Albert Jacquard

Collège Notre-Dame de Son Secours Rue de Merbes 23/25 7130 Binche Enquête sur un essai contemporain JACQUARD Albert (1925-2013) Le compte à rebours à-t-il commencél or 10 Sni* to View 10 d’un chapitre 1 Préserver la planète ou préserver l’humanité ? (p. 13-29) -Petite introduction sur le fait de s’intéresser à la symbiose terre- humain. Explication sur la formation de la terre qui serait plus ou moins a la moitié de sa vie. Le réchauffement climatique et autres mauvaises conditions ne sont rien face au probable inversement des pôles ou les événements qu’elle a subi antérieurement. Mais l’homme ayant pris goût au progrès arrive petit à petit ? s’égaler aux forces de la nature. Les usines marémotrices qui produisent de l’électricité auraient pour mauvaise influence le ralentissement du tournoiement terrestre. -Malheureusement ces diverses agressions sur notre terre l’abîme. Mals il est imposslble pour l’homme de changer de planète car nous sommes assignés à résidence sur terre. Il faut maintenant acquérir de la lucidité en tenant compte de deux facteurs : le premier est la gestion collective et raisonnable des ressources que la terre nous donne. Le deuxième installé un ialogue pacifique avec nos semblables « l’humanité dialoguant avec la terre et les humains dialoguant entre eux »9 -Rééquilibrer le mode de consommation entre nord et sud car celui-ci influence sur l’âge mortalité qui est très bas dans le sud (47ans). L’inégalité face à ces deux facteurs nous dirige vers un crime à venir effroyable : la préparation du suicide collectif. . Le système éducatif 0 l’économiste, quand ce n’est pas le financier « C’est toute la philosophie de l’école qu’il faut repenser ; apprendre à rencontrer les autres pour se construire, ou se battre contre les autres pour es dominer. L’école est au sewice de ceux qui s’adressent à elle pour qu’elle les aident ? 2 devenir eux-mêmes, non au service de la société. « Son rôle est de fournir dans l’immédiat, ? ceux qui pensent en avoir la vocation, les moyens d’acquérir les compétences qu’ils désirent».

Il n’est question que de la victoire des meilleurs, alors que les confrontations sont autant collectives qu’individuelles, alors qu’elles impliquent autant de coopération que de compétition. La tentative de définition de la personnalité des enfants dès leur plus jeune âge constitue un véritable enfermement. Ils seront définitivement catalogués, ils deviendront des objets décrits par le premier psychologue qu’ils auront eu la malchance de rencontrer à l’école maternelle.

A la limite, on retrouve dans cette recherche la tentative de voir en chacun des humains le simple aboutissement des informations qu’il a reçues lors de sa conception. «Cette hypothèse du « tout génétique » est à l’opposé du regard des généticiens qui sont conscients de la pauvreté de cette dotation initiale Toutes ces informations ont été accumulées tout au long du processus qui s’est déroulé à partir e la conception et qui ne s’achève qu’avec leur vie h. «Le système éducatif est le domaine où la construction de l’humanité par les humains ne sera jamais totalement accompli.

N’oublions pas qu’un être humain est en perpétuel évolution; l’enfermer dans une définition, qu’elle soit formulée à l’école maternelle ou plus tard, c’est trah PAGF s 0 l’enfermer dans une définition, qu’elle soit formulée à l’école maternelle ou plus tard, c’est trahir sa liberté de devenir celui qu’il choisit est temps que les années dans le système éducatif leur apparaissent non comme une préparation à une oumission, mais comme le début de la construction par chacun de la personne qu’il choisit d’être» ( Analyse du dernier chapitre).

L’éducation tel qu’elle est actuellement doit être considérablement revue selon lui. une étudiante a même tiré une conclusion plutôt interpellante : « Mieux vaut une réussite solidaire qu’un exploit solitaire. » 1. 5. Effet de la lecture sur mon opinion Je suis tout à fait d’accord avec l’auteur qui développe dans cet essai les principaux thèmes remis en cause presque chaque semaine depuis quelques années.

