1WW

essay A+

l) L’expérience combattante dans une guerre totale La 1 WW fut surnommé la « grande guerre » en raison de la violence subit par les soldats lors des combats. Les soldats sont des hommes conscrit en France, des volontaire en Angleterre, et toutes les troupes devoirs de combattr or 13 70 milliards de perso e to nextÇEge de front Ouest ou d’a Il s’agit ici de compre de ces batailles (Comment ? Gr ce a quoi ? . A) La bataille de la Somme (1 er juillet 1816 – 18 novembre 1916) La bataille de la Somme fut l’une des principale confrontation lors de la IWW, de plus cette bataille est le prolongement d’une ataille célèbre ; Verdun.

Lorsque l’armée allemande lance sont offensive sur Verdun le 21 février 191 6, le commandement Britannique propose de venir en aide à son allié. L’État major français décide qu »ils peuvent faire fasse sans l’appuie des britanniques tout en leur demandant un soulagement par une attaque ailleurs sur leur front de l’Ouest. Les forces britannique tentèrent de percer les lignes allemande sur une ligne nord-sud de 45km dans la région de la Somme entre un choix mais un u combat que se soit dats face à l’horreur tuer et de créer un maximum de dégât sur les lignes adverse. ignes allemande bombardées du 23 au 30 juin 1916) Envois les soldats sur le « no man’s land » (1er juillet 191 6) pour s’emparer des tranchées adverse. Pour terminer le « travaille des soldats spécialisés vont « nettoyer » les tranchées afin de s’assurer que rennemie soit mort. Pour un résultat nul le premier jour, 20 000 britanniques sont mort le 1er juillet. Sur I île de Terre-Neuve, il y avait 800 soldats au départ, il en resta 100. La bataille entraîne 4 millions de soldats de 25 nationalités, parmi eux, 1,2 millions vont mourir ou être gravement blesser (420 000 britannique et 438 000 allemands)

B) Vivre et mourir dans les tranchées Quelles sont les conditions de vie et de combat des soldats durant la guerre des tranchées ? (2 P72 ; 5 P73 ; fiche activité Ml) 1) Des soldats extrêmement vulnérables aux armes fasse aux armes modernes Le développement de l’artillerie représente des pertes direct de la IWW. Les obus sont utilisés en masse pour détruire les position adverse. Dès le 1er julllet 1916, 35 000 par minutes sont tirés dans les deux camps. A Verdun, autre bataille qui durera de février à décembre 1916, 60 millions d’obus sont tirés c’est à dire 60 obus au mettre carré.

On utilise d’abord des gaz ui entraîne la mort à base de chlore pour asphyxier les soldats PAGF 13 invisible, inodore perdre la vue, les poumons Face à l’usage des gaz. l’Allemagne est le premier pays ? développer les masques à gaz. Les masques à gaz sont dans les deux camps très efficace puisque le nombre de mort par gaz est de 1 ? Le gaz sont délicats à utilisé. Les britanniques vont employer le chlore lors de la bataille de Loos (25 septembre 1915) mais le vent va tourner et revenir sur A la fin de la guerre de nouvelle armes voient le jour, il s’agit des chars et des lance flammes (1917). Des conditions de vie et d’hygiène déplorable La faim est constamment ressentie du fait que la nourriture est préparée aux lignes arrieres, elles se mélange à la boue et les soldats chargés de porter les aliments sur les premières lignes sont parfois tué ou blessé par les artilleries. Il manque aussi beaucoup d’eau. Les saisons jouent un rôle pesant pour les hommes puisqu’on à le froid, la sécheresse et surtout l’humidité qui crée la boue dans les tranchées. Les soldats doivent aussi faire fasse aux rats et à leurs morsures qui sont porteur de maladies.

Ils ne peuvent pas se laver quotidiennement, ce qui entraîne également des maladies. Le seul contacte avec l’extérieure est la lettre, les soldats doivent attendre, certaines sont censurées lorsque l’on n’y décrit les souffrances de la guerre pour ne pas inquiéter les civiles. 3) Une grande souffrance liée au contacte psychologique liée au contacte permanent avec la mort Les soldats éprouvent une peur continuelle, ils savent qu’ils peuvent mourir à tout moment (gaz). De plus, ils vivent en présence de morts et d’agonisants.

Le secteur de la médecine va se développer, les hommes ont touché par les maladies psychiatrique. Les malades sont évacué du front pour ne pas contaminer les autres, ils sont placé dans des hôpitaux psychiatrique. Ce sont des maladies qui reste marqué puisqu’ils auront une phobie, une peur dès qu’ils entendrons des bruits fort et strident qui leur rappellerons l’enfer de la guerre. Pour les victimes, la difficulté est de se réintégrer dans la citoyenneté après la guerre, en effet, eux et les civils n’ont pas vécut la même guerre.

A la fin de la guerre, les « gueules cassées » vont former une association : « l’union des blessés de la face » afin de faire près aloir leur handicape. Les soldats vont garder une marque de la guerre sur eux à vie. C) Tenir dans les tranchées et combattre Comment tenir dans ces conditions et pour combattre ? (2p71 ; 4 et 5p67 ; fiche no 1) 1) De l’espoir… Les soldats se battent pour leur patrie, la guerre est donc vu comme un devoir patriotique surtout au début du conflit car le but est de récupérer l’Alsace et la Lorraine.

Les soldats sont formatés nts de leur vie : 3 bataillons scolaires où ils apprennent se qu’ils doivent faire durant la guerre ; lors du seNice militaire (1889), 3 ans obligatoire. Certain on même un espoir de récompense pour leur bravoure (médaille, argent, promotion sociale.. ). a propagande amplifie le sentiment national en valorisant l’image des soldats français appelé « poilu Les allemands sont perçut comme des boches, des bêtes sauvages qui n’ont aucune pitié.

