La question qui suis-je admet-elle une réponse exacte?

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D’autre part chaque individu est doté ‘une conscience propre, d’une particularité ce qui fait sa singularité. Ainsi chacun a sa propre identité. L’identité personnelle sous entend que l’on reste la même personne malgré les changements que l’on peut subir tout au long de sa vie. Ainsi si un individu veut saisir et connaître son identité personnelle, il se rend alors compte qu’elle est problématique.

Nous pouvons alors nous demander comment est-ce possible de donner une réponse exacte, c’est-à-dire intégrale et définitive, à la question « qui suis je ? » si le sujet est libre et peut changer ? Comment peut- n alors donner une réponse exacte tenant compte de la particularité de chaque individu ? Pour cela, nous verrons tout d’abord s’il est possible d’en La question qui suis-je admet- elle une réponse exacte?

premier BU jabler harpe 15, 2009 | 8 pages l’utilisation du « ?e » : chaque individu peut se qualifier par c’est-à-dire intégrale et définitive, à la question « qui suis- swaps toi vie nixe page d’en donner une, tenant compte de l’unicité de chaque individu, par les sciences, puis si l’expérience et l’histoire de chaque individu qui permet de donner une réponse responsable, aussi exacte, et finalement nous verrons s’il est possible de donner une réponse exacte à la question en tenant compte de la singularité des humains.

Ce qui nous apporte le plus souvent des réponses exactes, ce sont les sciences, pour cela intéressons nous tout d’abord aux sciences exactes, en faisant l’hypothèse qu’elle soit à même de donner une réponse exacte à la question « qui suis-je ? Les sciences exactes possèdent des lois, tel que la loi d’ohm (U=R. I), qui sont des rapports constants entre des éléments variables (la loi d’ohm fonctionne tout le temps et ans toutes les conditions).

Ces lois qui sont nécessaires, c’est-à-dire qui ne peut pas être autrement qu’il n’est, et universel, dont le résultat est exact. Un résultat exact n’est ni supérieur ni inférieur à la grandeur mesurée (pour une même tension U et une même intensité I, nous avons toujours la même valeur pour la résistance R). Ainsi toutes les lois physiques, chimiques, mathématiques et biologiques sont universelles. La biologie est la science qui s’intéresse à notre corps. Nous ne pouvons pas nous attacher sur notre aspect physique extérieur car tel que le dit Pascal dans Les

Pensées, L. 688 « la petite verre g p d’ Intéressons nous aux sciences humaines, qui sont rigoureuses que les sciences exactes du fait qu’elles pas de loi. Penchons-nous sur la sociologie qui est u branches des sciences humaines; je sais que je vis d une société, que j’appartiens à un milieu social, professionnel ou religieux,… Le sociologue analyse ait groupe auquel j’appartiens, décrit ses manières d’tel goûts. On se trouve à nouveau face à des données toi communes pour permettre une description de ce notre unicité.

Les sciences exactes et humaines ont des réponses exactes à la question « qui suis-je ? Mais à portée universelle qui ne prennent guère en compte l’unicité sujet. Nous devons nous appuyer sur un autre lemme les sciences qui tiennent mieux compte de la singulier chacun. L’exactitude, au sens scientifique, semble ainsi de secours pour savoir qui je suis. Nous pouvons alors pencher sur l’histoire et l’expérience de l’individu, fi d’avoir une réponse tenant plus compte de la singes, l’individu.

L’individu peut se définir par son appartenance à u or une nation regroupe tout un peuple cela est trop général pour caractériser un individu, il en est de mi e définit par son appartenance à une région, département, ville ou toute autre subdivision territoire l’on se tourne vers l’histoire familiale, Intéressons nous aux sciences humaines, qui sont moins rigoureuses que les sciences exactes du fait qu’elles n’ont pas de loi. Penchons-nous sur la sociologie qui est une des branches des sciences humaines; je sais que je vis dans professionnel ou religieux,…

Le sociologue analyse le groupe auquel j’appartiens, décrit ses manières d’être, ses goûts. On se trouve à nouveau face à des données trop communes pour permettre une description de ce qui fait exactes à la question « qui suis-je ? Mais à portée trop universelle qui ne prennent guère en compte l’unicité du sujet. Nous devons nous appuyer sur un autre élément que les sciences qui tiennent mieux compte de la singularité de L’exactitude, au sens scientifique, semble ainsi de peu de secours pour savoir qui je suis.