Notamment la gestion du ucléaire avec la sortie espérée de la Belgique ( inimaginable vu la demande de pays), la gestion du système éducatif à revoir. La « réforme » la plus importante qui devrait être appliquée est le rééquilibre de la consommation entre nord et sud. Une phrase m’a surtout marquée nous ne nous dirigeons pas vers la perte de la terre car elle a subit bien pire durant son cycle de formation au cours des précédents millénaires mais nous allons tout droit vers le suicide collectif 2 Commentaire d’extrait 2. Comme « Le mot « croissance » à lui seul est le signe d’une véritable upercherie, contre laquelle l’enseignement prémunissait autrefois les élèves preparant le certificat d’études, au bon vieux temps où ce certificat marquait la fin de l’adolescence. Les programmes scolaires introduisaient le concept d »‘intérêts composés », c’est-à-dire, en terme plus pédants, celui de l’évolut 6 0 introduisaient le concept d' »intérêts composés », c’est-à-dire, en terme plus pédants, celui de l’évolution exponentielle.

Les élèves comprenaient qu’un franc placé à ‘ »trois pour cent l’an » à l’époque de Charlemagne représentait, douze siècles plus tard, une fortune abuleuse, supérieure à la totalité des avoirs de tous les humains morts ou vivants ; ils savaient donc qu’un tel processus ne peut être durable »(pl 06) L’auteur démontre donc bien dans cet extrait que la croissance infinie est impossible sur une planète finie. Chistoire nous l’a démontré à plusieurs reprises.

Une croissance infinie voudrait dire une consommation toujours plus grande, une démographie qui s’accroît sur une planète qui elle ne 3 grandi pas et va ? une certain moment atteindre son rendement maximum jusqu’? en arriver à la perte de l’humanité. ème extrait : « Le changement de perspective que nécessite, dès à présent, l’abandon du leurre qu’est la croissance des biens matériels ne pourra aboutir que par l’adhésion des générations qui nous suivront.

Les signes sont nombreux d’un écœurement des adolescents devant ce que nos sociétés présentent comme des réussites et qui ne sont ressentis par les nouveaux venus que comme des embrigadements, des rmses aux normes, qu’ils récusent. ll est temps que les années passées dans le système éducatif leur apparaissent non comme la préparation à une de la personne qu’il choisit d’être.

Cest cette soumission qui représente le pire danger de l’intégrisme economique : l’acceptation passive des conséquences de processus qui nous échappent, amplifiés par le recours à des mots qui ne font référence à aucune 7 0 nous échappent, amplifiés par le recours à des mots qui ne font référence à aucune réalité. »(pl 18) Dans ce deuxième extrait, l’essayiste nous parle de la manière donc l’école dot initié les jeunes à la vie, à la carrière dans laquelle ils vont ce lancer dans un futur proche.

L’école ne doit pas nous enseigner la vie comme une fatalité, on ne doit pas emeurer passif face au monde qui nous entour. Ils doivent motiver chacun à faire valoir l’être humain qu’il est ; nous devons être acteur dans ce monde où nous sommes que de passage pour une durée déterminée. Conseil de lecture -Lisez le chapitre par chapitre. Accompagnez votre lecture de post-it (pour y glisser quelques note), un dictionnaire sera tout aussi utile pour les quelques mots de vocabulaire plus recherchés. Chaque fin de chapitre établi un lien avec le suivant essayez de trouver le fil conducteur pour trouver les solutions de chaque introduction sous forme de question( en italique en début du hapitre suivant). 20 une connaissance de quelque base sur le sujet vous permettra de comprendre la profondeur du discours tenu pas l’essayiste.

Moi même en option sciences et m’intéressant à tout ce qui pourrait entraîner le déclin de l’humanité ai apprécié le jugement que porte l’auteur à propos de la sociétés. Cette connaissance m’a permis de me focaliser sur l’avis de l’auteur et non pas dans un premier temps devoir comprendre les causes fameux »compte ? rebours » jugement de goût J’ai beaucoup apprécié cet extrait car : – II développe les grandes PAGF E 0 e les politiciens remettent