De plus, les français gardent l’espoir que la guerre se termine rapidement : « ultime effort avant la paix » et surtout avant Noël. Sentiment fort au début du combat, il disparaît à Noël 1914 mais réaparait à chaque grande offensive. L’espoir de rentrer chez soi et de reprendre une vie normale est constant. L’espoir est entretenu par des temps de répits : Le « turn over n, c’est la permission de passer 2 à 3 jours ? l’arrière, cela permet de se reposer, se laver.. Des permissions sont accordées aux soldats pour rentrer voir leur famille.

Les soldats sont solidaire entre eux, ils constituent des groupes primaires (entre 10et 12 soldats, venant du même lieu, de la même région, de la même commune.. ). C’est groupes sont principalement formé par les troupes coloniales qui retrouve leur village, cultures, religions.. On laisse volontairement les cultures aux troupes coloniales pour e pas avoir de révoltes. En 1916 on refait appel aux colonies, il n’y a pas de révolte puisqu’on leur fait une promesse : « en servant le même sang, vous aurez les mêmes droits on leur promet la citoyenneté.

En 1918, i PAGF s 3 même sang, vous aurez les mêmes droits D, on leur promet la citoyenneté. En 1918, ils sont mieux traité en France que dans les colonies puisqu’ils font la même chose que les français, ils ont le même statu. 2) à la violence . Certain soldats finissent par s’endurcir au contacte des morts, ils arrivent à contrôler leurs angoisses, à utiliser de nouvelles actiques pour survivre avec notamment l’utilisation des armes non-conventionnelle. Les nouvelles recrus sont de plus en plus jeunes et d’avantage exposés à la violence, ils sont préparés aux situations de combats.

Les soldats vont se brutaliser en utilisant de plus en plus l’usage de la violence. Cela concerne toutes les couches sociales (poètes, instituteurs… ) Ce déchainement de violence va donner naissance à un nouveaux type de soldats : les nettoyeur de tranchées. 3) voir à la révolte : le refus d’obéir Le refus d’obéir apparé des les premières semaines du conflit, ela donne lieu de la part des officier à l’exécution sommaire dont le nombre est inconnu. Le premier moment de trêve entre les camps est lors du Noël 1914 durant lequel les soldats vont fraterniser.

Les révoltés de Noël 1914 vont être transportés sur d’autres zones de combats : Verdun, afin d’être punis et qu’ils ne puissent plus fraterniser avec l’ennemie. Après quelques années le doute réaparé parmi les soldats ? propos de leur sacrifice. Cest en 1917 que les soldats vont de nouveaux se révolter après l’offensive du chemin des dames. (doc 6 page 69) 6 3 l’offensive du chemin des dames. Après l’échec de la bataille de la Somme, le général Robert Nivelle propose une nouvelle offensive pour le printemps 1917 avec une préparation massive d’artillerie qui permettrait de faire tomber le front allemand.

Le 16 avril 1917 débute l’offensive du chemin des dames qui sera un échec. En 24h et malgré l’engagement des premières chars français l’avance n’est que de 500 mètres au lieu des 10km prévus et au prlX de 30 000 morts dans les 10 premiers jours. Après l’attaque, la désillusion est immense chez les soldats, ils ne supporte plus les sacrifices inutiles et les mensonges de l’État major. Les soldats vont se mettre en grève, c’est le début des mutinerie, notamment à l’arrière où les soldats ne veulent pas retourner au combat.

Le général Nivelle est arrêté le 29 avril et est remplacé par le Général Pétain qui ramène la discipline dans les rangs en demandant la tête des leaders. 500 condamnations à mort vont être prononcé, seulement «30 vont être réellement tués, le reste étant envoyé aux travaux forcés, ils échappent en quelque sorte à la guerre. Il) es populations civiles face à la guerre totale A) La mobilisation économique La 1 WW est l’aboutissement du processus d’industrialisation qui après avoir transformé les économies et les sociétés transforme les conflits à leur tour.

Liarmement est industrielle, produit en très grand nombre dans des usines spécialisé. Cet armement est perfectionné et destructeur (ex : artilleries). La IWW voit aussi l’appari 13 armement est perfectionné et destructeur (ex : artilleries). La 1 WW voit aussi l’apparition de nouvelles armes tel que l’aviation militaire et les tanks, chars qui est en faite une transformation des voitures possible grâce à l’Industrialisation de l’économie. La guerre industrielle exige aussi de fabriquer un nombre grandissant de munition et fournitures pour les soldats.

Ces besoins nécessite une mobilisation des entreprises dont la plus célèbre est Renault. (4 page 65) En quoi consiste la participation de Renault en 1914 ? Renault va convertir ses usines en les agrandissants pour s’adapter à la production d’armements. L’entreprise va recruter de nombreuse personnes, un tiers sont des femmes puisque l’ont pratique le travaille à la chaîne. La production de camion va grandement augmenter (1793 en 1918) pour transporter les armes ainsi que la nourriture.

Au contraire, la production de voiture baisse (553 en 1918) car elles sont beaucoup moins utiles. Renault est un des profiteurs de la guerre. Cette transformation des entreprises donne naissance ? l’économie de guerre. Cette économie se caractérise par un ensemble des mesures prises pour adapter l’économie d’un pays aux nécessités de la guerre. Cest l’État qui va mettre en place cette économie dirigé sur le front de l’arrière. L’État assure le financement de conversion (impôts, emprunt auprès des USA) Il encadre la production (c aye) et les industries