Kabuli kid
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défile capturant éléments Fo escarbille scénario torture a naturalisant Lens, cabale kit carats a riches humain portrait Fo a complexe city ‘L’enfant de ciboule’ frappe par son réalisme et sa précision le quotidien fagot est si dramatique et incroyable qu’il en semble finalement fictif parler du problème des enfants des rues qui n’ont ni écoles, ni moyens ; ou encore de l’impuissance d’institutions telles que l’orphelinat ou les ANGON Véritable touche-à-tout, barman akras s’illustre dans une altitude de domaines, de la musique au cinéma, en passant par les arts p statiques.
Réfugié politique fagot, il arrive en France en 1981. Bouillonnant de curiosité, il étudie alors à la femmes, aux Beaux-Arts et aux Arts-Déco. Son engouement pour la culture personne se ressent dans ses compositions musicales, qu’il écrit d’abord pour lui- même. Rapidement remarqué, son talent est néanmoins sollicité par des chanteurs comme hématie caddie – dont il signe le titre ‘La Rose pourpre du cour’ – et haussées roman. Mais c’est dans les arts visuels que barman akras laisse réellement libre cours à son imagination.
Auteur de vidéo expérimentales regroupées sous le nom de ‘vidéotex’, il est aussi l’inventeur du ‘photographies’, concept selon lequel il existe des ressemblances physiques entre les végétaux et les humains. Admirateur lequel il existe des ressemblances physiques entre les végétaux et les humains. Admirateur du didactisme, il voit plusieurs de ses films projetés lors de l’exposition consacrée au mouvement artistique au centre beau-père. En 2009, barman akras met en scène son premier long métrage ‘L’ Enfant de ciboule’, cocorico avec Jean-clause Carrière. Celui qui se fait appeler ‘décocha B. En hommage à marche décocha et à douchant, la capitale du additionna, apparaît comme un électron libre insatiable et foisonnant d’idées. Dans un pays roulé-compressé par les invasions qui s’achèvent, barman akras filme là un pur manifeste de l’après-guerre. Si le film peine à séduire, banalisant ses personnages en s’en écartant trop, il vaut néanmoins pour le témoignage qu’il nous livre d’un territoire trop médiatisé pour être vrai. chalet, chauffeur de Taxi, découvre sur sa banquette arrière un nourrisson abandonné par une femme à bureau, corps masqué, cliente fantôme qui s’en est allée aussitôt oppose.
Il croit qu’elle la oublié, qu’elle n’ pas fait exprès. Mais tous ses proches martèlent : quel genre de mère laisserait traîner son fils dans un taxi par étourderie ? Commence alors le cahot, l’agitation, la quête tout en sueurs et angoisses d’un tuteur pour l’enfant. L’abandonner, le garder, le confier, le donner, le reprendre, le restituer, que faire l’enfant. L’abandonner, le garder, le confier, le donner, le reprendre, le restituer, que faire, soupirer, et se poser ces questions jusqu’ l’espéré coup du sort. Sur le papier, L ‘Enfant de ciboule a tout pour éblouir.
A l’écriture, un Jean-clause Carrière doublé d’un tact arrima (récent prix Guyancourt) et à la caméra, un artiste mulet diplômé (femmes, Beaux-arts, Arts déco) déjà exposé beau-père. Et le fébrile mais (ré)naissant cinéma fagot justifie à lui seul que toute sortie nouvelle soit considérée comme un petit événement, digne d’échos du moins. Seulement voilà, L’Enfant de ciboule vaut essentiellement pour ce qu’il dit de l’figurants, de ce pays en reconstruction plus que pour sa proposition de cinéma. C’est bien cette tournure documentaire qui accroche.