animation karaoké
ACTIVITÉ KARAOKÉ 1. PRESENTATION : Cette activité est proposée à un groupe de 4 jeunes adultes (20-40ans) au sein d’un foyer occupationnel accueillant des adultes atteints de déficience mentale. Lors de différents ateliers d’animation et d’échanges avec les résidents, j’al observé qu’ils aimaient beaucoup chanter et qu’ils connaissaient un grand nombre de chansons françaises.
En échangeant avec féquipe pluridisciplinaire, j’ai pu mettre en place une animation Karaoké, qui s’est travaillée et organisée comme suit : choix du jour, de l’heure et du personnel (une AMP et moi-même, to page 16 mai à 14h30) choix de la salle et d ègles de sécurité) vérification de capaci stress émotionnel, êL personnel et des proj ors Sni* to View nextÇEge tériel, décoration, re acquise ou non, ude du dossier chansons déj? apprises en atelier de chant. Les résidents ont accueillies cette activité avec une forte émotion et ont participé activement à sa mise en place. . OBJECTIFS DE CETTE ACTIVITÉ réponses aux attentes (chanter, se distraire, se détendre) réponses aux besoins (entretenir ses facultés (mémoire, artlculation), se connaitre dans l’image du soi, maintenir et nouer des relations avec autres résidents, échanger entre eux et donc épondre à leur besoin permanent de communiquer, partager, s’éveiller au monde). voir un autre coté de l’activité déjà mise en place (atelier de chant) : plus ludique peut être et en peu plus individualisé (petite groupe, chansons choisis par/pour chaque membre du groupe- besoin d’être écouté et compris). . L’ANIMATION : J’accompagne les résidents au salon je leur propose de s’installer comme ils se sentent le plus à l’aise et leur explique clairement le déroulement de cette activité. Je lance le 1er dvd « les enfoirées » et rapidement les résidents se mettent à chanter et danser en même temps. J’observe les ifficultés de certaines personnes et je les aide en participant moi-même. Je les félicite à la fin des chansons et je réchauffe en peu l’ambiance de temps à autre. Les résidents chantent tous ensemble ou indlviduellement.
Des fois je remarque une baisse d’intérêt (méconnaissance de paroles, musique trop longue) et je propose alors, de passer à la chanson suivante. Après une pause on reprend notre animation sous les aires de J. J. Goldman. Les résidents sont vraiment enchantés car c’est l’un de leur chanteur préféré. Ils prennent la couverture de dvd pour pouvoir choisir eux même par quelle chanson ils vont commencer. Certains se rappellent qu’ils ont déjà dansé sur ces musiques lors de leurs sorties en discothèques.
Je profite de prendre quelques cliches pour pouvoir mémoriser cet événement. Les residents s’envoient des regards chaleureux, parfois en chantant par deux, en imitant un micro, et je les sens vraiment libérés de leurs angoisses pendant ces moments là. Il est difficile de décr les sens vraiment libérés de leurs angoisses pendant ces moments là. II est difficile de décrire une explosion de joie sur le papier tout comme l’état d’euphorie générale lors de la chanson « envole-moi » ! J’étais obligé d’intervenir doucement pour pouvoir baisser en peu « le volume b.
D’ailleurs, Patricia si y était tellement épuisé qu’elle était obligée de s’asseoir, pour se reposer, lors de la chanson suivante. En peu avant la fin de l’activité je prépare les personnes à sa clôture. Je pose des questions aux résidents sur le déroulement de l’activité et j’écoute leurs observations. 4. ANALYSE ET CONCLUSION Les résidents ont passé un super moment et me font part de leur préférence pour la 2eme partie de ce karaoké du fait que d’avoir des sous titres, ca les aide à chanter intégralement la chanson arce que des fois « ils oublient » des paroles.
Ils demandent ? refaire cette animation dans l’avenir et proposent d’eux même le thème des années 80. Personnellement, j’ai trouvé les résidents épanouies et décontractés. Ils semblent y avoir pris beaucoup de plaisir. Le petit nombre de résidents à permis à ce que chacun puisse faire des choix tour à tour et qu’ils puissent être mises en place. Globalement l’atelier semble réussi. Cependant, à l’avenir, je porterais plus d’attention sur la différence entre ce que le résident aime faire et ce qu’il est capable de faire, afin d’éviter des mises en échec inutiles à mon avis.