sentent abandonnés et sacrifiés par les dirigeants (« c’est nous les sacrifiés »). Analyse deuxième coulplet: Les soldats n’en peuvent plus et espèrent la prochaine relève (quitter la première ligne pour l’arrière). La relève arrive avec les officiers chasseurs à pied. Mais ce n’est pas un moment heureux car les soldats qui viennent prendre cette relève vont risquer