balthus

essay A

e peintre français Balthus (Balthasar Klossowski de Rola), nait à Paris le 29 février 1908. II est le second fils d’Erich Klossowski, peintre et historien d’art et d’Elizabeth Dorothea Spiro, dite Baladine Klossowska. Son frère aîné est l’écrivain et dessinateur Pierre Klossowski. Balthus décède à Rossinière, en Suisse, le 18 février 20 une toile qu’il peint en 1929, et qu’il intitule « La Rue » illustre l’atmosphère de la Rue Bourbon le Château, à l’angle de la Rue de l’Echaudé.

Le Passage du Commerce Saint André  » et par opposition l’ La Chambre » qu’il peint la même année en 1952, confirment cette démarche intellectue L’instant, la lenteur, dépeignent le théâtr u dehors. Ses composi place à un sensation ‘Vipe next page e de sa peinture. sence, le dérisoire s s’éprouve dans le availlées, laissent la sommeil, comme l’expression de l’instant suspendu qui fige l’action dans son déroulement.

De son vrai nom Balthasar Klossowski de Rola, Balthus est né ? paris le 29 février 1908, dans une famille d’origine polonaise liée aux milieux artistiques et littéraires et passe sa jeunesse entre les illes de Berlin, Berne, Genève et Paris et ses vacances d’été au Beatenberg, dans la région du lac de Thoune, en Suisse, entre les années 1917 et 1927. Il s’interresse très tôt au dessin et à la peinture.

Totalement autodidacte, il réalise dès l’âge de 12 ans une série de d dessins, et en publie un livre, encouragé par Rainer Maria Rilke, un ami de sa mère, préfacé par le poète, et édité en 1921, sous le titre « Mitsou le Chat ». C’est en 1924, qu’avec sa mère Baladine Klossowska, et sa famille iée à André Gide, André Derain et Pierre Bonnard qu’il vient alors s’établir à paris où il restera jusqu’en 1954.

Image non disponible Balthus : ‘ Mitsou le chat Dessin 1921 @ M. Archimbaud Paris, alors qu’il n’a que seize ans, est pour lui une ville d’un certain mystère, d’une étrangeté, dune lumière particulière, avec des lieux, des personnages, des odeurs qui l’envoûtent et lui procure une sensation pénétrante de mélancolie, l’impression d’une certaine solitude et d’une absence existentielle, qui ‘inspirent et dont il imprègnera ses premiers tableaux.

Il écoute bien sûr les conseils qu’ André Derain et Pierre Bonnard lui prodiguent, mais il se passionne aussi pour Nicolas Poussin, dont il s’exerce à copier les oeuvres au Louvre, telle que le fameux « Echo et Narcisse ». Il est nostalgique de l’art du grand maître, mais aussi des personnages de Piero della Francesca ou de Masaccio et l’admirateur de Gustave Courbet. Son « Jardin du Luxembourg » jeux d’enfants, révèle déi? u’il einten 1927, où il figure des té de la lumière, des 2