accord Maroc-Turquie
En une décennie, la Turquie est passée d’une économie marginale et peu compétitive à celle d’une puissance en pleine émergence et persévère pour aboutir à la maturité économique. Ainsi, la Turquie enregistre ces dernières années une amélioration de ses indicateurs macroéconomiques avec une croissance annuelle moyenne du PIB de entre 2007 et 2010.
Cette crossance est renforcée par une production agricole importante qui procure au pays une autosuffisance en produit agricole, par un tissu industriel en expansion ainsi que par le développement de l’investissement et principalement l’investissement en énergie celui-ci a crû de 5000% en 2008 par rapport à 2007 puis croit ? moyenne annuelle de 4% en 2009 et 2010). Dans son processus développé une écon le ors son commerce repré nt•:: to View principaux piliers du automobiles, le textil , la Turquie a es extérieurs ; n PIB.
Les sont les industries achines, les équipements électroniques, la Sid rurgie et la chimie. Ses ventes à l’extérieur sont progressives. Cependant, sa balance commerciale est déficitaire à cause de sa dépendance énergétique. La Turquie est un pays eurasiatique ; elle se positionne entre l’Europe et PAsie. Sa population est estimée à 72752 mille habitants en 2010 et son PIB par tête est de 9547 dollars américain (moyenne entre 2007 et 2010). Au niveau des relations bilatérales avec le Maroc, la Turquie est son 1 lème partenaire avec une part qui ne dépasse pas I Swlpe to vlew next page les en 2011.
La majorité de ces échanges est constituée de l’importation. Ainsi, les importations en provenance de la Turquie ont constitué 77% des échanges du Maroc avec ce pays en 2011. Concernant la part des exportations, elle s’est établie à en cette année contre 31% l’année précédente. Il est à noter que la croissance des échanges entre le Maroc et la Turquie a connu un changement remarquable après la mise en œuvre, en 2006, de l’accord de libre-échange Maroc-Turquie.
En effet, les échanges commerciaux sont passés de 1 milliards de DH en 1998 à 4,31 milliards de DH en 2005 puis à 12,23 milliards de dirham en 2011 soit un taux de croissance annuel moyen de 17,10% entre 1998 et 2005 et de 22,42% entre 2006 et 2011. Les importatlons sont ainsi passées de 1,21 milliards de dirham en 1998 à 3,55 milliards de dirham en 2005 (soit une roissance annuelle moyenne de sur cette période) puis à 9,44 milliards de dirham en 2011 (soit 21 ,39% de croissance).
Concernant les exportations, celles-ci ont crû de 0,33 milliards de dirham en 1998 à 077 milliards de dirham en 2005 (à Olthme de 17,26%) puis à 2,7 milliards de dirham en 2011 (soit un taux de Quoique le Maroc ait signé un accord de libre échange avec la Turquie, ses ventes ne représentent qu’une part minime dans l’ensemble des exportations marocaines. Ainsi, les exportateurs marocains doivent fournir d’avantage d’efforts pour élargir leur part de marché sur ce pays. Ceci peut se concrétiser en identifiant les besoins de ce partenaire pour focaliser la production en fonction de ceux-là.
Une analyse des importations de la Turquie ces dernieres a la production en fonction de ceux-là. Une analyse des importations de la Turquie ces dernières années classe les « Combustibles minéraux, huiles minérales, produits de leur distillation » au premier rang des produits importés par la Turquie avec une part de 22,47% en 2011, s’ensuivent les «Machines, réacteurs nucléaires, chaudières, appareils et engins » (11,26%), puis la « fonte, fer et acier » (8,48%), nsuite les « voitures automobiles, tracteurs, cycles et autres véhicules » (7,14%).
En fin, les « machines, appareils et matériels électriques, leurs parties » (6,99%) et les « matières plastiques et ouvrages en ces matières » Ces six groupes de produits seuls constituent environ 60 des importations turques. La répartition par grands prodults des importations turques démontre une certaine concentration sur les produits à valeur ajoutée industrielles. De ce fait, le Maroc peut en tiré profit pour élargir sa part de marché sur la Turquie. En effet, le Maroc détient une offre exportable pour certains produits stratégiques importés par ce partenaire.
Il s’agit notamment des « machines, appareils et matériels électriques, leurs parties » (plus de 17% des exportations marocaines en 2011) et des «Combustibles minéraux, huiles minérales, produits de leur distillation » en 2011 Ainsi, un effort de production sur ces produits permettra d’augmenter nos exportations vers la Turquie et réduire par suite notre déficit avec ce pays d’autant plus que le cadre d’échange est favorable grâce à l’accord de libre-échange.