Aide sur « cest plus fort que moi »
Termes du sujet: Excuser: Libérer du poids de la responsabilité; pardonner: « Ce n’est pas moi, c’est l’autre que moi, par exemple une tendance, un besoin, un instinct… » . Désigne le sujet en tant qu’il se pense lui- MOI (n. Mm. ) 1 ? même. 2. ? Idée que se fait de lui-même un individu quelconque. 3. ? (psychés. ) Instance de la seconde utopique fredonnée (opposé au ça et au surnom), le moi (des ici) dépend des revendications du ça et des impératifs du surnom ; il apparaît comme un facteur de liaison des recousues psychiques et représente le pôle défensif de la personnalité.
premier boy punirez baffle 1 1, 2009 3 pages tendance, un besoin, un instinct Approche: : c’est ce qu’on dit non pas lorsqu’ se heurte à des forces extérieures supérieures à la nôtre, mais à une force interne. D’où le statut problématique de l’adjectival démonstratif « ce » (c’est plus fort que moi »). Comme si nous voulions dire : ce qui me fait agir est en moi mais n’est pas moi, ou plus exactement : est en moi sans que je m’ connaisse, sans même que je le veuille, alors même que je veux faire ou penser le contraire.
En ce sens, la question pose évidemment le problème de l’inconscient (que fraude appelle significativement le « ça Ce que signifie l’expression « c’est plus fort que moi », c’est qu’il existe des pensées ou des actes que le sujet conscient et volontaire que je SUIS n’assume pas : je pense, mais ça pense en mol, malgré moi, contre moi. 2. Élucider le sens de l’expression est nécessaire mais non faisant. Car la question posée concerne la valeur de cette expression.
Savoir ce que l’expression « c’est plus fort que moi » vaut peut signifier deux choses. ? D’abord, quelle est sa valeur de vérité ? Existe-t-il réellement des pulsions, des désirs, des mobiles inconscients qui me font agir malgré moi ? ? Ensuite, et surtout, sa valeur morale.