Tibet
Le drapeau du débité, créé par le eue dalla-lama en 191 6, a te proscrit par la République populaire de chiné en 1959, neuf ans après l’intervention militaire chinoise. AI est aujourd’hui l’emblème du gouvernement tibétain en exil. Ce drapeau s’inspire des motifs de drapeaux antérieurs utilisés par les régiments tibétains, en particulier la figure du lion des neiges, laquelle remonterait au règne du roi du débité songent gamba au vie siècle. L’histoire, notamment les événements du ex siècle, ont donné lieu à une double interprétation relevant du domaine de l’historiographe.
Version du gouvernement chinois Selon l’histoire officielle de la République populaire de premier boy bâbord empara 23, 2011 | 6 pages débité songent campa au vie siècle. chiné, le débité a été annexé par la chiné dès le axée siècle, sous a dynastie soie toi vie nixe eau dynastie ayan, remplaçant le contrôle mongol sur son empire englobant chiné et débité Seule la période coloniale britannique du début du ex siècle a donné au débité des dalla-lama une relative indépendance temporaire vis-à-vis de pékinois.
Les Tibétains sont donc depuis le retour du gouvernement chinois en 949 sous le contrôle politique du gouvernement régional autonome du débité, avec un ascendant de pékinois. Après l’intervention militaire chinoise au débité (1950-1951), le maréchal chinois chêne ai inaugure en 1956, un Comité préparatoire à l’établissement de la Région autonome du débité. La Région autonome du débité a été créée en 1965.
Version du gouvernement tibétain en exil Le débité fut conquis par les Mongols en 1250 juste après la mort de gênais akan. L’indépendance du débité fut pleinement rétablie après la chute de l’empire mongol en 1368, sous le règne du pagodes-pp au débité. La dynastie cinq des manchons développa une relation de protectorat avec le débité. Après la chute des manchons en 1911, l’indépendance du débité fut proclamée par le eue dalla Lama, débutent gayets, en 1913.
L’indépendance du débité fut reconnue de façon mutuelle par la mongolien cette même année. Le 7 septembre 1 904, le Traité de laissa reconnaît les frontières existantes entre le débité et la région indienne du ski, ainsi que l’instauration d’un existantes entre le débité et la région indienne du ski, ainsi que l’instauration d’un protectorat économique de la Grande-bretonne sur le débité.
Le 27 avril 1 906, la chiné reconnaît l’autorité de l’Inde sur le débité en signant avec les Anglais, et à l’insu des Tibétains, une convention ratifiant le Traité de laissa. Afin de conclure un traité frontalier définitif, l’Inde, le débité et la chiné se retrouvent à la Conférence de simula le 6 octobre 1913, la chiné souhaite intégrer les espaces tibétains conquis par les troupes du général shah refera en 1 908 alors que les Tibétains souhaitent que ces rotatoires leur soient rendus et que leur indépendance soit reconnue.
Le 10 août 191 8, l’Accord de champ, signé sous l’entremise de l’Inde britannique par le général lui camping et le commandant des forces tibétaines aux frontières champ débat, fixe une ligne de cessez-le-feu derrière laquelle les troupes chinoises durent se retirer. Le 7 octobre 1950 armée chinoise entre au débité, l’Inde exprime son désaccord mais ne condamne pas fermement cette « invasion » ou « libération pacifique ».
En novembre 1950, la plainte déposée par une délégation tibétaine, olifant l’entrée des troupes chinoises au débité d’« agression caractérisée », est saisie par l’ON. L’armée populaire de libération (PAL) attaqua l’armée tibétaine le 7 octobre par l’ON. Tibétaine le 7 octobre 1950, livrant une bataille à champ dans le champ (est du débité). Cet assaut marqua le commencement de la campagne de pékinois pour intégrer le débité dans la République populaire de chiné (RÂPA).
Cette opération militaire, opposant les 8 500 hommes de l’armée tibétaine à environ 40 000 militaires chinois, est appelée libération pacifique du débité par le gouvernement e la RÂPA (le terme chinois, « libération », désigne la reconquête par les communistes de la chiné semis- colonisée et n’ rien de spécifique au débité) : un accord en 17 points sur la libération pacifique du débité fut signé en 1951 par des représentants du eue dalla-lama et le gouvernement de la RÂPA affirmant la souveraineté chinoise sur le débité .
Selon le gouvernement tibétain en exil, le débité vaincu et sous la menace d’une avance militaire sur laissa n’avait pas d’autre choix que de signer l’accord en 17 points en 1951, traité qui fut dénoncé par e dalla-lama au dosons de lents lors de son départ pour l’exil et dès son arrivée en Inde en 1959.
Le 18 avril, en Inde, il déclara que l’accord avait été signé sous a pression du gouvernement chinois, et le 20 juin, il déclara officiellement qu’il le reniait, le décrivant comme ayant été imposé au débité par l’invasion, la menace et la trot qu’il le reniait, le décrivant comme ayant été imposé au débité par l’invasion, la menace et la tromperie. La Commission internationale des juristes déclara alors que par cette répudiation, le débité s’était juridiquement « libéré es obligations qui étaient les siennes en vertu de l’accord ».
En 1993 lors d’une conférence sur le statut international du débité, cette même commission déclara que l’accord de 1951 était invalide, car signé sous la contrainte. Pour quelles raisons la chiné semble-t-elle tant attachée au débité, ce pays, somme toute, relativement pauvre et enclavé ? La première raison est territoriale. Si on regarde simplement la carte de la chiné, on s’aperçoit que le débité historique, le haut plateau tibétain, représente, en surface, pratiquement un tiers de la République Populaire de chiné.