Nous pouvons alors nous pencher sur l’histoire et l’expérience de l’individu, afin d’avoir une réponse tenant plus compte de la singularité de L’individu peut se définir par son appartenance à un pays général pour caractériser un individu, il en est de même s’il appartement, ville ou toute autre subdivision territoriale. Si dé pp ma do pp av est ch. pp née op no Do d’ apprendra comment son histoire résulte des relatif d’autres personnes, parents ou étrangers.

Mais ce expériences qui ont été oubliées par le conscient. A avec l’inconscient, nous avons le même problème a l’exactitude que pour l’expérience. Nous pouvons ensuite aussi utiliser les qualités de pour nous définir, ce qui est très propre à chacun, c dire notre jugement, notre mémoire. Pascal nous d propos que se sont des qualités empruntées, eue se sont des qualités dont on ne connaît pas le r avec la personne qui la supporte, comme les qualité( périssables et changeantes, elles sont momentanée empereur nettes.

Ainsi comme les qualités sont périssait changeantes, elles ne permettent pas de répondre exactitude à la question « qui suis-je ? ». L’exactitude ne semble pas pouvoir être atteinte a l’histoire et l’expérience même si elle tient compte c singularité des individus. Nous avons vu que la science pouvait donner une exacte à la question « qui suis-je ? », mais qu’elle ne pas compte de la singularité de l’individu. En rêvant l’histoire et l’expérience, nous avons vu qu’elles pou être propre au sujet, mais qu’elles ne donnaient pp! Pense exacte à la question. Nous allons voir s’il fée possible de donner une réponse exacte à la question tenant coma apprendra comment son histoire résulte des relations avec d’autres personnes, parents ou étrangers. Mais ce sont des expériences qui ont été oubliées par le conscient. Ainsi avec l’inconscient, nous avons le même problème avec Nous pouvons ensuite aussi utiliser les qualités de l’âme pour nous définir, ce qui est très propre à chacun, c’est-à- ère notre jugement, notre mémoire.

Pascal nous dit à ce propos que se sont des qualités empruntées, c’est-à-d ère que se sont des qualités dont on ne connaît pas le rapport avec la personne qui la supporte, comme les qualités sont périssables et changeantes, elles sont momentanément empruntées. Ainsi comme les qualités sont périssables et changeantes, elles ne permettent pas de répondre avec L’exactitude ne semble pas pouvoir être atteinte avec l’histoire et l’expérience même si elle tient compte de la singe rite des individus. Nous avons vu que la science pouvait donner une réponse exacte à a question « qui suis-je ? , mais qu’elle ne tenait pas compte de la singularité de l’individu. En revanche avec l’histoire et l’expérience, nous avons vu qu’elles pouvaient être propre au sujet, mais qu’elles ne donnaient pas une réponse exacte à la question. Nous allons voir s’il est possible de donner une réponse exacte à la question Nous allons voir s’il est possible de donner une réponse exacte à a question tenant compte de la singe rite des humains. Nous pouvons tout d’abord constater que derrière la question « qui suis-je ? Il ha une volonté de se connaître, t cela rejoint l’enseignement de secrète, « connais-toi toi- même Sarthe répond à la question par son idée que l’individu ne sait pas toujours qui il est, il est en constante recherche sur lui-même. Ainsi selon Sarthe, nous ne pouvons pas donner nous même une réponse à la question « qui suis-je D’autre part, nous avons vu que le « je » n’en finit pas de changer, donc cela doit certainement être dans sa nature d’être toujours en cours de constitution, par une infinie série de projets, de volonté, de rectifications, d’échec et de recompositions.